Léa est là, sans pantalon et culotte, mon sexe en elle. Seule séparation, un préservatif troué par Camille il y a quelques jours, et je ne peux pas prévenir Léa avec ma bouche attachée. J'ai les testicules pleins de sept jours d'abstinence, la sensation est extrêmement agréable mais Léa m'a révélé mettre une capote car elle n'a pas de pilule contrairement à sa sœur. Je ne dois surtout pas jouir sinon je suis mort.
Léa commence ses mouvements. C'est limite pire qu'elle gère tout car je ne contrôle rien. Si je suis au bord de l'orgasme, je ne pourrais rien faire hormis inévitablement me vider.
Léa : Put... Faut qu'on fasse ça plus souvent dommage que vous déménagez demain !
Léa tape de plus en plus. Elle met mon sexe au fond de ses entrailles et je tremble des jambes. J'en pleure limite de bonheur, mais je lutte. Je pense à tout ce que je peux pour baisser mon excitation. Je pense aux pieds forts, au goût des bouteilles de production de pied de Camille, à Clara, à la mort en personne même. Mais impossible.
Penser à des pieds m'excite même ! C'est horrible !
Léa tape tellement que mon bassin s'écrase contre le mur. J'ai l'impression qu'elle m'aspire complètement. J'ai le cœur qui bat à mort.
Léa : Par contre...
Léa parle avec des gémissements. Ça aussi c'est trop excitant.
Léa : Il faut... se presser... Camille fait déjà son sport depuis un moment...
Elle accélère le rythme.
Léa : Oh bordel...
Elle continue à aller de plus en plus vite. J'entends carrément ses fesses claquer contre mes hanches.
Moi : Mmmmmh !
Pitié pitié pitié... c'est plus possible ça me fait monter beaucoup trop !
Léa : (gémissement intense)
Elle s'arrête nette, les jambes engourdies. Elle jouit ! Alléluia ça va me permette de me retenir plus facilement si elle s'arrête un peu ! Le truc après c'est que la façon dont elle gémit est terriblement excitant. Résultat, je ne suis pas tant diminuer.
Léa : À ton tour !
Elle se remet avec un rythme rapide à glisser mon sexe au fond d'elle. Le problème... le gros problème... c'est que je monte tellement haut que... je commence à ne plus avoir envie d'en sortir. Je veux... jouir en elle-même... tant pis ! Vas-y Léa soulage moi je t'en prie !
Elle tape de plus en plus fort et je monte. Je ne grogne plus pour essayer de l'avertir. Je suis tellement au bord que je rêve que d'une chose, avoir le plus gros orgasme de ma vie dans son sexe libérateur.
Léa : Attends...
Léa s'arrête de nouveau. On entend du bruit en bas.
Léa : Merde !
Léa se retire, reprend ses vêtements et enlève la capote.
Léa : Je reviendrais si je peux promis !
Elle part à toute vitesse de la chambre vers la sienne. Et une minute après, j'entends Camille remonter. NON ! NOOOON ! J'étais à ça d'être libéré ! Je suis encore au bord c'est inhumain !
Camille : Re coucou mon amour. J'ai énormément produit aujourd'hui ! Woah... ton sexe... tu as eu très envie de moi je vois.
Si tu savais Camille...
Camille : Elle est tellement gonflée et battante. Alors ? Agréable ta punition ?
C'est cruel. Pure cruauté.
Camille : Après tu peux arrêter ton supplice en acceptant de devenir mes chaussettes, un jour pour chaque pied.
Je fais signe oui de la tête. Allez ! Enfonce donc tes deux pieds dans ma bouche et qu'on en parle plus. Je veux juste qu'on me vide en urgence. Je suis à bout, je dirais oui à tout.
Même à ses deux pieds suants en bouche...
Camille : Attends... quoi ? Tu veux... vraiment ?
Je refais signe de la tête, à grand coup.
Camille : Je...
Camille s'assoit sur la chaise face à moi sans se demander qu'est-ce qu'elle faisait là. Heureusement d'ailleurs. Elle semble perdue. Elle ne s'attendait clairement pas à un oui de ma part.
Camille : Déjà il faut déménager. Mais... si tu veux, tu peux prendre un de mes pieds déjà et le garder jusqu'à demain matin.
Je déglutis... Et je serais soulagé... avant... ?
Camille sourit jusqu'aux oreilles. Elle se redresse et me touche le cou.
Camille : Oh mon amour. Tu verras... mon pied là, tout chaud. Je vais t'inonder la gorge de tout ce que je produis. On va faire disparaître ce qu'a marqué Clara. Même moi je la sens encore dans ma gorge.
Elle me caresse de plus en plus la gorge.
Camille : Je vais bien prendre soin de ta bouche, tu verras.
On entend Léa courir dans le couloir et ouvrir la porte en bas. Tout à coup, plusieurs bruits de pas se font entendre. La porte de la chambre s'ouvre.
Clara : Salut les amis !
Camille essaie de la saisir mais Clara la repousse et ma petite amie tombe au sol.
Clara : Paraît que tu pars demain Camille ? Laisse-moi te dire au revoir !
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Ses pieds m'ont changé
Romance/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer... Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...