Je suis habillé, enfin habillé. Mains et pieds libres, mais toujours détenu mentalement et par la contrainte des menaces de Camille. Cette femme me donne envie... avec tout ce qu'elle me fait découvrir. Mais en échange de mon sacrifice entier à ses deux pieds. Et cela à un très grand prix. Je n'ai jamais autant eu l'odeur de ses pieds faisant qu'un avec mon nez, je ne mange plus qu'eux, et mon visage prend petit à petit leur marque.
Je suis devant sa porte. Camille a réussi à me faire sortir et je dois simuler que je sonne pour dire d'arriver à la soirée... comme si de rien n'était... Je peux partir. Maintenant. Mais ai-je envie de voir les vidéos être diffusées ? Après, il est inutile de croire que je peux encore détruire tout ce qu'elle a sur moi...Qu'avait-elle dit déjà ? Elle les a mises dans plusieurs clefs, plusieurs drives, et prête à être publiées sur plusieurs comptes sur les réseaux ? Ouais... Sois je frappe à la porte et Camille et moi continuons notre manipulation mutuelle, soit je pars et j'accepte l'humiliation.
Je dois pouvoir retourner la situation. Peut-être pourrais-je avoir aussi des vidéos contre elle ! Ainsi, je pourrais partir avec une arme de force équivalente. Oui ! C'est ça que je dois faire ! Le truc, c'est que Camille ne m'a pas rendu mon téléphone, juste mes vêtements. Allez, je frappe à la porte. J'entends quelqu'un arriver.
Léa : Oh salut ! Tu es venu à notre invitation. Ne t'en fais pas, nos parents ne seront pas là de la soirée et je ne dirais rien.
Léa est en jean, basket et sweat, tenue décontractée.
Moi : Parfait c'est cool.
J'entre. Camille me regarde du haut des escaliers. Elle descend, elle a mis une jolie robe avec des bottes à talons. Ses jambes sont assombries par un fin collant sombre. Je suis distrait par ce que je vois jusqu'à ce que Léa me sorte de ma bulle.
Léa : Ça sent bizarre, non ?
Ah... elle sent surement à distance mon visage... Camille n'a pas voulu que je le lave donc je sens son pied de plusieurs jours à plusieurs mètres.
Léa : On se fait la bise ?
Moi : Désolé je crois que j'ai un petit rhume. Je préfère ne pas te le transmettre.
Léa : Oh je vois. En effet ça se voit que tu te mouches souvent, tu as le nez rouge.
Non, ça, c'est les orteils de Camille collés toute la nuit qui m'ont marqué, mais passons.
Camille : Ines et Clara arrivent d'ici quelques minutes. Tu peux aller dans le salon et t'installer.
Dans le salon, qui est relié à la cuisine avec un bar américain, on retrouve un coin télé. Cette zone est équipée de deux sièges juxtaposés à un gigantesque canapé d'angle pouvant bien accueillir quatre à cinq personnes. Le tout est en arc de cercle autour de la télévision qui se situe dans le fond de la pièce. Je m'assois sur l'un des fauteuils, celui le plus éloigné du canapé. Comme ça je les laisserai se retrouver entre elles (et si on peut ne pas sentir l'odeur que je renvoie, cela m'irait bien).
Léa : Hé tu veux un Pepsi ? On n'a pas de coca si tu préférais ça.
Je regarde d'un coup d'œil Camille, qui me fait de gros yeux.
Moi : Heu oui je veux bien.
Je reçois un coup de botte violent dans le tibia. Aïe... Je sais que je ne dois boire et manger que les pieds de Camille mais je serais trop louche à ne rien boire non ? Léa m'apporte mon verre et repart dans la cuisine s'occuper de ce qui semble être l'apéro aux sons des paquets plastiques de chips.
Camille au regard noir vérifie que sa sœur ne regarde pas et prend mon verre. Elle le colle à son mollet et elle met deux doigts entre l'ouverture de sa botte et sa peau afin de créer un espace d'air. Elle sort légèrement le plastique qu'elle a mis autour de son pied et elle penche jusqu'à ce que plusieurs gouttes viennent dans le verre... non mon pepsi frais...
Elle fait ça également avec l'autre jambe. C'est bon de savoir que ses deux pieds ont des plastiques pour garder leur production maintenant...
Le pepsi est maintenant au rebord, elle a dû ajouter un bon cinquième de la composition du verre. On ne voit déjà plus les bulles.
Camille : Tu refais ça encore une fois et je te jure que tu fais mes pieds devant tout le monde.
Léa revient.
Léa : Oh... tes glaçons fondent vite c'est au bord de débordé.
Camille : En effet mon chaton, tu devrais boire avant que ça continue de fondre.
Léa : Oui en plus nos parents ne sont vraiment pas contents quand on tache la table basse.
Camille lâche un léger sourire vicieux. Je n'ai pas le choix... Je prends mon verre et prends deux gorgées. Comment son pied peut-il prendre le dessus sur un soda... J'ai l'impression de ne sentir que ça. C'est peut-être aussi car ma bouche est encore marquée par tout ce qu'elle a léché et avalé d'elle.
Camille : Alors. Il fait du bien ton PEPSI ?
Moi : Hum... Oui, c'est bien.
Léa : Vous devriez vous écouter, vous êtes chelous...
Ça sonne à la porte.
Léa : Les voilà !
Ines et Clara entrent et me sont présentées de loin.
Ines est la petite sœur de Clara, petite en âge et en taille. Elle a l'âge de Camille, soit 19, un an de plus que moi. Elle est rousse avec quelques taches de rousseur. Elle est habillée d'un débardeur avec veste courte en jean. En bas, elle est en jupe, sans collant mais avec des bottes similaires à Camille.
Clara quant à elle est une grande femme de 23 ans (j'insiste sur le mot grande, quasi géante). Elle est plus blonde que Camille avec des yeux diamants. Du sang scandinave doit couler dans ses veines. Elle a de grosses bottines qui remontent jusqu'aux hauts de ses chevilles avec une fermeture éclair. Elle a un pantalon noir et un blouson aussi sombre. Étonnamment, elle dégage un certain charisme et un respect naturel.
Je ne sais pas pourquoi, mais l'ambiance est particulière... les regards entre Clara et Camille semblent foudroyants.
PS : Et j'aurais dû me douter de ce qui va suivre avec cette intuition. Pourquoi je n'écoute pas mes intuitions ? J'aurais même dû partir au lieu de venir à cette soirée...
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Ses pieds m'ont changé
Romance/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer... Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...