Je vais mieux beaucoup mieux nous étions dans la semaine de Noel et Thomas avait insisté pour que David et moi venions passé la soirée chez lui.
Aller Margaret ! Viens ! Je t'en pris ça va être cool ! Il me prenait de force dans ses bras en me serrant fort comme un enfant.D'accord, d'accord. J'accepte, mais à la condition que tu me laisses t'aider avec la cuisine. Je sais que c'est fourbe mais c'est une question piège. Thomas aurait appelé un traiteur de luxe d'ordinaire, juste pour ne pas à avoir à cuisiner. Mais à mon étonnement il commença à sourire malignement, me prit par les épaules, planta son regard dans les miens.
C'est d'accord, on mangera un Chilli Con Carne ? Avec un apéro dînatoire ? Ses yeux brillants me donnaient envie de fondre. Ils me réchauffaient complètement. Qu'est-ce que j'aime le voir comme ça... qu'est-ce que je l'aime...
Ça marche, j'irais faire les courses demain matin, tu viens avec moi ?
Si tu veux. J'avais oublié que nous sommes le vingt-trois décembre, je n'ai ni cadeaux pour Thomas ni pour David. Je pense leur offrir une bague, j'avais remarqué que Thomas en portait souvent, même si elles n'avaient pas de signification particulière a première vue... David en raffole grâce à Cliff Burton depuis que je lui ai montré.
Maggie ça va ? T'as l'air gelée. Il avait posé ses mains sur mes joues pour les réchauffées. Tu veux ma veste ? Mais pourquoi tu sors en jupe et bustier avec juste une veste en cuir en hiver ?
J'aime bien le froid. Il avait posé son long manteau en laine noir sur mes épaules. Il sent bon, il sent comme lui. Il avait frotté mes épaules vigoureusement en fronçant fortement les sourcils, sous mes rires.
On dirait que tu vas m'engueuler ! Tu devrais voir tes sourcils !Il commença à sourire un peu, ses yeux tiraient un peu sur le gris, même s'il d'ordinaires ils étaient noisette c'est sûrement du aux reflets de l'eau.
J'ai envie de t'embrasser Maggie. Ces mots il ne voulait pas les dire à haute voix, mais son cœur en avait décidé autrement.Fais le. Qu'est-ce que tu attends ? Je le regardais en penchant légèrement ma tête sur le côté. Il me fait sentir comme insouciante, un goût de jeunesse, doux et tendre une sécurité. Un amour sain.
J'y vais alors. Il avait remis ses mains sur mes joues, elles étaient devenues un peu plus froides qu'avant, ses yeux jonglaient entre mes yeux et mes lèvres. Il y avait aucune tension entre nous, tout se faisait naturellement, comme si nos corps avaient été mariés pendant des décennies. Il avait posé ses lèvres sur les miennes et je lui avais accordé cet accès que j'ai refusé depuis des années. Ce baiser était doux et apaisant, comme du miel. Quand il s'arrêta il me regarda en détournant un peu le regard, légèrement rougi par la gêne.
C'est mignon comment Monsieur Lee devient tout timide juste avec un baiser. J'avais ris, probablement aussi rouge que lui, mais je pourrais feindre que c'est le froid. Même s'il réchauffe mon monde entier.
Je t'en dois un aussi du coup, si tu veux m'embrasser tu pourras.
D'accord Tommy. J'avais embrassé sa joue en laissant une marque de rouge à lèvre rouge foncé tirant sur le marron. Il faut que j'aille à la bijouterie tu veux venir ?
Si c'est avec toi, c'est obligatoire, tu es ma femme après tout.
Nous avions rigolé et parlé tout le trajet durant.
Tu veux aller dans celle-ci ?Ouais je sais ce que je veux.
J'avais sauté hors de la voiture, j'étais surexcité de pouvoir offrir ce cadeau à mon frère.
Il m'avait accompagné dans la boutique en me regardant calmement.
Bonjour Madame, je voudrais cette bague en taille cinquante huit pour homme s'il vous plaît.D'accord Mademoiselle, Madame pardon. Elle avait regardé Thomas derrière moi en souriant. C'est pour offrir ?
Oui, à mon frère.
Je vois, ça vous fera cinq cent pounds.
Par carte s'il vous plaît. J'avais mis ma carte dans la machine sans même une angoisse. Payement accepté.
Ce sera tout ?
Non je cherche une autre bague pour homme aussi.Quel genre ?
Une chevalière argentée.
Nous avons celles-là qui pourraient correspondre à vos demandes je vous laisse regarder.
Thomas tu aimes bien laquelle ?
J'aime bien celle-ci, l'arbre de vie est un très beau symbole.T'as raison je vais prendre celle-là, il a à peu près des mains comme les tiennes, tu mets du combien ?
Euh, soixante.
Et celle-ci en soixante s'il vous plaît.
J'avais payé et j'étais ressorti de la boutique avec mes cadeaux.
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À L'odeur De Cigarettes
RomanceMargaret Turner, une jeune femme ayant vécu plus d'une centaine de vies en seulement vingt-six ans. Fille aînée de bonne famille elle croyait en être la déception jusqu'à leur départ prématuré. Elle fera la rencontre de cet homme aimant les margarit...