Les jours passèrent calmement. La neige recouvris les jardins et le château. Le poignet d'Isabella fut totalement guéris.Elle rejoind Charles dans la bibliothèque en frissonnant a cause des courants d'airs.
C: bonjour Isa!
L: bonjour Charles ! Bien dormi ?
C: oui et toi ?
L: ça va mais j'ai super froid. J'ai pas pris des tenus pour le froid.
C: la couturière de la famille viens demain tu pourra passé ta commande.
L: parfait ! Tu fait quoi ?
C: je lis un livre venant de France. Un certains léonard de vinci.
L: grand papa a écris un livre ?
C: tu connais ce genis ?!
L: oui c'est le donateur de l'ordre. Il est tellement gentils que je l'appel grand papa. Ça fait longtemps que je l'ai pas vue. Papa est parti en mal avec le reste de l'ordre et du roi alors on y retourne plus. Mais il m'envoie encore beaucoup de lettres.
C: c'est un pure génie ! J'aimerai beaucoup le rencontrer.
L: tu peut lui envoyer une lettre le priant de venir.
C: tu crois qu'il va venir ?
L: je leur appuyez ta demande. Après c'est à lui de choisir.
C: écrivons lui.
Ils se mirent au secrétaire pour écrire la lettre. Il s'assit et elle posa ses mains sur les épaules de Charles.
L: sois très polis, cite quelques une des ses inventions mais pas trop.
C: bien.
Ils écrivent la lettre. Isabella écrivis une petite lettre qu'elle mis avec et alla la donner à un valet qui l'envoya. Ils mirent le roi au courant.
R: quel merveilleuse idée ! J'espère qu'il acceptera.
Isabella et Charles partir dans la bibliothèque. Elle alluma le feu et se mis devant pour se réchauffer.
C: tu a pas trop froid ?
I: a ton avis si je suis assise devant le feu c'est que j'ai froid !
Il lui apporta une couverture et lui lis dessus.
C: désolé...
I:c'est rien.
Elle lui sourit doucement. Il s'assit à coter d'elle et la pris contre lui pour la rechauffer.
C: je peut te passer des affaires à moi... Mais je pense pas que tout le monde soit d'accord.
L: je pense pas en effet.
Elle posa sa tête contre son épaule et ferma les yeux.
C: tu est fatiguée ?
L: oui j'ai beaucoup travaillé hier soir.
C: tu a travaillé sur quoi ?
L: une formule de mon père. J'arrive pas à la comprendre du coup je fait des testes pour la comprendre.
C: bien. Repose toi alors...
Elle accuisse et quelque minutes plus tard il l'a sentit beaucoup plus lourde sur lui. Il l'a pris et l'a posa sur une méridienne et mis la couverture sur elle.
Il hésita et lui embrassa le front.
C: repose toi bien...
Il s'installa a un petit secrétaire pour travailler. Le roi vient le voir et sourit en voyant Isabella endormi.
R: elle a pas beaucoup dormi ?
C: apparemment.
Ils travaillerent en murmurant pour ne pas la réveiller. Un valet entra brusquement et parla fort. Isabella se réveilla en sursaut.
R: et bien ! Quel réveille. Que ce passe t'il pour nous déranger aussi brusquement.
V: toute mes excuses mon Roi mais... Le roi de France est la et... Il demande à vous voir.
R: le roi de France !? Mais quelle est donc cette plaisenterie !
V: il est en bas... Il demande à vous voir mon roi...
Le valet se retira et le groupe se regarda.
C: le roi de France !? Pourquoi il est la ?
R: j'en sais rien. Ça me dit rien qui vaille. Isabella tu le connais ?
L: très peut. Je suis parti avant. Mais papa dit qu'il est assez... Prétentieux.
C: et la politesse ? Il connaît ?
R: Charles!
C: c'est vrai ! Prévenir de son arrivé c'est trop dure pour lui ?
L: apparemment... Ho non !
R: quoi ?
L: il ne doit pas savoir que je suis la !
C: pourquoi ?
L: moi et mon père somme rechercher en France ! Vue que nous somme parti et que papa l'a trahis. Si il me vois il me ramènera en France pour attirer mon père.
Charles la pris dans ses bras la voyant paniquer.
C: calme toi...
L: si il me ramène en France papa foncera tête baisser dans son piège ! C'est la mort assurée si on y retourne.
R: vous deux ?
L: oui. Peut importe si j'étais petite à se moment là je suis conciderer comme complice vue que je suis parti avec lui.
C: l'ordure. Reste dans tes appartements ne sort pas on s'occupe du reste.
Charles raccompagna Isabella dans sa chambre en passant par les couloirs des domestiques pour qu'aucun français ne la remarque. Une fois dedans il l'a regarda et la repris dans les bras.
L: Charles... Ton père a besoin de toi ! Tu est l'héritier...
C: je sais. Sois discrète tire les rideaux pour pas qu'on voit les lumières. Reste silencieuse aussi.
Elle accuissa et le laissa partir. Elle observa de sa fenêtre le roi François et Léonard de Vinci.
L(pensé) : j'aimerai tellement lui parler...
Elle croisa le regard de Léonard qui écarquilla les yeux en la voyant. Elle ferma le rideau rapidement et alla faire des expériences. Les heures passèrent tranquillement et du salon elle entendais les gens dehors.
Vers 2 heures du matin elle sursauta quand on toqua à sa porte. Elle se dirigea en silence et écouta à travers la porte.
F: je ne comprend pas. Une personne qui devrai ressembler à la fillr Laguerra ?
V: oui. Je suis sur que c'est elle. Elle a bien grandis mais je suis sur que c'est elle.
L(pensé) : oh non !
Elle retourna vers le salon et pris un sac et le remplis avec ses affaires. Elle se changea dans sa tenue d'aventuriere dans le plus grand silence.
F: Laguerra ouvrez ! On sait que vous êtes la.
Elle eu juste le temps de prendre son peigne et les documents sensible de son père et sur l'espionnage et ouvri la fenêtre. Elle vérifia qu'il y avait personne et disparu dans la nuit.
L(pensé) : pardonne moi Charles. Mais c'est trop dangereux.
VOUS LISEZ
Recueil OS mystérieuse cité d'or
FanfictionRecueil de mes OS sur les mystérieuse cité d'or.