XXV🍂

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Issac ........................

En ce moment de l'année les routes sont plus meurtrière. Il y a beaucoup de neige et c'est pas avec de magnifiques Ferrari ou Lamborghini que vous allez arriver à vous en sortir.

Moi: rentre de reposer David.

David: c'est pas le moment pour du repos on n'est plus loin du but. Je serai de retour dès que les choses seront plus clair.

Moi: bien. En attendant fait en sorte de rester en un seul morceau. Je vous rejoins dès que le temps sera favorable pour voyager.

David: oui bien sûr. Ciao.

Cette mission s'avére être des plus compliqué et des plus meurtrière. Beaucoup de gens haut placé y sont impliqués de ce fait pour les atteindrent il faut d'abord passer par une horde de chien de garde. C'est comme une échelle. On commence en bas et on monte progressivement. Mais cette échelle semble parsemer d'épines.

Bref, à presque quatre kilomètres de chez moi, un homme dans un long manteau se dresse sur mon chemin.
Klaxonner ne servirai à rien vu qu'il m'a bien vu. Je sors de la voiture en emportant mon manteau comportant une arme à feu.

Moi: on est pas encore Halloween. Qu'est-ce vous voulez ??

Il n'a pas perdu de temps à me montrer son visage. Dans un premier temps, je me suis crû en face d'un............. monstre. Cependant, en fixant son visage une seule chose ou bien une seule personne m'est venu à l'esprit.

Inna.

Sa description correspond parfaitement à celui que j'ai en face de moi. Par réflexe on a sorti nos armes en même temps. Deux coups de feu en même temps. J'ai atteint sa main et lui m'a atteint à l'épaule.

Lui: cher neveu je ne pouvais pas espérer mieux pour nos retrouvailles.

Moi: on n'est pas de la même famille.

Au moment de lui envoyer encore une autre balle on me bloque le bras et désarmer en quelques secondes. Cette balle à l'épaule n'y est pas allé de main morte. Je ne sais pas ce qu'elle a touché mais c'est affreusement douloureux.

Lui: doucement. Tout doucement j'ai encore besoin de toi. Il faut que tu sois là quand je l'aurai récupérer.

Moi: jamais elle ne reviendra à toi.

Lui: LA FERME. Tu n'as pas idée de à quel point c'est frustrant de ne pas la voir ni de dormir avec elle. Ma petite déesse sera bientôt de retour entre mes mains.

Moi: pour quelqu'un qui a pu abusé d'une fillette par le passé qui plus est sa cousine, ces paroles n'ont rien de surprenant. Mais sache une chose cher oncle pour ma mère, pour Inna et toute celle qui ont SOUFFERT à cause de toi, je t'arracherai le cœur après t'avoir infliger une souffrance longue............ lente............ et douloureuse.

Lui: Yasmine était un cas apart. Le genre de cadeau que tu n'aura qu'une seule fois. Je m'en souviens encore de cette nuit comme si c'était hier.

Moi: ne - pronoce - plus - jamais - son - nom de ta sale bouche.

Lui: j'ai encore des choses à faire surtout après le massacre que vous faîtes en ce moment mais je te laisse en bonne compagnie. Je le veux encore vivant. Laissé lui juste un petit cadeau.

Il se retourne à nouveau vers moi.

Lui: et tu diras à Inés que je ne suis pas loin. Elle saura de qui vient se message. Et oui avant que j'oublie, mon frère est enterrée un peu plus loin en dehors de la clôture que tu as mis autour de la villa brûlée. Il s'était laissé berné par une vipère sans pouvoir la reconnaître une seule fois et nous avait tous conduit dans un bûcher. C'est vrai qu'il avait pu m'aider et on s'en était sorti tout les deux mais il fallait le punir.

Un dernier regard puis il est parti sans se retourner. Inna avait raison, cet homme donne des frissons et je crains de faire des cauchemards comme elle tant que je ne l'aurai pas tuer. Il n'a plus de visage. Sa joue du côté gauche n'existe presque plus. Ces dents de ce même côté sont à découvert, il ne reste qu'un peu de son nez, ces yeux n'ont plus de cils. J'avais essayé d'imaginer l'horreur qu'avait vécu Inna entre les mains de cet homme, mais là c'est un autre niveau. Dormir avec à côté quelque chose pareille............ putain il ne ressemble même plus à un humain.

En tout cas après tout ça je me suis pris la raclé de ma vie. Ils étaient trois et en plus j'avais une balle à l'épaule. Ils ne paient rien pour attendre.














Inna ....................

Méli: mais assied toi tu me stresse aussi à marcher comme ça.

Moi: mon Dieu Mélissa deux jours que je ne l'ai pas vu. Je veux savoir comment il va.

Méli: il sera là dans quelques minutes. Vous avez parlé au téléphone et il t'a dis qu'il allait bien, non ??

Moi: peut-être c'est juste pour me rassurer. Ces salauds, ile le tapent presque à mort et après appelle les secours.

Méli: quand il me l'a dit j'avais failli exploser de rage. Ils sont pas bien dans leur tête.

Moi: tu devrais savoir qui lui a fait ça.

Méli: il ne veut rien me dire sur ça.

Moi: et moi j'ose pas demander.

C'est dans ces situations que l'on veut vraiment notre liberté. Je veux vraiment le voir. Juste l'entendre ne me suffit. Je ne saurai dire pourquoi je suis au bord d'un AVC mais il me faut le voir de toute urgence. Il s'est pris une balle.

Moi: MON DIEU QU'ILS ARRIVENT. J'EN PEUX PLUS MÉLISSA.

Méli: reste calme. Issac ne doit pas te voir dans cet état c'est pas de ça dont il a besoin. Reste cal...........

Au même moment la porte s'ouvre. Enfin ils sont là. Le voir comme ça m'a fendu le cœur.

Moi: enfin tu es là. Tu vas vraiment bien ?? Hein ??

Issac: je peux encore me tenir debout. Plus besoin de t'inquiéter.

Moi: plus facile à dire qu'à faire.

Il renvoie les infirmiers qui l'ont accompagné après les avoir remercier.

Méli: ça fait du bien de te voir debout mais ils t'ont pas loupé je dois dire.

Issac: merci du compliment. Ça me va droit au cœur.

Moi: c'est pas vraiment le moment. Tu viens on monte ?? Tu vas te reposer.

Je l'aide à monté jusqu'à sa chambre et l'allonge doucement sur le lit.

Moi: j'ai vraiment eu peur tu sais ??

Je lui caresse mes cheveux.

Moi: cela ne doit jamais se reproduire. Plutôt s'enfermer ici tout les deux.

Il pose sa main sur ma joue.

Issac: je vais bien. Je m'en suis sorti c'est tout ce qui compte.

Un petit silence................

Issac: tu m'as manqué ces deux derniers jours.

Puis je l'ai embrassé de moi-même.









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