Douma x Akaza

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Pov Akaza

Oh seigneur- POURQUOI LUI ?!

Douma : Un problème ?

Akaza : Oui, toi !

Je souffle exaspéré alors que Douma affiche un sourire mauvais.

Après m'être fait attaqué et empoisonné à la glycine, Muzan-sama a voulu me garder sous surveillance jusqu'à ce que j'assimile le poison.

Et bien sûr Kokushibo étant absent le maître a demandé à cet ABRUTI DE ME SURVEILLER !

Je commence à me redresser, j'ai les crocs.

Douma : Tu devrais rester allongé.

Akaza : J'ai faim. Tu n'a vas pas me ramener ce que je veux alors-

Douma : Assit.

Mon corps obéit contre mon gré. C'était quoi ça ?!

Je regarde Douma l'air abasourdi alors qu'il affiche de nouveau son sourire...

Je me replace sous les draps en grognant alors qu'un frisson me parcourt le corps.

Douma : Je vais chasser, tu ne bouge pas.

Je lève les yeux au ciel avec un soupire.

Akaza : Ou veux-tu que j'aille ?

Douma : Hm... À toute à l'heure !

Et avec un sourire il se casse. Je m'affale sur mon lit de fortune qui n'est qu'un pauvre futon au fond de mon dojo perdu en pleine forêt.

Pourquoi c'est toujours pour ma pomme que ça arrive ?

L'autre idiot a une meilleure constitution que moi, mais non !

Fallait que se soit moi !

Je souffle.

Akaza : J'en ai déjà marre !

Le poison a été administré il y a trois heures, j'ai vomis, eu des vertiges, une fièvre mortelle et maintenant...

Je relève les draps pour regarder les dégâts.

Akaza : J'ai une putain d'érection... Ils ont mis quoi dans ce poison ?!

Je rabaisse la couverture.

C'est majoritairement à base de glycine, c'est sur, mais pour le reste... Certaines plantes aphrodisiaques sont mortelles... Peut-être l'une d'elles ?

J'essaie de trouver une position confortable... Faite qu'il fasse vite je commence vraiment à avoir faim...

*Deux heures et demi plus tard**

Douma : Je suis la !

Oh non- Je ne l'ai pas entendu ?

Ses pas se dirigent vers moi alors que j'essaie de cacher se désastre.

Douma : Aka-

Ses yeux arc-en-ciel se posent sur moi alors que je replis mes jambes.

Douma : -za.

Il déglutit bruyamment, ses yeux sont fixés sur mon corps nu, avec mes jambes repliées pour cacher mon pénis.

Je vois qu'il transporte un sac gorgé de sang. Trop petit pour un corps mais assez pour les organes...

Douma : Akaza ?

Il ne manquait plus que ça !

Je détourne la tête, rouge de honte alors que les dernières larmes de plaisir coulent.

Recueil en tout genre (Ships)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant