12 Mai 2019

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Julián Giménez-Guerrero
Santiago est revenu avec un verre de cocktail. J'ai regardé son ombre et j'ai vu la forme de chaînes autour de ses pieds menant au barman.

_ Santiago, quelle boisson est-ce ?

_ Un cocktail mimosa. Je t'en donnerai, mais il y a de l'alcool dedans.

_ De l'alcool et quoi ? Je vois autre chose dans ton verre. Il y avait des trucs blancs tourbillonnants dans sa boisson.

_ Tu penses trop, sucre. Ce ne sont que des hallucinations. Il a pris une gorgée.

_ Santiago ?J'ai commencé à m'inquiéter.

La dernière fois qu'il a bu ces trucs bizarres, c'était quand il prenait des substances illégales. Il a promis d'arrêter.

_ Ce n'est pas ce que tu penses. Il s'assit plus près de moi, pressant sa jambe contre la mienne. Nous parlerons plus tard.

Je soupire en prenant un chocolat trempé à la fraise. J'ai commencé à manger, conscient des yeux de Santiago sur moi. Quand il a commencé à me caresser la cuisse, j'ai dû m'éloigner de lui.

_ Pas ici, Santiago. Tu es dans un lieu public.

Nous étions à une fête à laquelle il était invité. Je ne sais pas pourquoi il voulait venir, mais il m'a amené avec lui.

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Il était tard dans la nuit quand nous sommes rentrés chez nous, allant directement au grenier. Santiago se précipitait pour entrer dans mon pantalon.

_ C'était une torture de ne pas pouvoir t'embrasser toute la nuit."dit-il avant d'embrasser passionnément mes lèvres.

Il caressait mes cuisses tout en embrassant mon cou descendant sur ma poitrine. Je le sentais doucement sucer mon flanc.

_ Santy, arrête. gémis-je, faiblement.

C'était mon point faible. Il m'a presque fait oublier ce que je voulais lui demander.

_ Juste un petit peu. Il m'a embrassé l'épaule.

Ses jambes pressées contre mes jambes me donnaient envie de faire pipi.

_ Je dois faire pipi. Ma voix est sortie faible.

Il a fait comme s'il ne m'avait pas entendu. En fait, il appuya plus fort sa jambe contre ma vessie. Il a fallu tout en moi pour ne pas me faire pipi même si quelques gouttes se sont échappées.

_ Je vais nettoyer après toi. Il frotta sa cuisse contre la mienne.

Cela me tuait et il le savait. Si je me fais pipi, il sera encore plus excité et se moquera de moi plus tard. C'est arrivé avant à ma honte. Heureusement que nous étions par terre.

Le fait qu'il touche mes mamelons a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase et j'ai senti de façon embarrassante un liquide chaud couler le long de mes jambes.

_ Oh, regarde, tu es mouillé. Il rit avant de m'embrasser. Ne t'inquiète pas, on va se doucher.

Cet homme me tuera d'embarras un jour.

AmberLee [ FR ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant