A Heart For Two

Chap 36 : La monogamie.

Les rayons du jour me sortent de mon sommeil, sentant la chaleur de leur corps entourer le mien. J'ouvre lentement les yeux, mon regard plongé sur le visage d'Aaron, l'une de ses mains sous le coussin tandis que l'autre se retrouve posée sur ma fesse. J'observe chaque détail de son visage qui semble paisible comme je ne l'avais jamais vu avant ce matin.

Je ne peux m'empêcher de sourire en les voyant tous les deux si différents et pourtant complémentaires.

Mes doigts glissent doucement sur le bras d'Aaron, savourant la sensation de sa peau bronzée contre la mienne. Il bouge légèrement, ses yeux s'ouvrant lentement pour rencontrer les miens. Un sourire doux étire ses lèvres, je sens mon cœur se réchauffer à cette vue, un rêve devenu réel.

— Bonjour, princesse, murmure-t-il d'une voix rauque de sommeil.

— Bonjour, dis-je doucement en retour, mes yeux brillants de tendresse.

Ses doigts remontent le long de mon corps avant de se refermer sur ma nuque pour me tirer contre ses lèvres chaudes, me plongeant dans un réveil enflammé. Je réponds à son baiser, me laissant emporter par la douceur et la passion de ses lèvres. Mon corps s'éveille sous ses caresses, chaque contact envoyant des frissons de plaisir le long de ma colonne vertébrale, tandis que je sens le sien devenir dur contre mon ventre nu.

Je sens des doigts se joindre à ce moment, caressant mon dos, signe que mon autre lion est, lui aussi, réveillé. Il se penche pour déposer des baisers le long de mon épaule et de ma nuque, accentuant la chaleur qui se répand en moi. Malgré mon corps courbaturé, il en veut encore... encore et encore. Je me tourne légèrement, plongeant mon regard dans le sien, m'accueillant avec un sourire tendre et amoureux.

— Comment as-tu dormi, Bambi ? m'interroge-t-il, sa voix encore endormie.

— Merveilleusement bien, glissé-je, un sourire heureux se dessinant sur mes lèvres. Je n'ai jamais été aussi bien entourée.

Aaron se redresse légèrement, son regard perçant, scrutant mon visage. Il semble chercher quelque chose dans mes yeux, et quand il le trouve, son expression se détend encore plus.

— On t'avait prévenu, princesse. Personne ne peut mieux faire que nous.

Je sens ses doigts s'enfoncer dans mes cuisses pour remonter ma jambe et la faire passer derrière les siennes.

Gabriel sourit, amusé, amusé et attrape mon menton pour m'embrasser passionnellement.

— J'amène le café. Propose-t-il en frottant ses cheveux en bataille.

Avant de quitter le lit, il jette, je ne sais quoi à Aaron qui attrape l'objet en plein vol. Son corps nu sous mes yeux se dévoile, me laissant une vue imprenable sur son fessier bombé, me conduisant aux portes du paradis des fantasmes féminins.

— Qu'est-ce que...

Le bruit de l'alu me surprend, je sens ses doigts contourner mon corps pour s'arrêter sur son membre frottant entre mes jambes couvertes par la dentelle de mon shorty dont n'oublie pas une serviette trônant comme rappel que rien... je dis bien, rien... ne les arrête. Sa bouche prend possession de ma peau m'arrachant un soupir.

— Gabriel ne peut débuter une journée intense sans sa dose de café. En revanche, moi, je préfère ce genre de dose.

Je ris doucement, un frisson parcourant ma colonne vertébrale sous la chaleur de ses lèvres, sentant ses narines me respirer profondément.

— Tu es incorrigible, Aaron, chuchoté-je, mes mots teintés de désir, qu'il s'empare de mon corps en feu.

Gabriel, toujours aussi tendre, se penche pour déposer un baiser sur ma joue, mes yeux ne ratent pas son membre exposer, me donnant des bouffés de chaleur qui ne lui échappe pas, me dilatant davantage, prête à sentir le membre entre mes jambes s'enfoncer pour me remplir d'extase.