Sauvetage par Léa ?

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Nous sommes la veille du déménagement. 7 novembre. Toujours pas soulagé, et je me nourris depuis trois jours uniquement de la production des pieds de Camille et du léchage de peau. Elle n'a pas cessé de me toucher sans me faire jouir à chaque session et je dors collé à ses pieds. Ma tête a la peau rosée, marquée durement par Camille, et même quand elle part faire du sport, je ressens ses pieds dans mon ventre, gonflé de ce qu'elle me remplit, et par l'odeur, tellement je suis marqué.

Elle est même allée encore plus loin hier. Elle a installé un de ses godes sur le mur où je suis souvent attaché, juste en dessous de mon sexe. Et elle s'est mise à le sucer jusqu'au bout à répétition pendant de nombreuses minutes en me rappelant que ça pourrait être mon sexe. Ma production coulait sur son visage et elle continuait en boucle à avaler ce gode que je rêvais affreusement de remplacer !

Elle fait également depuis deux jours du sport dans la chambre en plus, et en permanence à poil. Juste ses chaussures l'habillent pour protéger ses pieds. Je vois son corps luisant sous toutes ses formes.

D'ailleurs, demain c'est le grand jour où je vais habiter avec elle même si mon nom ne sera pas sur l'appartement. Elle compte m'amener avec elle. Et je sais déjà comment elle me déplacera... Dans une grosse valise. Oui oui, une valise ! Et elle compte me bâillonner la bouche pour que je ne dise rien et me coller des chaussettes et chaussures puissantes pour m'endormir et me laisser passer le voyage. Elle est tarée !

Elle m'a laissé attaché sur le mur le temps de faire son sport en bas et me nourrir ensuite. J'ai la bouche scotchée... Néanmoins, elle m'a mal attaché la tête ! Donc j'ai un espoir. Je tape la tête contre le mur pour tenter d'appeler Léa qui est à côté. Et ce qui doit arriver arriva. Léa entre discrètement dans la pièce. Elle me voit là, sur le mur, attaché de partout, le sexe dur à l'air. Bon... mon but est surtout qu'elle me libère pour m'échapper.

Léa : Oh... tout nu encore. Ma sœur déborde d'imagination.

Elle me touche rapidement le sexe.

Léa : Tu produis à mort toi aujourd'hui. C'est de toi cette flaque au sol gluante ?

Moi : Mh !

Léa : Rappelle-toi, on s'était dit gagnant gagnant entre nous. Tu veux que je te propose un truc ?

Rah... elle compte me faire un jeu de oui / non avec mes mouvements de tête comme seule réponse ? La dernière fois que je l'ai vu, elle me regardait discrètement faire le sandwich de Camille avec Clara. Et la dernière fois qu'on a fait un truc gagnant gagnant, j'ai fait ses pieds et elle m'a laissé jouir sur sa poitrine. Vous pensez que... comment dire... j'ai une chance d'au moins être soulagé ?

Léa : Je te propose un bon deal. Tu fais mes pieds, et je te laisse jouir... sur mon corps ?

Je dis oui violemment de la tête. Tant pis pour la libération de mes liens ! Mes besoins primaires priment. Sur ce coup je suis faible mais j'en peux plus !

Léa cherche comment s'installer. Je pointe du regard la chaise.

Léa : Avec la chaise ? Mais comment ? Ah ! Genre je mets mes jambes en l'air sur ta tête ? Mais ton sexe va se retrouver juste au-dessus de mon entrejambe, produit pas trop sur mon vêtement !

Elle regarde mon sexe qui durcit et se gonfle à répétition avec un filet de production.

Léa : Bon...

Elle enlève son pantalon et sa culotte !

Léa : Tu produiras sur mon sexe. C'est excitant.

Pitié soulage moi c'est trop là !

Elle s'installe doucement, quelle souffrance. Elle enlève ses chaussettes et me pose ses pieds sur mon nez qu'elle glisse. Franchement, c'est du pur bonheur. Ses pieds doivent être forts de deux jours maximum, puissants pour un fétichiste amateur et débutant, mais pour moi, c'est une odeur douce et agréable comparé aux pieds de sept jours de Camille. Je sens ses pieds en inspirant au plus possible, à m'en décoller les poumons. Si je peux la convaincre de me soulager avec plus de force, je ne demande pas mieux.

 Si je peux la convaincre de me soulager avec plus de force, je ne demande pas mieux

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A côté de Camille, les petits pieds de Léa sont mignons et très agréables !

Mon sexe bat en boucle et tout coule sur son sexe rasé. Ses lèvres intimes sont plus ouvertes que sa sœur, son clitoris et son vagin sont plus apparents ! Et je vois mon pré-éjaculat venir se poser pile-poil sur eux. J'en tremble.

En même pas quelques minutes, elle se retire.

Léa : Par contre là ça m'excite trop ce que tu produis. On ne va pas faire sur moi. Je vais te la mettre en moi.

Quoi ? Mais je vais craquer en quelques secondes avec mes sept jours d'abstinence. J'ai fait qu'une fois l'amour, avec Camille, et je n'ai pas tenu longtemps alors que j'étais moins sous pression.

Léa : Par contre pas comme ça. Faut se protéger, je veux pas tomber enceinte.

Elle cherche partout. Elle prend une capote qu'elle trouve sur le bureau. Non attends...

Léa : On ne va pas faire deb ruit...

Elle déchire l'emballage et me met rapidement le préservatif. Mais c'est celui que Camille a troué l'autre jour pour me mettre la pression ! J'ai beau grogné à travers mon scotch, Léa pense que je suis pressé. Non mais remarque que le préservatif est troué !

Léa : C'est parti mon beau...

Léa pose ses mains sur la chaise maintenant devant elle et pose ses fesses sur mon sexe. Elle me prend le sexe et le glisse en elle. Mon Dieu ! C'est si chaud !

Léa : Oh...

Elle le glisse doucement jusqu'au fond. Ma production d'avant lubrifiant largement son sexe. Je ressens peut-être moins ma peau dans son sexe avec le préservatif, mais les sept jours d'abstinence font que la sensation paraît bien plus forte que ma première fois. Cependant... je ne dois surtout pas jouir...surtout pas !

surtout pas !

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Ses pieds m'ont changéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant