Chapitre 65

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« L'amitié est une petite fleur très fragile ; il ne faut pas la mettre entre toutes les mains » de Franck Dubosc.

David me réveille pour poser ses lèvres sur les miennes dès que j'ouvre les yeux en me les frottant un peu. Il est penché au-dessus de moi, je distingue son visage et ses cheveux biens coiffés avec du gel ainsi qu'un de ses nombreux costumes noirs et chemises blanches sublimé avec une cravate noire.

- Rendors-toi, me dit-il à l'oreille. Je voulais juste de dire bonjour.

- Mmm, dis-je encore un peu endormie.

Il me caresse lentement le visage en fermant mes yeux délicatement avec ses doigts. Dou me demande, avec une voix tendre, de me rendormir. Je bats encore quelques fois les paupières. Mais rapidement, ses caresses, son souffle sur mon visage et ses paroles m'emportent vers de nouveaux horizons.

Il me prend par le bras et me jette dans une ruelle vide. Mes yeux essayent de s'habituer au noir. Je regarde autour de moi, mais ne voit rien d'autre que cet homme en train de me déshabiller. Je ne me laisse pas faire, mais l'homme est beaucoup plus fort que moi. Il arrache mes vêtements - jeans, chemise, sous-vêtements - jusqu'à ce que je sois nue.

Il baisse alors son pantalon après m'avoir donné un coup dans le ventre pour éviter que je bouge. J'essaye alors de me protéger en tombant au sol et en croisant mes bras sur ma poitrine. Mais il me soulève à bout de fort pour me suspendre. Je le sens me donner encore des coups, quand j'essaye de me débattre.

Il finit par me maintenir les jambes écartées à l'aide des siennes et à me pénétrer violemment en enfonçant profondément son sexe dans le mien sans ménagement. La douleur est insupportable je sens les larmes couler le long de mes joues.

- Non, je crie de toutes mes forces avant qu'une de ses mains viennent se placer devant ma bouche.

Je hurle et me débat dans tous les sens, quand une voix vient me parler sans que je distingue la personne. Une main me touche alors, mais je me retourne encore pour qu'il me lâche. Je continue de tourner en me défendant avec les bras

Tout à coup, il me prend pour tenir mes bras et ma tête. Il me fait mal, mais je n'arrive plus à lutter. Ma respiration ne se calme pas, mes jambes continuent de s'agiter, tandis que ma voix continue d'appeler de l'aide. Je sens alors qu'il glisse quelque chose contre mon oreille.

- Alexie ? J'entends alors dans le haut-parleur placé contre mon oreille. Calme-toi, ce n'est qu'un mauvais rêve. Mon Ange, détends-toi. Je suis là, avec toi.

A ces paroles, mes muscles commencent à se détendre. J'ouvre alors lentement les yeux, tandis que David continue de me parler. J'aperçois alors Fred pratiquement sur moi en train de maintenir toutes les parties de mon corps. Je lui fais signe de me relâcher, ce qu'il fait en venant me caresser le visage avant de se lever. Il me laisse le portable dans les mains.

- Merci, je souffle alors.

- Fred m'a dit que tu n'étais pas bien. Je lui ai dit de faire comme cela.

- Ça va ? Je lui demande, alors que ma voix tremble encore, mais je veux me rassurer un peu et l'entend encore parler.

- Je te raconte ce soir, mais ça va. Profites de ta journée avec Steph. Je t'aime mon Ange.

Je raccroche le téléphone avant de le tendre à Fred, qui le prend.

- Moi aussi, finis-je par lâcher.


Cela fait sourire Fred que je remercie pour sa présence. Il m'explique que c'est son job et que je n'ai pas à m'en faire, il fera tout pour que j'aille bien comme lui en à confier pour mission David lors de mon retour à ses côtés.

Liaison dangereuse 2. Un amour de prof...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant