CHAPITRE LXXVIII

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Un vent de panique me cloua sur place

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Un vent de panique me cloua sur place. Qu'est-ce que j'étais en train de vouloir faire moi ! Il avait fait une erreur et s'était excusé je devais normalement lui pardonner et passer à autre chose. Mais non, il fallait que la boule qui s'était niché dans ma gorge au souvenir de ma mère réveille en moi une envie atroce de me venger.

Et quelle vengeance putain !

Je pris une grande aspiration, ce moment d'hésitation m'empêchai d'effectuer le moindre mouvement, alors que le corps chaud et à moitié nu de Nex était toujours allongé sur le lit sans immobile.

Vas-y tu peux le faire jamila.

Sur ce, mes jambes réagirent m'amenant auprès de Nex. Je montai sur ses genoux le cœur battant, il me regarda surpris puis déglutit.

Ses yeux brillaient d'une lueur que je commençai à reconnaître, ce qui me donnai un semblant de courage pour faire ce qui allait suivre. D'un geste fluide je défis la corde de mon bikini libérant ainsi ma poitrine à la vue du jeune homme qui ne manquait pas une miette.

Il regardait ma poitrine avec adoration, j'étais pratiquement sûre qu'il voulait les prendre en main et j'étais presque tenté de lui ordonner de le faire. Son excitation cogna contre mes fesses m'arrachant un hoquet de suprise.

Un rictus moqueur se dessina sur ses lèvres, le petit air de défi qu'il affichait m'agaçait. J'entrepris d'onduler en douceur sur lui, son sourire disparu. Il jura en grognant ses poings agrippèrent brusquement le drap, sa respiration saccadée me fit accélérer mes mouvements.

Ses bras virent se poser sur mes hanches pour me forcer à ralentir.

__ Tu ne bouges pas j'ai dit. Lançai-je en retirant ses mains.

Ses yeux me supplièrent d'arrêter, il les referma quant il comprit que je n'étais pas prête à changer d'avis. Je déposai mes mains sur son torse, j'adorai son contact contre ma peau, je frissonnai même de plaisir.

Les gémissements rauques de Nex allumaient un feu brulant en moi et m'excitaient encore plus. Je devrai m'arrêter surtout que je pouvais sentir son érection durcir de plus en plus sous moi.

Je descendis pour admirer mon chef œuvre, la tête du jeune homme se leva légèrement pour me fixer ahuri. J'eus envie de rire sa tête faisait pitié on dirait un enfant à qui on venait de refuser un jouet.

__ Ne me regarde pas comme ça, tu es puni je te signale. Dis-je

Sa tête retomba lourdement sur le lit dans un soupir résigné. J'en profitai pour tirer sur maillot et le baisser. Son érection se dressa fièrement devant mes yeux dans toute sa longueur, j'avalai difficilement ma salive je n'avais encore jamais vue de pénis de près de ma vie.

Un jour en pénétrant brusquement dans la salle de bain j'avais trouvé Nick en train de se raser le pubis, il s'était empressé de couvrir son sexe de sa main tout en me hurlant de dégager, mais j'étais trop absorbée par ce qu'il cachait entre ses mains pour réagir.

Treat You Better Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant