Kokushibo x Akaza

1K 35 38
                                    

Pov Akaza

Je repars au dojo que j'ai vu il y a quelques heures pour y passer la journée. Le soleil commence à se lever tandis que j'arrive à l'intérieur.

Je referme la porte avant les premiers rayons, me tournant vers l'intérieur, et tombant nez à nez avec Kokushibo. Qu'est ce qu'il fiche ici ?

Akaza : Kokushibo ?

Kokushibo : Akaza. Je ne savais pas que tu étais là.

Akaza : Moi non plus, je pensais que l'endroit était vide. Que faites-vous ici ?

Kokushibo : Je traquais un pilier mais le soleil s'est levé. Et toi ?

Akaza : C'est ma zone de chasse.

Kokushibo : Je pense que nous sommes coincés ensemble toute la journée.

Akaza : Belle observation.

Kokushibo : Akaza.

Un frisson remonte le long de mon dos.

Kokushibo : Ne me manque pas de respect.

Akaza : Hm.

Je m'installe au fond de la pièce, retirant ma veste, Kokushibo se place en face de moi.

Akaza : Quoi ?

Kokushibo : Pourquoi es-tu si virulent avec Douma ? C'est ton supérieur ne l'oublie pas.

Akaza : Comment pourrais-je l'oublier ?! Je le hais. Et c'est réciproque.

Kokushibo : Qu'elle est la raison de ta haine ?

Akaza : Vous voulez vraiment savoir ? Ou c'est un question rhétorique ?

Il ne répond pas.

Akaza : C'est bien ce que je pensais.

Je lève les yeux au ciel et commence à étirer mes membres.
J'étale mes jambes pour commencer à les détendre et faire mes échauffements sous les yeux percent de la première lune.

Je commence à détendre mon dos quand je sens que celui-ci se coince.

Akaza : Merde-

Kokushibo : De l'aide ?

Je relève la tête, les pommettes rouges de honte.

Akaza : Si possible.

Kokushibo vient se placer derrière moi, sa présence est oppressante mais pas désagréable... C'est plutôt apaisant, plaisant de savoir qu'il est derrière, que c'est lui qui m'aide, contrairement à l'autre connard.

Il s'agenouille tout en plaçant sa main sur mon dos pour commencer à appuyer dessus et me faire me coucher. J'ai les joues rouges et une pression désagréable prend place dans mon bassin.

Le bout de ses doigts partent de mon cou descendants de plus en plus bas, laissant une marque de griffures, jusqu'à arriver au niveau de mon pantalon.

Un long frisson travers mon corps et je pense qu'il le sent puisqu'il pose sa main à plat.

Kokushibo : Akaza.

Une nouvelle vague de frisson me traverse tandis que je sens son corps se draper sur le mien. Sa voix est roque, c'est à peine un murmure.

Kokushibo : Cette position est plaisante.

Je sens son souffle contre mon oreille.

Akaza : Je- Je pense également...

Je replis mes genoux sous mon corps pour être agenouillé, le corps coincé entre le sol et le corps sculpté, massif, imposant de Kokushibo qui me surplombe. Mon pénis me fait mal et je sens une tâche humide au niveau de celui-ci.

Kokushibo place ses deux mains de chaque côté de ma tête pour avoir un appuie.

Kokushibo : Tu avais prévu ça ? Et ne me ment pas sinon tu n'auras rien.

Mon corps se raidit. Je ne veux pas qu'il arrête. Pas maintenant !

Akaza : Je... Je savais que tu serai ici... Juste aujourd'hui...

J'ai honte, mon front est collé au sol, je n'ose même pas relever le tête.

Je sens le souffle de Kokushibo descendre au niveau de mon cou. Je m'apprête à dire quelque chose quand ses dents pénètrent ma chaire me faisant gémir sans honte de plaisir et de douleur.

Il lèche le sang avec sa langue tout en descendant de plus en plus bas, traçant les tatouages dans mon dos.

Ses mains se déplacent sur mes hanches pour les relever.

Mon corps suit le mouvement et je me retrouve les fesses en l'air, juste devant le visage de mon supérieur, tandis que le haut de mon corps est étalé sur le sol.

Je suis, littéralement, mort de honte !

Mes mains sont de chaque côté de ma tête. Je tourne celle-ci pour établir un contact visuel et tombe sur Kokushibo qui affiche un sourire carnassier, peu rassurant.

Ses mains se placent sur la jonction entre ma peau et mon pantalon avant de baisser celui-ci.

L'air frais me frappe, je laisse échapper un gémissement tout en regardant Kokushibo.

Il se lèche les lèvres, enlevant ses vêtements, avant de se pencher vers mon derrière.

Il me mord sur chacune de mes cuisses pour y laisser sa marque, lèche des bandes de chaires avant de venir jouer avec mon trou.

Des cris me quittent alors que sa langue imite les mouvements d'une pénétration. Sa salive descend sur mes couilles puis sur mon pénis.

Je ne sais pas combien de temps s'écoule, je ne sais pas combien de temps il s'amuse à jouer avec mon corps.
Mais je sais que quand il arrête je suis déjà venu trois fois et suis toujours douloureusement dur, du liquide pré séminal est étalé sur tout mon ventre avec mes autres dépense.
J'ai le visage rouge, plein de larmes et de bave qui s'écoule sur le parquet. Mes lèvres sont sûrement gonflées vu la force avec lesquelles je les ai mordu.

Sa main glisse au niveau de mon cou, relevant mon corps, collant mon dos à son ventre. Ses lèvres rejoignent les miennes alors qu'il entre dans mes chaires d'un mouvement fluide, sans douloureux.

Je me sens plein, mon ventre est gonflé, mes gémissements, cris, sont étouffés par la bouche de Kokushibo qui les avales goulûment.

Je bouge mes hanches, donnant le signal, les coups de boutoirs commencent.
Sa bite frappe de plein fouet ma prostate sans pitié. Ses doigts viennent pincer mes mamelons, les griffant de temps à autre alors que son rythme est brutal, punitif, cependant il cherche mon plaisir avant le sien.

Il s'éloigne de ma bouche pour mordre mes épaules.

Je gémis sont nom comme une prière alors que je viens une nouvelle fois.

Kokushibo continue de me baiser pendant mon orgasme et arrive quelques temps après.

Mon ventre gonfle de sa semence alors que je m'effondre dans ses bras.
Il se retire et m'installe sur ses vêtements, je m'en roule dans sa veste.

Kokushibo : Tu es à moi maintenant.

Akaza : Vu toutes les marques je n'en doute pas...

J'ouvre mes bras pour qu'il vienne si installer.

On se glisse tant bien que mal sous son yukata et je sombre dans un sommeil sans rêve.

________________

Moi insomniaque ? À peine 🤡
J'espère que les chaps vous plaisent ! Je fais du mieux que je peux 🤧

Recueil en tout genre (Ships)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant