Mendoza se sentait libérer d'un poids après lui avoir avouer qu'il l'aimait.L: je... Moi aussi... Moi je vous aime.
Il se sentit très heureux et s'approcha pour l'embrasser.
Les lèvres de Laguerra était douce et chaude. Mendoza sourit après un baiser rapide.
M: vous venez alors...?
L: non... C'est votre quête. Nous allons vous gêner.
Elle recula de quelques pas. Mendoza sentit son cœur se serrer et voulu lui prendre la main. Elle la retira doucement.
M: Laguerra...
L: je suis désolé... Mais je peut pas vous suivre...
Il tourna la tête sur le côté pour ne pas que ses larmes soit visible.
L: je dois retourner dans la nef. Bonne chance... Pour la quête...
Elle tourna les talons et reparti vers la nef.
Mendoza parti vers la cascade. Une fois arriver sur le lieux il passa la cascade. Il s'assit un fait un feu pour se réchauffer. Il attendis les enfants mais la nuit tomba.
Il fixait le feu et sentit des larmes couler sur ses joues. Il les essuya mais elles continuaient de couler. Il laissa sa tristesse le prendre pour la première fois depuis longtemps.
Il serra son haut à cause de certaine douleur dans son cœur. Il se mis à pleurer encore plus.
Quelques minutes plus tard il se calma. Il repris le contrôle sur ses émotions et se fit à manger mais la douleur au niveau de son cœur était toujours présente.
Il s'allongea et repensa à tout ce qui c'était passer en quelque temps. Il s'endormi et se réveilla le lendemain matin à cause d'Esteban qui le secouait doucement.
E: Mendoza !
Il se jeta dans les bras du marin. Quelque instant plus tard ce fut Zia et Tao qui se rajouterent au calin.
Mendoza leur raconta presque tout et ils partirent de la.
M: dite. Ça vous dérangerai si Gaspard et Laguerra viens avec nous. C'est grâce à eux que nous avons tout les indices et que je me suis échapper.
Il y a un moment de silence puis une acceptation générale qui le surpris. Ils allèrent vers la nef et furent surpris par un calme absolu.
Z: wha... Ça fait peur.... Pas un bruit rien...
P: c'est vrai... D'habitude il y a un son de la nef la rien...
Mendoza sorti son épée et s'approcha doucement. Il gravit les marches suivis des enfants et des deux autre marins. La porte s'ouvris et la pièce principale était sombre et sans aucun bruit. Les enfants se réfugierent dans les bras des marins.
E: partons... J'ai peur....
Z: moi aussi...
T: pareil...
Mendoza caressa le dos des enfants. Il s'approcha de la table et remarqua qu'elle était en désordre total. Les fioles était briser au sol, des cartes déchirer, des livres au sol et ouvert éparpillés partout.
Il s'approcha du couloir au se trouvait les chambres.
T: il y a un couloir !?
M: oui. Il y a des cabines.
Mendoza entra dans le couloir.
P: il y a aucun bruit... Mendoza partons.... Ils sont pas là !
M: oui...
Il entendis un gémissement venant d'une cabine. Il se tourna vers les autres qui étaient tous blancs. Il se dirigea vers la cabine et l'ouvris.
Pour la première fois de sa vie il cria. Pour la première fois de sa vie il était terrifié. Pour la première fois de sa vie il ne su pas quoi faire.