Chapitre dédiée a @HasnaaLawley
parce que tu t'es fait prendre en cour a cause de moi
RAPPEL: SI VOUS N'ARRIVEZ PAS A VOIR LES PROCHAINES CHAPITRES C'EST QUE L'HISTOIRE EST PASSER EN PRIVÉE. DANS CE CAS LA, ENLEVEZ LA STORY DE VOS BIBLIOTHÈQUE ET REMETTEZ LA. SI CA NE MARCHE TOUJOURS PAS ABONNEZ VOUS A MOI.
JE SUIS DÉSOLER POUR LES DÉSAGRÉMENT MAIS WATTPAD M'ÉNERVE AU PLUS HAUT. J'AI FAIT UN JOLI MAIL BIEN SALÉE A L'ASSISTANCE. M'ENFIN, EN ESPÉRANT QUE CA REMARCHE SOUS PEU.
DE PLUS A CAUSE DES BUG JE SUIS OBLIGER DE PUBLIER, ENLEVER ET REPUBLIER MES CHAPITRE (AINSI DE SUITE) POUR QUE VOUS PUISSIEZ LES VOIR. ENCORE UNE FOIS J'EN SUIS DÉSOLER POUR CES FAUSSES JOIES.
~* J'ai besoin de sonne-per, sans père, j'ai grandi sans repère. La seule et l'unique reste bien ma mère, parle mal d'elle tu verra ton sang couler par terre. *~
Lorsque j'arrive chez moi ce soir-là, je comprends tout de suite que quelque chose cloche. La télévision qui reste allumé toute la journée est éteinte, ma mère n'est ni dans la cuisine, ni dans le salon.
Le silence qui flotte dans l'appartement me donne des frissons de la racine de mes cheveux à mes orteils coincée dans mes gaudasses.
- Yênissa, j'appelle ma petite sœur avec angoisse.
Il est dix-huit heure donc elle est forcément à la maison. La porte de la chambre de ma mère s'ouvre, Yênissa et en mère en sortent. La femme qui m'a mise au monde passe devant moi en baissant la tête et sans un regard pour moi. J'ai l'impression de revivre le jour où Prince est tomber. Ce jour-là, je suis rentré du lycée, ma mère s'était enfermer dans sa chambre pour y pleurer de tout son soul.
Comme aujourd'hui, je n'avais rien compris, jusqu'à ce que Saiyan et l'Escro m'annoncent la nouvelle.
- Maman, je dis en la rejoignant. Qu'est-ce qu'il se passe ?
Je sens son hésitation alors qu'elle m'évite toujours du regard. Elle se met face à l'évier et allume l'eau.
- C'est ton père, répond-elle finalement dans un murmure.
Mon souffle se coupe sous la surprise. Il est venu, il lui a sans doute parler. Comment ose-t-il ? Après toutes ces années.
- Il veut quoi se batard ? je demande en la saisissant par le poignet pour qu'elle soit face à moi. Maman dit moi qu'il ne t'a pas approché. Pour qui il se prend ?
- Calme toi wouldi. C'est ton oncle qui est venu. De sa part. Ton père veut vous voir.
- C'est pas notre putain de père ! je cri hors de moi.
Ma mère sursaute face à mon excès de colère. Comment ose-t-il ? Lui qui est partit peut après la naissance de Yênissa, il pense qu'on va l'accueillir à bras ouvert ? Je vais l'accueillir a poing fermer, il ne va rien comprendre à sa vie.
Le cri de ma mère me sort de ma torpeur. Mon poing s'est écraser contre le mur sans que je m'en rende compte.
Inspiration, expiration, inspiration, expiration. De la merde. De la grosse merde. Ce qui se trame dans mon cerveau me fait peur à moi-même. 213 façon de lui ôter la vie.
Ce lâche n'a même pas eu le courage de venir lui-même. Il a envoyé son frère, ce sale chien de la casse.
- Il a le droit de voir ses enfants, dit ma mère en rompant le silence.
- Quoi ? je la dévisage. J'espère qu'elle blague. Elle ne peut pas avoir dit sa sérieusement.
- C'est votre p..., commence-t-elle avant de s'interrompre. Ce qu'il a fait ne change rien. Il a le droit de demander après vous.
- Met toi bien sa dans le crane Maman, personne ne veut le voir dans cette maison. Quant à Yênissa, elle ne le rencontrera jamais, est-ce bien clair ?
Perdu, je vais dans ma chambre. Assis sur mon lit, je fixe le mur. Yêni entre et grimpe sur mes genoux.
- Pourquoi t'es énervé Papa ? demande-t-elle d'une petite voix.
Je scrute ma petite sœur un moment. Il n'a pas le droit de demander à la voir après tout ça. Il n'a pas le droit de ma la prendre. Pas après être partit toutes ces années. Il n'a pas le droit. Je resserre ma prise sur Yênissa. Elle m'entrain, ses petits bras font le tour de mon cou.
Il n'a pas le droit ce fils de lâche. Il n'a aucun droit sur nous et encore moins sur elle.
- Tu me fais mal Papa, s'exclame Yênissa.
J'ai un peu trop forcer en la prenant dans mes bras. Elle pleure et s'éloigne de moi. En un mouvement je suis face à l'armoire, je balance tout ce qui se trouve à proximité de mes mains. Sur le sol et sur les murs. Un cri de rage s'échappe d'entre mes lèvres. Les pleurs de Yênissa redoublent. Je me tourne vers elle et dit :
- Appel Jennah. J'ai besoin de Jennah, j'ajoute pour moi-même. J'ai besoin d'elle, elle est où ?
Coup de poing dans le mur. Inspiration. Respiration saccadée. Coup de poing dans le mur, un cri de rage s'échappe une fois de plus d'entre mes lèvres. Inspiration. Expiration. Coup de pied dans la porte.
Dix minutes semblent s'être écouler avant que le parfum de Jennah embaume la pièce, avant que son regard croise le mien, avant qu'elle me sert dans ses bras.
- Emmène-moi loin d'ici, je dis en la suppliant du regard.
Machinalement, presque mécaniquement, j'attrape la main que me tend Jennah. Elle me dirige je la suis. Je ne remarque rien de notre trajet, ni le regard angoissé que me lance ma mère lorsque nous sortons de l'appartement, ni le trajet jusqu'au bâtiment de Jennah, ni notre arriver dans son appartement.
Assis sur son canapé à mes côtés, Jennah me caresse doucement les cheveux et attend que je prenne la parole.
- Qu'est-ce qu'il y a mon amour ? demande-t-elle dans un murmure.
- Ce fils de pute veut me prendre ma sœur. Il va le faire ce chien. C'est lui qui l'a élevé ? C'est lui qui lui a appris à parler ? C'est lui qui à veiller auprès d'elle les jours ou elle était malade ? Hein ? Il était où lui ?
- Il ne va pas te la prendre mon amour, dit-elle en continuant à me caresser les cheveux. Il veut juste la voir.
- Non ! je m'exclame en me levant. Il ne l'a verra pas !
- D'accord, répond-elle en me rejoignant. Viens avec moi, elle ajoute en attrapant ma main.
Elle me dirige vers ce qui semble être sa chambre. Jusqu'à aujourd'hui, je n'y étais jamais aller. Sa chambre est sobre, assez clair avec un grand lit double.
- Allonge-toi, dit-elle en m'amenant au lit.
Je m'exécute en silence. Elle me rejoint et pose sa tête sur mon torse.
- Dors mon amour, essaie d'oublier juste pour un instant.
Encore une fois, je m'exécute sans piper mot. Je profite simplement du moment présent. Juste de sa présence. De son odeur. De son corps coller au mien.
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Crapule Du Ghetto
RomanceJ'suis qu'un enfant de cité Vivant dans le monde de la misère Je rêve d'accéder au sommet Pour détrôner le ter-ter Abandonné par une ordure, mon père Laissant ma reine s'égarer dans la galère. J'endosse le rôle de «Chef de foyer» Quitte à s'immiscer...