Ses pieds m'ont changé

Lavement difficile

On est le 20 novembre. Cela fait 4 jours que je suis libéré de Camille. 4 jours où c'est moi qui la nourris et non plus elle.

Et aujourd'hui, elle a fini par accepter que je la lave en prenant soin de ne pas toucher ses pieds avec de l'eau. Mais il faudra bien qu'elle le fasse... de base je faisais ses pieds chaque jour durant des heures. Alors certes, ce n'est pas comme prendre une douche, mais ça lave quand même le pied dans le sens où il ne reste plus aucune sueur.

Là, ça fait quatre jours que Camille produit dans ses chaussettes et chaussures qu'elles refusent d'enlever. Ça sent fortement même à distance. Quand vous additionnez 16 jours de pieds que je léchais et 4 en plus où je ne fais plus rien, ça les rend très puissants.

Ce qui est bien, c'est que l'appartement possède une douche et une baignoire. Donc je vais lui préparer un bain, et au moment venu... il faudrait que je fasse glisser ses pieds dans l'eau savonneuse. En espérant qu'elle ne s'énerve pas trop... Car depuis deux jours, elle me fait en permanence la tête.

Après... je sens que je suis en position de force. Malgré sa mauvaise humeur, elle s'est mise à me soulager par elle-même dans le but de me séduire et que j'accepte de faire ses pieds en échange. Bien entendu que par la bouche. Bien qu'elle accepterait peut-être ailleurs, je veux vraiment agir comme un couple normal pour aller plus loin.

Et sans vous mentir. Bon. Ses pieds LEGERS me manquent. Pas ultra marquant non plus. Mais il m'est arrivé ce matin pour m'aider à jouir de fermer les yeux et penser à ses deux pieds pendant qu'elle me sucer.

PS : Je ne lui ai pas dit évidemment.

Bref, le bain est prêt.

Moi : Allez Camille. Je t'aide à te mettre dans l'eau en prenant soin de lever tes jambes.

Camille : T'as intérêt sinon t'es un homme mort.

Ah...

Moi : En plus je t'ai préparé un bain tout chaud tu verras.

Camille est dans le bain. Les deux pieds liés avec leur chaussure et chaussette sur le bord droit de la baignoire.

Camille : Ce n'est pas agréable du tout comme position...

Moi : Tu veux que je te mette comment ?

Faudrait que j'arrive à lui faire enlever ses chaussures et chaussettes pour mettre ses pieds à l'eau...

Camille : J'ai les mains liées dans le dos et ça me ruine les lombaires. J'ai les deux jambes sur le côté au lieu d'une de chaque côté pour être mieux... Dépêche-toi de me laver.

Moi : Non mais Camille tu mérites quand même de te détendre, je veux que tu sois bien et calmer. C'est temporaire les liens tu sais. À terme on vivra avec des règles stables.

Après quelques minutes, Camille a accepté que je lie ses mains par l'avant et non l'arrière. Histoire qu'elle se détend.

J'ai aussi détaché les deux jambes entre elles pour qu'elle soit mieux installée.

Camille : C'est mieux... merci.

Moi : Ça me fait plaisir, tu sais.

Camille : Tu veux bien faire mes pieds maintenant ?

Je veux même pas voir leur état...

Moi : On les lave avant ? Et je les fais toute la soirée si tu veux. Ça me manque aussi tu sais. Mais faut un entre deux.

Camille : Vas-y...

Moi : Vas-y ?

Camille : Lave-les...

Quelle progression ! J'enlève donc ses deux chaussures. L'odeur qui s'en dégage est extrême et me donne des frissons. J'ai l'impression d'avoir ses pieds au nez alors que ce n'est pas le cas.

Les chaussettes sont trempées intégralement. Elle sue tellement dedans...

Camille : Désolé.

Moi : De ?

Camille se redresse soudainement et me saisit les mains avec les siennes qui sont attachées à l'avant. Elle glisse un pied derrière ma nuque et l'autre vient se caler sur ma tête. Comme par hasard, elle place ses orteils au niveau de mon nez. La chaussette trempée expulse sa production sur ma tête et pénètre mes narines. Je me retiens de respirer mais je sens déjà ma peau brûler, je tire mes mains mais rien n'y fait.

Camille : Tu vas faire qu'un avec eux. Tu verras.

Moi : Mmh !

Je commence à tirer sur mes jambes. Mais le carrelage de la salle de bain est glissant. Et si je tire trop en arrière, ma nuque se tordra sachant qu'elle me la tient fermement entre ses deux pieds.

Camille : J'ai été trop gentille avec toi... Désolé c'est ma faute. Je dois te montrer ta place plus sérieusement. Respire maintenant.

Je commence à manquer d'air, mais je n'inspirerais pas. Vu la force de son pied, il est sûr que je tomberais dans les pommes. Je ne vais quand même pas me battre avec elle ?