Camille : Je viens de te sucer pour te goûter et en plus tu m'as donné une bonne goutte sur le milieu de la langue.
Je suis actuellement très gêné tandis qu'elle enlève sa chaussette sur son pied libéré de sa chaussure. Chaussette qui correspond exactement à celle de la veille. Elle ne l'a pas changée ?
Elle prit beaucoup de plaisir à l'enlever doucement en plus...
Camille : Donc là c'est à ton tour comme on se l'est dit. Mais je n'ai pas envie que tu goûtes mon entrejambe. Je veux que tu goûtes mon pied. Et dépêche toi qu'il soit un peu humide sinon c'est injuste.
Moi : injuste ?
Camille : T'as craché dans ma bouche. Je veux que tu aies ma sueur dans la tienne en compensation. Donnant donnant. Alors ne fais pas ton égoïste et mets-toi au sol.
D'un coup d'œil je regarde son pied. Elle l'a surélevé légèrement par rapport au sol. Comme si elle voulait que ma tête vienne se caler entre celui-ci et son pied.
Moi : Bon d'accord je veux bien tenter de l'embrasser mais tu l'as lavé au moins ?
Ma question était une question inutile servant à gratter du temps. Puis qu'en effet, l'odeur dégagée quand elle a enlevé sa chaussure puis sa chaussette correspond à celle d'hier mais doublé. Je suis à un bon mètre de son pied et pourtant je le sens plus fort qu'hier, où j'étais à quelques centimètres.
Camille : Je suis propre d'hier matin ça va. Et si je l'avais lavé, tu aurais gouté du savon. Je te demande pas de vider tes testicules avant de te gouter. Alors me demande pas de nettoyer mon pied. Allez, à ton tour.
Sa main pointe du doigt son pied. Elle semble bien plus autoritaire et tendue. Comme si elle se sentait trahie et qu'elle devait lutter contre moi.
Moi : Camille écoute... tu vois bien que ça sent fort quand mem...
Camille : Je savais que j'aurais pas dû compter sur toi...
Elle joue la carte de la sensibilité... mais ça marche.
Moi : Je vais le faire c'est bon. Mais je fais comment ? Je me mets au so, je l'embrasse et c'est bon ?
Camille : Je t'ai fait qu'un bisou moi ? Non je suis allé plus loin.
Moi : Mais je peux pas te sucer le pied Camille.
Camille : Je veux que tu l'embrasses comme je t'ai fait. Ensuite tu vas sucer un orteil et tu vas un peu lécher le pied comme j'ai léché ton gland. Et je veux que tu me goutes suffisamment comme je l'ai fait.
Moi : Ok. Je vais essayé mais...
Camille : Et ne râle surtout pas. Si on nous entend, je peux dire ce que je veux.
Moi : C'est-à-dire ?
Camille : Et bien que tu essaies de me toucher par exemple sans mon consentement.
Houla. Mayde. Comment je me sors de cette situation ?
Moi : Attends, mais tu disais pas qu'il fallait une bonne relation, saine, longue. Là c'est du chantage.
Camille : C'est une conséquence. T'avais dit que tu viendrais pour me masser et tu proposes un truc dehors. Et bien j'en tire avantage. Prochaine fois tu reviendras dans ma chambre. Maintenant aux pieds ou je crie.
Je me presse alors de descendre de mon siège. Je suis à quatre pattes sur le sol et devant j'ai un pied en basket et un autre à nu. L'odeur est d'autant plus forte à ce niveau.
Camille : Mais retourne-toi et pose-toi au sol. Je vais te guider.
Sans réfléchir j'agis. Je me couche au sol. Ma tête au niveau de ma place au début, puis je me glisse avec la force de mes jambes pour me retrouver en dessous d'elle. Elle a dénudé le pied droit, et son pied gauche me bloque le passage. Elle le lève donc pour laisser passer ma tête avant de reposer sa basket... sur mon cou.
Camille : T'en fais pas j'appuierais pas. C'est juste que... faut pas que tu bouges trop ce serait moins agréable.
Ma tête est calée avec sa chaussure qui fait pression sur mon cou. Ma seule échappatoire est de tourner la tête légèrement à droite ou à gauche et encore. L'espace entre son siège et celui de devant est minuscule. Je ne pense même pas pouvoir passer ma main pour calmer la pression qu'elle exerce.
Camille : Tu le trouves beau rassure moi ?
Elle me tend son pied nu de plus en plus vers ma tête. Il doit être à moins de dix centimètres. L'odeur de deux jours est puissante, et je penche naturellement la tête vers le côté. Et en conséquence Camille appuie avec sa basket pour me forcer à remettre ma tête droite. Son pied approche de plus en plus. Au point qu'elle commence à relever ses orteils.
Moi : Attend mais Camille faut que je l'embrasse d'abo...
Imaginez avoir ce pied au dessus de vous se rapprochant. Un pied fort aux couleurs orangées qui vient inévitablement sans échappatoire
Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase que ses orteils viennent capturer mon nez et elle les referme d'un seul coup. J'ouvre instantanément grand ma bouche pour ne pas à avoir à respirer ça. Elle se penche soudainement en une fraction de seconde pour mettre sa main sur ma bouche.
Camille : Putain mais respire normalement merde je t'ai demandé de me gouter ça passe aussi par l'odorat !
J'arrive plus à me retenir... je vais devoir reprendre mon souffle par le nez. Pas le choix.
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Ses pieds m'ont changé
Romance/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer... Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...