À L'odeur De Cigarettes

XL-Tonight Is The Night I Die

Avertissement, ce chapitre contient des scènes pouvant heurter la sensibilité de certains lecteurs.
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Thomas et moi n'avions plus eus de moments amoureux à nous après Noël. David avait fêté le nouvel an avec Simons et les garçons. Tandis que Thomas et moi faisions des plans, imaginions des scénarios et des solutions sur toutes les tournures possibles et inimaginable pour la nuit de la rencontre, voir de l'affrontement.
Thomas il faut pas se voilé la face. Il y aura une confrontation verbale. Mais l'affrontement est inévitable malheureusement. On se doit d'y penser davantage. Je buvais mon Irish-coffee en fumant une cigarette.

Tu as raison Arabella. Il buvait un bourbon en fumant lui aussi. Thomas était bien plus sombre que d'habitude, ses vêtements étaient quasiment les mêmes qu'à Noël et il avait l'air bien plus sombre. Empli par la colère je dirais.
Tu devrais aller dormir, je m'occupe du reste.

Non. Je suis ton second. Tu n'as pas à me chouchouter comme ça Thomas. Si tu bosses, je reste avec toi. Personne ne fera plier ma manière de penser. Si tu veux que j'aille dormir tu viens avec moi. Toi aussi tu as besoin de te reposer.

La rencontre est dans deux jours. Il répétait cette phrase comme ci ça allait faire reculer la date...

Tommy, va prendre un bain je m'occupe d'appeler Irina pour savoir où en sont les armes.

Tu es sûre ? Ne la fais pas venir. Pas elle en personne.

Oui, va te faire couler un bain je m'occupe de tout Tommy. Il était parti en me laissant dans son bureau.
J'avais composé le numéro d'Irina sur mon téléphone et avais attendu.

Bonsoir ? A qui ai-je l'honneur ?

Bonsoir Madame Fritz, je suis Margaret Lee, Thomas et moi voulions savoir où en sont les armes si c'est possible.

Margaret, aux dernières nouvelles elles sont en cours d'arrivage. A l'endroit prévu. Tu as besoin d'autres choses ou que je vous envoie des hommes en renfort ?

Non rien de tout ça, merci de proposer Irina.

D'accord je te dis à la prochaine fois alors.

A bientôt. Je toquai à la porte de la salle de bain. Les armes sont en cours d'arrivages.

D'accord. Sinon ça fait longtemps que je ne t'ai pas demandé. Comment te sens tu Margaret ? Je m'étais assise contre la porte.

Je vais bien, un peu fatigué et impatiente que tout ça se termine. Et toi ?

Pareil. Après tout ça je t'emmènerai au restaurant et à un concert.

Si tu veux Tommy. J'avais peur qu'il n'y pas de prochaine fois. J'ai l'impression que mercredi est mon dernier. Thomas.

Oui chaton ?

Je pense qu'on a fait tout ce qu'on a pu pour les avants. Maintenant on devrait juste se reposer et donner les instructions.

Tu as raison. Tu as peur ? Parce que c'est ton premier.

Oui. Je meurs de peur. C'est impressionnant comment la boule en moi est énorme et palpite. 

C'est normal. Tu es humaine et c'est encore nouveau pour tout ça. Je sentais son inquiétude comme un chien sent la peur.