Camille est assise devant moi, ligotée pour une fois, et elle ne peut rien faire. La bouche ouverte par l'écarteur, il est temps que ce soit moi qui la nourrisse. En plus, elle s'amusait à sucer son gode sans cesse, me narguer à tout va, et me remplir de sa production à en avoir le ventre rond. J'en peux plus ! J'ai les testicules pleins de deux semaines, il est temps de lui rendre la pareille.
Je prends la tête de Camille, et choquée par moi-même, je me mets à l'utiliser comme si c'est un godemichet pour homme. C'est tellement chaud et humide. Cela fait quinze jours que je rêve de me libérer, cette fois, rien ne pourra m'arrêter !
Camille gesticule avec ses jambes attachées, dont un pied qui est à l'air libre de notre combat. Elle fait attention qu'il ne touche pas le sol mais elle le bouge dans tous les sens.
Comme pour dire « non ! Jouis en t'aidant de mes pieds ! » mais il est hors de question. Aujourd'hui... (mon sexe gonfle) Camille (il gonfle encore plus alors que je suis au fond de sa gorge) c'est à toi de boire !
Avant que la première giclée ne sorte. Je me rappelle que Camille s'amuse à mettre son tube au bord de ma bouche pour j'ai absolument tout le goût. Donc je glisse rapidement mon sexe pour le poser pile sur le bord de sa langue et je jouis.
Mes jambes en tremblent de bonheur ! Et je gicle des quantités monstrueuses. Camille tapote dans ses mains attachées tellement ça ne s'arrête plus. Et je finis par reprendre sa pauvre bouille pour terminer mon orgasme avec de grands aller-retour généreux. Je l'entends devoir faire plusieurs gorgées.
Camille : (tousse) C'est... c'est trop. Tu produis trop !
Moi : Et vider deux bouteilles de ta production de pied en moi c'est pas trop peut-être ?
Au moins maintenant je n'aurais plus de problème de digestion de sa production qui me retournait l'estomac des jours...
La situation m'excite étrangement. Comme si dominer devenait un plaisir coupable. Je reprends donc sa tête. Et je recommence car je bande toujours autant. Ses yeux écarquillés témoignent d'une surprise.
Une fois au soir... je ne vais pas vous mentir... j'ai joui trois fois dans la bouche de ma copine. Elle pouvait tellement plus en boire que du sperme coulait sur ses lèvres et son visage. Depuis, je suis assis sur son lit. Et je me délecte de la liberté.
Camille : Tu remets ma chaussette et ma chaussure ? Et on arrive au soir. Tu dois sentir mes pieds toute la nuit !
Moi : Et si je ne veux pas. Tu fais comment ?
Camille : Mais... tu kiff mes pieds ! Tu me l'as dit toi-même ! Donc tu vas les faire quand même !
Moi : Tu ne le mérites pas.
Camille : Mes pieds ! Viens à mes pieds !
Moi : Tu sais quoi Camille ? Tu m'as fait vivre le no nut november. On va créer le no Feet... mi November. Plus de pieds pendant un mois !
Camille : Jamais de la vie ! Tu vas les sentir ! Les manger ! Et tu vas faire ça chaque jour !
J'ai acheté rapidement sur internet un modèle 3d en silicone de pied. En livraison express. Et je l'ai montré à Camille.
Un truc dans ce genre là ! C'est parfait pour mon plan !
Moi : Non. On va inverser les rôles. Tu vas me manger moi tous les jours. Sauf que t'as de la chance, je te donnerais vraiment à manger moi, mais tu m'auras à chaque dessert. Et le soir, je lécherais ce joli pied en silicone devant toi ! Parfois même jusqu'au talon. Je sentirais des chaussettes toutes propres à fond pour que tu t'imagines si seulement c'était les tiennes. Tu vas comprendre ce qu'est la torture sexuelle.
Camille : Tu... tu n'oserais pas.
Moi : Et pourtant. Je vais le faire.
Camille : Pitié fais mes pieds ! Je regrette. Oui je regrette. On fera un planning. Un deal ! Je te sucerais tous les jours ! Je te viderais tes couilles d'amour et toi tu me lécheras les pieds et on s'aimera comme ça !
Moi : Tu dois d'abord apprendre à vivre ce que tu infliges.
Camille : Non attends ! Viens, tu me fais l'amour tout de suite. Tu te venges à fond, tu me traites de tous les noms, et on recommence à zéro ?
Moi : Le faux pied est livré demain... Je pense même me branler dessus parfois.
Camille : Non ! Attend attend. Tu n'as jamais tenté la sodomie du coup. Donc, allez, baise-moi les fesses, venge-toi un coup, et ensuite tu feras mes pieds normalement sans attache les soirs. C'est bien ça ?
Moi : Continue à lutter, et je ne lécherais pas le faux pied mais j'appellerais carrément Clara pour lécher ses pieds devant toi.
Camille : Non d'accord d'accord. J'attendrais le temps qu'il faut. Mais pitié tu lèches aucun pied d'autres que les miens. Promis hein ? Promis bébé ?
Moi : Bizarre de te voir tout attentionnée avec moi d'un coup.
Camille : Je le suis... je te... je te nourrissais avec mes pieds. Il n'y a pas plus beau que de nourrir son homme soi-même.
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Ses pieds m'ont changé
Romantik/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer... Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...