Recueil en tout genre (Ships)

Kokushibo x Muzan

Pov Kokushibo

Je discute tranquillement avec Douma quand la discussion dérape.

Douma : Je préfère les femmes, niveau sexe c'est pas trop mal.

J'ignore la dernière information.

Kokushibo : Grand bien te fasse.

Douma : Et vous ?

Kokushibo : Je ne m'intéresse pas à ça.

Douma tire une moue boudeuse avant de s'éclipser.

Je pars alors rejoindre Kaigaku pour l'entraînement. Il n'y échappera pas.

** Trois heures et demi plus tard **

Kaigaku : Pause !

Kaigaku tombe à genoux devant moi, s'agrippant à mes vêtements.

Son agilité devient de plus en plus aiguisée, sa régénération est plus rapide mais son endurance prend tout son temps pour se développer.

Kokushibo : Debout aller.

Kaigaku : Je suis à bout la !

Je m'apprête à le rappeler à l'ordre quand le maître fait irruption dans la salle.

Muzan : Tiens tu es là.

Il se fige devant nous. Sûrement dû au fait que Kaigaku se maintient à moi.

Kokushibo : Muzan-sama.

Kaigaku : Maître.

Il lâche mes vêtements et s'incline.

Muzan ne lui prête aucune attention se focalisant sur moi à la place.

Muzan : Quand auras-tu fini ?

Kokushibo : Dans quelques heures.

Muzan fusille Kaigaku du regard. Celui-ci se décompose littéralement de peur.

Muzan : Tu passeras me voir après.

Le maître s'en va alors que j'aide Kaigaku à se relever.

Kaigaku : J'ai faillit mourir-

Kokushibo : Pourquoi dis-tu ça ?

Il me dévisage comme si j'étais aveugle.

Kaigaku : Le maître voulait ma mort car je prend de votre temps et ne parlons pas de notre position...

Je le regarde stupéfait, mais je préfère ignorer et on reprend l'entraînement.

Celui-ci se termine quand Kaigaku se faire "emprunter" par Akaza pour un combat.

Kokushibo : Évite de le tuer.

Akaza : Ouais ouais.

Kaigaku me regarde peu rassuré alors que je pars en direction du bureau de Muzan.

Je toque mais personne ne répond. Je décide d'entrer et remarque que tout est éteint.

Je m'avance de la pièce à le recherche d'un interrupteur. Je n'y vois absolument rien.

Kokushibo : Muzan-sama ?

J'avance prudemment mais je me fait plaquer à une vitesse ahurissante, ventre contre le bureau, par Muzan.

Muzan : Tu en a mis du temps.

Mon visage s'empoupre du à notre position actuelle. Je suis à plat ventre sur le bureau, le bassin du Maître contre mon derrière. J'essaie de me pas bouger pour éviter de me frotter même si j'en meurt d'envie.