Après quelques minutes, toujours au sol, je décide de me relever et de me débarbouiller dans la cuisine. Je mets le plus de savon vaisselle possible afin d'enlever toutes ces odeurs ! Je ressens le pied de Léa, la sœur de Camille, mais aussi celui d'Ines, la sœur de Clara. Et évidemment (et surtout) celui de Clara... qui s'est permis de mettre son pied au fond de la gorge, moi qui pensais cela humainement impossible.
J'essaie aussi de retirer l'odeur d'urine que Clara m'a déposée pour me marquer comme son soumis. Mais c'est difficile avec un lavabo. Et si vous vous demandez amusés pourquoi donc je me lave dans leur cuisine au lieu de monter le faire dans la baignoire. C'est tout simplement car en montant, Camille ouvrirait surement sa porte, et m'empêcherait d'aller de suite dans la salle de bain.
D'autant plus que je me vois mal tout lui expliquer par écrit. Je ne peux pas parler après le passage de Clara. J'arrive à calmer l'odeur de pied et la sensation de rougeur sur ma peau, cependant, le savon vient me piquer là où je l'applique. Ça m'oblige à y aller doucement.
Leurs pieds ont tellement marqué mon visage avec leurs productions que ça a pénétré mon visage en profondeur.
Une fois fini, je décide de remonter. N'ayant pas de portable... merci Camille de me l'avoir piqué et planqué, j'ai préparé un papier et un stylo. J'ai déjà marqué dessus tout ce que Clara m'a fait globalement tout en indiquant que je n'ai pas accepté tout ça. Et de toute façon, Camille sait que je n'ai pas eu le choix ! Surtout que c'est elle qui a fui pour que je me prenne la punition qui devait être la sienne dans son groupe de copines cheloues !
Bref, je monte et j'arrive dans la chambre de ma copine. Camille est assise au bord du lit, jambe croisée et pieds nus. Elle pleure sans me regarder.
Je m'approche doucement et lui pose le papier sur ses jambes qu'elle inonde vite. Elle le lit en vitesse, j'essaie de lui dire que ça va aller et qu'on ne verra plus jamais Clara, mais tout ce qui sort de mes lèvres n'est qu'un charabia immonde. Putain de pied de Clara...
Au bout d'une petite minute, à poser ma main sur l'épaule de Camille pour la rassurer (ce qui est scandaleux quand même que je devrais la rassurer alors qu'elle m'a abandonné à mon sort !), Camille ouvre ses bras et relève sa tête dans ma direction.
Camille : Oh non...
Elle pleure d'autant plus en voyant qu'elles m'ont marqué la tête plus qu'elle ne la fait en plusieurs jours.
Camille : Attend attend...
Camille me pousse vers le bas. Au début je me disais qu'elle voulait un câlin en étant moi sur les genoux et elle toujours assise sur le lit pour être à sa hauteur. Mais non, elle appuie que j'aille plus bas.
Camille : Ne résiste... Résiste pas !
Camille me pousse finalement avec un de ses pieds en sortant de sa potion assise des jambes croisées.
Une fois au sol, je suis faible et je ne peux résister avec tout ce que j'ai vécu aujourd'hui. Elle en profite pour m'attacher les mains en vitesse avec quelques lacets. Et elle me colle ses deux pieds sur ma tête avant de s'asseoir sur moi. Ses fesses sont posées sur mon bassin, seule chose agréable d'ailleurs, tandis que ses jambes sont pliées au-dessus de mon torse afin que ses deux pieds soient sur mon visage.
Camille : Désolé mon ange mais on ne peut pas laisser ça comme ça. Je ne peux pas te regarder en voyant la trace des pieds de ses putes.
Mais non... je ne veux plus de pied pendant longtemps moi. Et je ne peux même pas lui demander !
Camille : Ne t'en fais pas. On change le programme. On va faire en sorte que mes pieds te marquent assez pour qu'on ne voie plus que mes marques d'accord ? Comme ça on oubliera tout ça.
Comment veut-elle que j'oublie... je ne mérite pas d'avoir des pieds encore ce soir. Elle devrait me remercier d'avoir mangé sa sanction à sa place.
Camille : Je vais attacher ta bouille, comme ça, ce sera plus pratique.
Camille entoure ma tête et ses pieds d'une espèce de ruban adhésif. J'ai donc un de ses pieds qui collent ses orteils à mon nez et l'autre qui se pose sur l'ensemble de mon visage.
Camille : Je produis beaucoup comme tu sais. Donc ne t'en fais pas. D'ici demain matin, je pense qu'on aura pas mal avancé.
Demain... MATIN ? Non stop là. JE NE VEUX PLUS DE PIEDS.
Camille : Arrête de remuer ! Où je remplis un sac de mes chaussettes et je te mets dedans !
J'arrête de me débattre. De toute manière, c'est perdu d'avance.
Camille : Il a fallu qu'elles te mettent leurs sales pieds sur toi et dans ta bouche et tu ne veux plus des miens ? Je n'aurais jamais dû te sucer ce matin si tu es à ce point infidèle de mes pieds !
C'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité. On n'a jamais demandé mon avis.
Camille : Maintenant, essaie de dormir. Je vais faire en sorte de bien te marquer toute la nuit. C'est normal si je bouge les orteils souvent. Je vais stimuler le plus possible ma production sur toi. Et demain, je compte faire le plus grand footing de ma vie.
Ah oui ? Qu'est-ce qu'elle compte me faire subir encore... Finalement Camille ne vaut pas mieux que Clara en supplice.
Camille : Comme ça, je vais produire, tout garder, et te remplir de ma sueur et ça lavera ce que t'as fait bouffer cette Clara !
Je n'ai pas hâte d'être demain. Pour avoir déjà bu ne serait-ce que deux gorgées de Camille, c'est beaucoup trop intense.
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Ses pieds m'ont changé
Romance/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer... Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...