Nuit aux pieds

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Camille s'est couchée sur son lit et a sorti son pc. Elle s'est mis une série et me tend son pied avec sa chaussette. Tandis que l'autre pied reste dans son plastique pour produire sa future « boisson de pied » qu'elle me réserve chaque jour. Je l'ai déjà goûté une fois... quand elle a pressé ses chaussettes et que j'avais la bouche ouverte. C'était imbuvable.

Camille : Allez, on enlève la chaussette, et on sent bien. Profite, c'est la dernière fois de ta vie que tu as des pieds de quatre jours. Après ils seront chaque jour plus forts.

Moi : Il faudrait que tu me détaches les mains du dos au moins Camille...

Camille : Non ! Tu fais avec les dents. Si je te libérais les mains. Je suis sûr que tu tenterais de fuir ou de te toucher le sexe. Et tu mérites plus de te soulager tant que je ne le désire pas moi-même.

J'aurais même plus ce plaisir en plus... De toute manière je n'aurais jamais pu le faire. Si je passe 18 heures par jour à ses pieds, ça ne me laisse que 6 heures de répit.

Je prends le bord de sa chaussette avec les dents. Et je commence à glisser. La distance réduite fait que la chaussette, à mesure de l'enlever, se plie petit à petit et se colle contre mes lèvres et le bas du visage. Je peux sentir leur humidité aberrante. Camille produit tellement que je sens des gouttes coulées sur ma bouche et mon cou.

Camille : Oh ouiii...

Camille plie son pc pour mieux voir la scène. Ses orteils se tendent en arrière. Elle apprécie énormément le plaisir des chaussettes qui s'enlèvent après une grosse journée. Je suis au milieu du pied.

Camille : Ralentis, ralentis.

Je retirais déjà doucement selon moi. Mais je m'applique. Je suis en dessous de sa zone orangée, à la fin de la voûte.

Camille : Attends, arrête-toi.

Elle tape sur son pc. Je retire mes dents. Malheureusement, l'ayant fait en vitesse, la partie de la chaussette déjà retirée est venue claquée contre son pied et ça a créé quelques gouttes qui viennent glisser vers son talon. Camille, qui était revenu trifouiller son pc, lève d'un coup le pied.

Camille : Oh non vite vite vite ta bouche ! Ta bouche !

Elle balance son pied dans ma direction. Difficile de le décrire mais je comprends tout de suite qu'elle veut qu'aucune goutte ne soit gâchée. Je n'ai pas cherché à comprendre. J'ai sorti ma langue et aie avalé les trois gouttes qui tombaient. C'est fort.

Si j'arrive à me libérer et trouver une autre petite amie

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Si j'arrive à me libérer et trouver une autre petite amie. Première question à poser : sues-tu trop des pieds ? Mon journal doit pas être très crédible mais je vous assure qu'elle produit beaucoup trop !

Camille : C'est bon recommence. Et doucement.

Elle met sa main dans son pantalon et se touche. Je peux entendre à travers ses écouteurs qu'elle écoute une vidéo pour adulte. Une vidéo fétichiste, évidemment. Camille ne regarde pas de rapports « classiques ».

Ses pieds m'ont changéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant