/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer...
Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...
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Trois filles et moi dans la même pièce. Une dominante fétichiste aux énormes pieds, ma copine assoiffée de me faire subir ses pieds à vie, sa sœur en quête de découverte dans ce domaine et moi : le soumis de service. Ça ne peut QUE mal tourner. C'est évident.
Clara : Je viens prendre ton soumis.
Camille : Mais... J'ai prévu tout un programme pour lui aujourd'hui ! Regarde-le ! Tu l'as démoli.
Camille me prend les cheveux pour que je fixe Clara. Elle me secoue la tête pour que je montre que je ne peux plus parler pour le moment.
Moi : M... B... j... ?
Camille : Tu vois !?
Clara : Je n'en ai rien à foutre de son état. Il a pris ta punition car tu l'as voulu. Et sa bouche... tellement serrée...
Camille jette sa bouteille enfin vidée au sol et se redresse brusquement. Comme si elle voulait défier le King Kong fétichiste. Cependant... après quelques secondes de regards fixes, où sans même se gonfler, Clara impose son charisme, Camille se rétracte et recule.
Camille : Pourquoi tu le veux ?
Clara : Rappelle-toi. Tu veux un soumis ? Il sera aussi le mien. Je le prends pour quelques nuits. Je veux qu'à chaque fois qu'il fera des pieds... dont les tiens. Il ne verra qu'une seule réelle maitresse digne de ce nom. Moi.
Camille : Put...
Clara : Je t'ai tout appris en plus soumise. Ce n'est qu'un juste retour sur investissement. Détache-le et habille le un peu.
Camille a suivi tous les ordres de Clara en ne lâchant plus aucun mot. Clara m'a ordonné d'aller me laver avant qu'elle m'emmène car je cite « Je pue trop Camille ». Quoiqu'il en soit, quel bonheur de pouvoir ENFIN se laver par moi même. Je suis resté vingt minutes sous l'eau à me savonner de partout. Je n'ai peut-être pas débarrassé mon corps intérieur de l'odeur et des goûts des pieds. Mais mon corps extérieur est de nouveau sain et sent bon.
Au moment de dire au revoir, Camille me prend dans ses bras, mettant sa main à ma nuque, qu'elle ressert vigoureusement. Et elle me chuchote :
Camille : Je te jure. Considère ses pieds mieux que les miens. Et je te bute avec mes pieds, tu as compris ? Je suis la seule pour toi. La seule pouvant m'occuper de toi et te nourrir.
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Comment peut-on mourir par des pieds ? Étouffement ? Écrasé ? Crise cardiaque par la force de l'odeur ? Problème aux poumons à force de les sentir ? Noyade... du coup...
Clara me tire vers elle ce qui met fin au coup de pression de Camille. Quelle bande de tarées ! Camille se met à sangloter et me re saisit juste avant que je passe le palier de la porte. Cette fois, l'étreinte est plus douce et amoureuse. Elle murmure :
