Chapitre 42

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Pdv Charlie

Charlie : Natasha désactive toutes les sécurités.

Natasha : une seconde.

Charlie : dépêche-toi. S'il s'échappe c'est fini.

Natasha : je suis sur le coup. J'ai verrouillé sa chambre. ... voilà c'est fait.

Tony : ça y est c'est la fête.

Steve : tout le monde sait ce qu'il a à faire... et on n'oublie pas. On ne tue pas les soldats novices.

Charlie : je garantie rien.

Je me jette dans les couloirs de la forteresse me lançant guider par Jarvis a travers l'oreillette. Je croise quelque soldat que j'assomme au passage. Je fini par me retrouver à une intersection sans indication. Qui a conçu des plans aussi pourrit.

Charlie : je vais ou maintenant Jarvis

Jarvis : a gauche puis vous descendez de 4 étages.

Charlie : ok.

Je recommence à courir, droit vers ma cible principale.

Natasha : j'ai entré tes emprunte pour entrer dans les quartiers de Pierce.

Charlie : parfait. J'y suis presque. Comment ça se passe pour vous ?

Tony : le secteur armement est bientôt détruit

Wanda : je fais sortir tous les soldats de la base. Ou ils sont attendu par Steve et Bucky

Pietro : moi je l'aide.

Charlie : super. Thor t'en ai où ?

Thor : je suis .... Perdu.

Charlie : demande a Jarvis.

Clint : nous on va en salle de conférence. Il y avait une réunion.

Charlie : vision ?

Vision : je suis à coter de vous.

Je sursaute.

Charlie : t'es malade ou quoi ? tu ma fait peur.

Vision : je suis désolé

Charlie : Peter, Kate, yelena rapport.

Peter : tout va bien

Yelena : non pas du tout, Kate a tiré une flèche explosive.

Kate : je me suis trompé.

Charlie : ce n'est pas vrai.

Le sol se mets à trembler et les murs se fissure.

Charlie : Kate essaie de ne tuer personne. Yelena surveille la.

Yelena : je ne suis pas baby Sitter.

Charlie : aujourd'hui si. Sortez de là en entier.

Tony : les véhicule sont détruit.

Charlie : bien reçu Tony. J'approche de la cible.

Natasha : tu ne me refais pas le coup du plafond qui s'effondre !

Charlie : promis. Vision va aider Thor s'il te plait.

Il part en traversant les murs. C'est flippant quand même ce truc. Bref je me remets à courir quelque mètre.

Jarvis : la porte que vous chercher et au fond du couloir.

Charlie : merci.

Je termine ma course rapide devant une grande porte orner du symbole d'Hydra. Des psychopathes. Je respire profondément avant de couper mon intercom et déposer ma main sur le lecteur. Quand je pousse les portes, Pierce n'est pas seul. Un autre homme d'âge mur, les cheveux argenter. Il est imposant et porte un costume noir. Je ne connais pas cet homme et n'est pu le voir que quelque seconde avant que celui-ci disparaisse dans un portail dès qu'il m'a vu.

Pierce : Charlie, je suis heureux de te voir.

Charlie : ah vraiment ? ça ne va pas durer, croyez-moi.

Il part se servir un verre de whisky.

Pierce : tu en veux un verre.

Charlie : de votre part plutôt crever.

Pierce : fait attention a tes paroles.

Charlie : vous n'êtes clairement pas en position de force actuellement.

Il allât s'installer dans un fauteuil. J'en profite pour le maintenir avec de la glace.

Pierce : ce n'était pas nécessaire.

Charlie : je ne voudrai pas prendre le risque que vous me plantiez un couteau dans le dos comme a mon père.

Pierce : ce n'était pas personnel

Charlie : vous étiez son meilleur ami. Sale fils de pute.

Je lui crache à la figure.

Charlie : alors je vous écoute. C'était qui ce type ?

Pierce : Erik Lehnsher, c'était notre actionnaire majoritaire.

Charlie : oh, je vois un connard dans votre genre.

Pierce : plutôt dans le tien. Et oui, c'est un mutant lui aussi...

Charlie : je m'en doutais avec son portail.

Pierce :je ne me frotterais pas à lui si j'étais toi. Il est puissant. Plus que toi... et tes frangins. C'est dommage que vous ne soyez pas restée, vous auriez pu faire connaissance.

Charlie : je ne vois pas l'intérêt s'il est dans votre camps.

Pierce : c'est toujours sympa de connaitre sa famille.

Charlie : tout les mutant ne sont pas consanguin.

Pierce : je crois que j'ai plus de connaissance sur les mutants que toi. Ça fait quoi 6 mois que tes au courant. De mon coter ça fait plus de 20 ans. A ton avis qui est venus nous dire que Pietro Wanda et toi serai mieux de notre coter.... Peut être celui qui vous a créé.

Je fais exploser son verre contre un mur.

Charlie : bon aller ça suffit tu la ferme maintenant. Je vais être sympa. Je vais te laisser me dire comment tu veux mourir.

Pierce : fait rapide.

Charlie : aucun problème.

Je fais fondre la glace doucement grâce a mon feu, en m'attardant bien pour le bruler au passage. Il essaie de se débattre mais je le maintien en place. Bientôt ses deux jambes seront recouvertes de cloques. Il hurle de douleur et le seul sentiment que j'arrive à avoir est de la joie. Un sourire de vengeance apparait sur mon visage.

Charlie : c'est ta faute tout ça... dis-je en arrêtant de le bruler. Tu sais c'est pour ça. Dis-je en lui montrant ma hanche gauche. Alors voyons voir, ensuite... ah oui... tes petits sous-fifres m'ont violé. Et bas on va fait pareil pour toi.

Pierce : non, non arrêt !

Charlie : je ne crois pas. Tu vas subir tout ce que j'ai subi.

Pierce : mais je n'y suis pour rien moi.

Charlie : si ! pour la simple et bonne raison que tu savais ou j'étais. Que tu as décidé qu'il fallait m'enlever à mon père, ton meilleur ami, qui m'avait accueilli après mon enfance pourrit. TU as décidé de ruiner mon adolescence. Donc si c'est ta faute ! MAINTENANT TU FERMES TA GUEULE !

Je le colle au sol a 4 pattes et lui enfonce un pieu de glace dans le postérieur. Il hurle à nouveau de douleur. A cet instant j'avoue que je me déteste, mais il le mérite tellement. Une fois que c'est fait il s'effondre sur le coter et je le ru de coup dans le ventre. Je décide d'en terminer en lui enfonçant un poignard dans le dos, en symbole de la trahison qu'il a fait à mon père. Enfin je m'installe devant lui regardant sa vie quitter ses yeux. J'aurai pu lui faire tellement plus. Mais à l'instant où j'ai vu ses yeux s'éteindre un sentiment de soulagement m'envahie. Je relâche enfin toute ses années de souffrance. Des larmes envahissent mon visage. C'est terminer. Pour de bon cette fois. Je rallume mon intercom.

Charlie : c'est fini les gars. Il est mort.

Je prends une photo du corps pour la rajouter au dossier puis sors du bâtiment. 

a new Avengers : Charlie AndersonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant