J'étais arrivé à Sheffield pars un temps merdique. Comme ce que je viens faire ici en soit.
Je suis d'abord passé par une cabine téléphonique appeler le numéro de la maison savoir si quelqu'un y est toujours. Comme si j'allais leur laisser mon numéro.
Allô ?Cathelyn ? C'est Margaret.
Oh Margaret ! Tu as eu ma lettre ?
Oui, je suis à Sheffield, il est encore en vie ?
Oui mais plus pour longtemps, les docteurs disent qu'il partira cette nuit.
D'accord, tu vis toujours dans la maison ?
Oui c'est moi qui l'est garder. Tu pourras venir si tu veux, je n'ai pas touché à tes affaires tout y est encore.
Je passerai sûrement récupérer des affaires après, je vais à l'hôpital et je passe après. J'avais raccroché, on aura tout le temps de parler après.
Je repris ma route pour aller dans l'hôpital que je connaissais si bien malgré le temps.
Bonjour, je viens voir Andrew Turner.Oui, qui êtes vous ? Dit la secrétaire en décrocher les yeux de son écran.
Sa fille, Margaret Turner.
Oh, c'est au deuxième étage chambre deux cent seize. Les visites se finissent à vingt heures.
Merci. J'en avais rien à foutre de le voir, en soit je vais juste lui cracher mon venin une fois pour toute. J'avais pris l'ascenseur en remarquant que j'ai toujours mon alliance au doigt, comme s'il était toujours avec moi. Je crois que c'est ça le but des alliances.
J'avais avancé en regardant le numéro des chambres sur les portes, deux cent seize. J'y suis. Je pris une grande inspiration et rentrai après avoir toquer.J'ai dis que je veux pas de vos traitements à la con ! Laissez moi crever !
Et merde je pensais que tu serais déjà mort.
Margaret qu'est-ce que tu fous ici ? Retourne te piquer à Londres.
Ça sert à quoi ça ? C'est ton oxygène ? J'avais pincer un tube transparent quelques secondes.
Ah ouais tu deviens un peu rouge. Tu ressembles à rien mon pauvre t'étais déjà pas gâté par la nature mais alors là ! Regarde toi chauve et tout recroquevillé sur toi même.Pourquoi t'es venu ici ? Toute ma vie tu vas me la pourrir ?
Ouais. Je suis venu pour te dire quel genre de pourriture tu es. Le genre qui me défonçait la gueule à coup de bouteille de rhum, qui verser son verre sur mes plaies ouvertes. Le genre qui n'a jamais porté assistance à son propre enfant en danger. Qui battait sa femme devant ses enfants. Tu es une perversion même de la nature, tout ce que la nature a fait de malsain est en toi. Tu n'es pas un enfant de Dieu. Tu es un sombre fils de pute. Tu m'excuseras auprès de mamie parce que tu la reverras bien avant moi. Un père qui a rejeté toutes ses pulsions de violences sur ses enfants. Et je n'ose même pas parlé de ce que tu allais faire vivre à David. La thérapie de genre est une putain d'invention de merde. Sache que maintenant je suis marier à Thomas, que mon nom de famille n'est plus Turner mais Lee. Et que c'est son père qui m'a accompagné jusqu'à l'autel, vu que tu es un incompétent. J'avais totalement mentis mais je voulais le faire souffrir autant que moi j'ai souffert.
Et dire que tu étais ma préférée...
Pourquoi j'étais ta préférée ? Parce que tous les dealers qui traînés devant le tabac je les connaissais donc ils allés m'acheter des clopes pour toi. Pareil pour l'alcool.
Non, parce que toi et moi on est pareil, on a le fond méchant et violent, comme ton grand-père avant moi. Tu finiras par être une mère tyrannique et violente, tu pourriras de tes addictions toi aussi.
Je suis totalement sobre. Encore un mensonge.
Et je ne serais jamais comme toi. Je l'ai trop subi pour le devenir. Tu n'es qu'une sombre merde qui ne mérite pas de vivre. Maintenant je te souhaite de crever dans d'atroces souffrances. Je suis bien plus heureuse sans toi. J'étais sorti de la chambre avec des regards étonnés vers moi, j'avais oublié au combien c'est mal insonorisé ici.
Quoi ? C'est une merde là dedans. J'étais parti pour sortir mais je m'arrêtai pour prendre un café dans la machine. Après je parti dans le jardin couvert de l'hôpital.J'ai envie de pleurer de nerfs. Je vais envoyer un message à Alex.
Je l'ai fais Al'. Il va mourir. Enfin.
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À L'odeur De Cigarettes
RomanceMargaret Turner, une jeune femme ayant vécu plus d'une centaine de vies en seulement vingt-six ans. Fille aînée de bonne famille elle croyait en être la déception jusqu'à leur départ prématuré. Elle fera la rencontre de cet homme aimant les margarit...