Chapitre 14 - La peur au ventre

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J'ouvre les yeux doucement, des cris, des bruits de scie circulaire, ils sont en train de découper la voiture. Quelqu'un me parle mais je comprends pas tout, j'entends juste mon prénom.

- S ... Séb ... Sébastien ... Sébastien ... tu m'entends répond moi vieux. Dit Fabian que j'arrive maintenant à distinguer.

- O ... u ... i ... Dis-je étant donné que c'est le seul mot que j'arrive à articuler avec difficulté.

- Ça va aller ils vont nous sortir. Tu m'as fait peur, tu as quelques blessures que j'ai réussi à voir. J'avais l'impression tu respirait plus, j'ai pas compris ce qu'il s'est passé. Dit-il en s'arrêtant, réfléchissant, pommé.

Je suis tellement navré à ce moment là d'avoir perdu ma concentration comme ça, je suis plus débutant merde.

J'entends le bruit se rapprocher je reprends un peu mes esprits, on commence à me tenir la main c'est Fabian qui est en train de sortir par en haut. Et ils descendent ensuite me chercher, en fait on a pas encore atterri, la voiture est resté planté sur le côté, mon côté. Ils ont stabilisé la voiture, elle ne peux plus bouger certainement au cas où ça n'irait pas à l'intérieur, j'imagine.

Ils me demandent si je suis blessé ailleurs qu'au visage. Je leur désigne ma jambe et le sapeur pompier tire une grimace qui me plaît moyen. Mais je fais avec, il commence à regarder et me prendre le bras pour m'extirper de la voiture, la douleur à la jambe se réveille et appuie ce qui me fait hurler à la mort, un mal de chien se libère, je ne supporte pas, je tombe dans les pommes.

J'ouvre les yeux doucement comme ci mes cils avaient été collé entre eux avec de la colle.

Je prends conscience que j'ai un bandage à la jambe et que ça me fait plus aussi mal que dans la voiture, j'arrive à bouger comme je veux c'était un corps étrangé qui s'est logé dans mon tibia et qui appuyait avec l'accident

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Je prends conscience que j'ai un bandage à la jambe et que ça me fait plus aussi mal que dans la voiture, j'arrive à bouger comme je veux c'était un corps étrangé qui s'est logé dans mon tibia et qui appuyait avec l'accident. Mon visage est couvert de streeps et pansements en tout genre. Un médecin passe la porte avec une infirmière.

- Alors comment vous sentez vous ? Demande le médecin.

- Ça va ou est mon copilote ? Dis-je immédiatement.

- Il va bien il est au téléphone dans la salle d'attente, on voulait vous voir avant de dire quoi que ce soit.

- Ok dite moi c'est grave ? Je vais pouvoir rouler ?

- Alors non ce n'est pas grave ce sont que des blessures superficielles mais le temps que ça se remette comme il faut il faudrait vous reposer un peu quand même. Je pensais vous mettre 2 semaines de repos.

- Ah oui ça fait beaucoup quand même j'ai une course pas la semaine qui suit mais celle d'après, ça fera pas tout à fait 2 semaines vous pensez je pourrais la faire ?

- Vous verrez en temps voulu si vous vous reposez comme il faut il y a pas de raison que d'ici 1 semaine voir un peu plus vous soyez remis sur pied, il n'en tiens qu'à vous maintenant.

Sébastien Loeb et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant