Nouvelle année à la Fac. Nouvelles rencontres. Nouvelle chambre. Nouveaux profs. Nouvelle classe. Un nouveau dans ma classe. Seulement Lui. Rien que Lui.
Moi c'est Jeon Jungkook, étudiant en Faculté de droit à Séoul, j'ai 23 ans. J'habite dans l'un...
La menace que Sehun venait d'employer fasse à Taeyong nous laissa tous sans voix et avait donc forcer Taeyong et ses hommes de se replier à travers les sombres corridors du palais.
De plus, qu'il venait aussi de foutre le feu au tapis qui se trouvait juste sous nos pieds, ce qui nous avait tous surpris. Nous avions tous fait un bond en dehors de ce dernier.
-Putain. Fait chier. Laissa échapper Taehyung.
Il s'affola en cherchant sans doute un extincteur pour éteindre le feu. Nous faisons tous de même.
Au bout de quelques secondes, Taehyung et BamBam s'en emparèrent d'un et arrivèrent à bout des flammes ardentes. Étant sensible aux odeurs fortes, par exemple, tel que le poivre, les oignons ou encore la fumée, je toussa énormément.
Énormément que je pris appuie sur mes genoux pour tenter de reprendre ma respiration. Et aussitôt, Taehyung arriva furtivement à mon niveau.
-Ehh.. Jungkook, ça va ? Demanda-t-il, le ton inquiet.
-O-Oui, je vais bien... Lui répondis-je faiblement.
-C'est bon. Le feu est maitrisé. Tante de reprendre ta respiration. Essaya-t-il de me rassurer. Inspire, expire... Posa-t-il une main sur mon dos en le caressant.
J'aime sa façon de s'y prendre avec moi. Il est tellement ce qu'on appelle « la douceur incarnée ». Et même dans les moments les plus difficiles ou mal choisis, comme celui-ci.
Je l'aime ainsi.
Sa douceur à eut immédiatement effet sur moi et à réussi à calmer mes légères angoisses due au feu et à sa fumée épaisse et nauséabonde.
Entre temps, sa main avait glisser sur mon épaule. Ma main, quant elle, vient alors s'emparer de la sienne juste en se posant dessus, tout en me redressant.
Ainsi, nos mains se tenaient et naturellement, nos doigts s'étaient entremêlées, nos pupilles se croisèrent, ne se lâchant plus.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas ressenti cette sensation. Cette chose qui, quand ses yeux se posent sur ma personne, me fait brûler intérieurement. C'est un désir profond que je ressens envers lui, qui ne cessera, je pense, jamais d'accroître.
Non. Je ne pense pas. J'en suis sur.
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