Clara : Comment on enlève mon pied soumis maintenant que tu l'as autant enfoncé ?
Moi : Je...
Clara : Non car là ses dents du bas font barrages contre mon talon qui touche sa langue. Et regarde ! Si je bouge mes orteils on les voit bien ahah.
Pauvre Camille. Je dois faire quelque chose...
Clara : Elle essaie de serrer les dents mais ça ne sert à rien, sa bouche est trop ouverte donc elle a moins de force que si c'était plus petit. Et face à mon pied... Ou quasiment ma cheville à ce stade. Mon pied prend toute sa langue c'est agréable.
Je prends la tête de Camille et appuie sur les muscles de la mâchoire pour aider à la détendre et sortir le pied de Clara. Après une minute de galère où Clara n'aide pas du tout à part bouger ses orteils. J'arrive enfin à sortir le pied de Clara de sa bouche.
Clara : Ah ça fait du bien. Il est tout propre maintenant.
Camille ne pouvant plus parler après ça comme lorsque j'en avais fait l'expérience. Elle me fait passer un message clair. Une énorme claque en pleine tête.
Clara : Elle n'a pas aimé je pense le sandwich entre ta bite dans son cul et mon pied dans sa bouche.
Elle n'a pas aimé surtout que je pousse... Merde. Jusqu'à mon orgasme, on était complice dans la situation. Clara remet ses chaussettes, ses chaussures et se relève.
Clara : Je vais vous laisser. Je pense que la leçon est passée.
Clara repart tandis que j'aperçois Léa se dépêcher de grimper les escaliers pour qu'elle ne remarque pas qu'elle avait tout observé. Je regarde ensuite Camille après que Clara ait passé la porte d'entrée. Elle se tient la gorge épuisée par l'acte. Elle prend son téléphone et écrit sur un site qui formule ce qu'elle note en parole.
Téléphone de Camille : T'as tout cassé. Connard.
Moi : Mais Camille j'ai fait ce que tu m'as demandé. Mais tu comprends. C'était intense, je ne pensais pas que ça allait aider à faire avancer son pied.
Téléphone de Camille : T'as osé en plus te vider en partie en moi. Tu vas tout reprendre.
Moi : Camille écoute...
Camille me prend par le cou avec ses deux mains. Elle me jette au sol. Elle pose ses fesses sur ma tête, l'avant de son corps dirigé vers mon corps, comme si elle se préparait pour un 69. Bien entendu, la réalité est tout autre. Cette position lui permet de ne pas quitter ses mains de mon cou.
Le fait qu'elle soit assise sur ma tête , l'entrejambe nu, ça me refait bander petit à petit. Tout ça est trop nouveau pour moi. Elle redresse son bassin afin de poser son sexe sur ma bouche. Elle serre mon cou.
Camille : M... Main...Maintenant... R... Reprends.
Elle arrive encore à parler !? Sa gorge est vraiment extensible. Après, Camille a de l'expérience, elle s'adapte mieux que moi j'imagine. Mais par reprendre... elle n'entend quand même pas...
Camille : T... Ta bouche !
Elle sert encore plus. M'obligeant à ouvrir ma bouche pour avoir de l'air. Aussitôt, elle pousse tout ce dont j'ai pu jouir en elle et ressort le maximum qui vient tomber dans le fond de ma bouche. C'est dégoutant.
Pour le coup, je préfère encore boire de la production de ses pieds que mon propre orgasme !
Elle appuie ensuite avec une main sur ma bouche et m'ordonne d'avaler. Ce que je fais difficilement. Comment mes premières giclées peuvent être aussi grosses. C'était énorme comme quantité. Après ça n'avait pas le goût de sperme uniquement. Elle a dû sortir également tout ce qu'elle a produit par elle-même et ce qui s'est mélangé.
Camille : Ne...ttoie...
Premier cunnilingus de ma vie. Et je le fais juste après mon premier rapport où j'ai enfoncé la tête de ma copine dans un pied de géante. Je me mets donc à lécher son sexe pour nettoyer les restes de ma connerie. Heureusement que j'ai sorti que quelques giclées et le reste au sol. Vue comment je jouissais, je n'aurais pas assumé. Cependant, malgré l'odeur et le goût, j'aime la texture de son sexe contre ma langue. Je la fais glisser entre l'entrée de son vagin, l'endroit principal à nettoyer, et son clitoris... par plaisir de le goûter, avec son étrange texture de mini bille dure.
Moi : C'est bon Camille.
Camille : N... Non.
Elle n'a même pas vérifié. Après je vois son sexe continuer à s'ouvrir et se refermer. Peut-être pousse-t-elle encore ? Je m'applique à lécher encore et encore. J'enfonce même légèrement ma langue dans son sexe. C'est un peu acidulé.
Moi : Voilà.
Camille ressert mon cou.
Camille : Encore... un peu...
Son sexe continue de gonfler et se dégonfler à l'entrée. Mais attendez, elle ne pousse plus là. Elle ne veut quand même pas jouir collé à ma bouche ? Elle est fontaine je vous rappelle.
Camille : Re...prends !
Camille perd patience et se met à glisser son sexe du bas de mes lèvres à mon nez frénétiquement. Elle gémit. Au moins maintenant, elle est sûre que je ne puisse pas m'échapper, que ce soit par l'odorat ou le goût je la ressens de partout.
Camille : Mes... mes pieds sont ruinés... à... à cause de cette salope. J'aurais au moins... ça.
Je sens son vagin s'ouvrir de plus en plus. Ce n'est pas bon signe pour moi.
Camille : En pl... plus. Tu ne m'as même pas fait... jouir... connard.
Alors. C'est humiliant de retranscrire ces paroles. Mais pardonnez-moi. Elle avait déjà joui avant sur la table. De plus, lors d'une première fois, je vous avoue que j'aurais eu du mal à tenir plus longtemps. Surtout que la dominatrice Clara m'obligeait à taper de plus en plus fort ce qui m'a fait monter rapidement !
Camille : O...Oui...
Je sens son sexe se mettre à battre à rythme régulier. Aussitôt, je me prends une cascade de liquide. J'avais cru lire qu'une femme fontaine l'est car en jouissant, ses glandes produisent beaucoup mais surtout car sa vessie se vide. Et je vous le confirme. Camille est littéralement en train de me jouir sur la tête tout en me pissant dessus. Je garde la bouche fermement fermée, mais avec sa pression au niveau du cou. Je l'ouvre parfois pendant qu'elle se frotte toujours de mon nez à ma bouche. Je n'ai pas le choix d'en prendre un peu en bouche. Ce n'est pas si désagréable que ça n'y paraît. En tout cas comparé à tout ce que je prends en ce moment.
Après une vingtaine de secondes. Camille produit quasiment plus et seules quelques gouttes tombent encore. Il faut attendre une minute ensuite pour qu'elle se redresse et contemple que je n'aie pas tout pris.
Camille : M... même pas capable de tout boire. Je prends un pied que tu pousses et... toi... tu ne me savoures pas.
Camille m'attache aussitôt les mains. Nous fait monter dans sa chambre, et me jette sur le lit. Elle m'attache à celui-ci également. Et elle part se laver. Car je cite, « mes pieds ont touché le sol, je suis obligé de tout recommencer de zéro ! ». Cependant, elle a pris soin de prendre des chaussettes grises d'un paquet où c'était noté 14 jours. En gros, elle va se laver les pieds, mais bien les emballer dans des chaussettes où ils ont produit deux semaines intensément dedans. Qu'est-ce que je vais subir encore ?
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Ses pieds m'ont changé
Romansa/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer... Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...