Chapitre dédiée à ElKarahiya
Dedicasse quand Wattpad cessera de buger toutes les dix secondes.Juste pour vous dire que j'ai désormais ajouter un indicateur 'Mature' a l'histoire. Car j'ai remarquer que c'est pas forcément convenable à tout les âges. Entre les 'gros mots', les actions de Crapule, la drogue et les scènes légèrement hot, je veut que vous soyez au courant de ce que vous lisez.
De plus, j'ai reçu plusieurs message indiquant que vous ne pouvez accéder à certains chapitre. Ce qui est très bizarre sachant que l'histoire n'est pas 'privee'. Quand c'est en privée, seule mes abonnées peuvent la lire. Je ne l'ai pas fait pour ne pas vous forcer à vous abonner mais malheureusement je pense que ça c'est enclenchée tout seul. Donc abonnez vous. A chaque publication de chapitre, je ferais désormais un petit post sur mon mur afin de vous tenir au courant par rapport au bug de notification.
~* Make love, not war *~
Yênissa m'a demandé de venir la chercher à la sortit des cours. Sania et Jennah me proposent de m'accompagner. C'est ainsi que je me suis retrouver dans cette situation. Au retour, un petit passage à la boulangerie est de rigueur. Des bonbons et du jus, voilà comment rendre heureuse Yênissa. En sortant de la boulangerie, nous tombons nez à nez avec Camélia. Celle-ci s'approche et nous claque tous la bise en finissant par moi.
- Ça va Yêni ? demande-t-elle en prenant la voix qu'on adopte tous automatiquement à la vue d'un enfant.
Yênissa répond à peine, trop concentrer sur son gouter.
- Sania ça fait un bail, enchaine Camé a l'intention de ma sœur.
Celles-ci étaient amies dans le passé. Avant que Camélia ne devienne ce qu'elle est devenue. Avant tout les mecs qu'elle se tape. Je suis mal à l'aise de la situation qui se joue devant moi. Ma jumelle, ma petite sœur et la fille avec qui je partage une relation que je ne pourrai qualifier discutent tranquillement avec une meuf que je me suis taper à plusieurs reprises.
- Aller on se tire, je lâche froidement.
- Crapule, appel moi quand ta du temps à me consacrer, me dit Camé. Elle retient mon bras et m'embrasse. Ce soir je suis disponible si tu l'es, elle dit avant de partir.
Je me ressaisie et tire Yênissa par le bras pour qu'elle avance. Je largue les filles devant le bâtiment, Jennah ne m'a pas adressé un seul regard. Sania non plus. Camélia était sa meilleure amie il fut un temps.
- C'est une putain de blague, c'est ça ? J'y croit pas ! Elle t'a embrassé devant moi et tu n'as rien dit ! Jennah cri, ça ne fait que deux minute que je suis là mais j'ai déjà envie de partir. C'est la deuxième fois Crapule !
Elle m'a appelé dans la soirée pour que je la rejoigne chez elle. Youssri est partit d'après elle. Il a encore laissé sa sœur.
- Tu l'as laisser t'embrasser ! elle cri encore et tourne dans tout le salon.
Je suis installé sur le canapé à attendre vainement qu'elle arrête de hurler. Je sors mon téléphone de ma poche et répond à un texto.
- Tu te fous de ma gueule en plus, elle s'exclame en me prenant mon téléphone. Ne me néglige pas Crapule !
- Tu vas fermer ta gueule oui ou non ? je crie à mon tour en laissant place à ma colère.
À peine arriver chez elle, elle a commencé à crier et à me faire des reproches. Chose que je déteste mais j'ai pris sur moi car c'est Jennah. Mais là c'est trop.
- Tu fais tout un cinéma pour tshi ! Maintenant ou tu arrêtes ton cirque ou je me tire. J'ai pas besoin d'une personne de plus qui me casse les couilles. J'ai déjà assez de gens dans mon entourage pour ça, mes propos dépassent mes pensées mais c'est la colère qui parle.
Jennah me lance un regard qui me fait regretter immédiatement mes mots.
- Je te casse les couilles ? demande-t-elle doucement en baissant la tête. Si tu ne veux pas de moi dans ta vie, tu n'aurais jamais dû m'embrasser, elle ajoute en levant la tête.
Lorsque nos regards se croisent, mon palpitant se serre. Elle a les larmes aux yeux. Je l'ai blessé. C'est dans ma nature, elle le savait en s'engageant avec moi.
- Vas-y je me tire, je dis en me levant.
- Non, s'exclame-t-elle en se mettant devant. Dit moi maintenant si tu n'as pas de patience pour une relation.
- Je supporte pas de devoir donner des explications sur chacun de mes faits et gestes. Et puis, tu la dis toi-même, c'est elle qui m'a embrassé. Pas l'inverse.
- Tu aurais pu la repousser, elle répond hargneusement.
- Tu crois que j'ai deviné qu'elle allait le faire ? je la questionne en haussant le ton. Je suis partit, que veut tu de plus ? J'allais pas la frapper !
- Tu aurais pu lui dire que t'es en couple ! elle s'exclame en me tournant le dos.
- Parce que je suis en couple ? je demande en souriant.
J'aime qu'elle voit le sérieux de notre relation. Au fond, sa jalousie me plait car elle indique que Jennah tient à moi. Mais je n'ai pas besoin d'un flic dans ma vie. Et pas non plus d'une personne qui hurle à tout va.
- C'est ainsi que je vois notre relation, pas toi ? elle demande en se tournant enfin vers moi.
Sa voix à grandement changer de ton. Elle chuchote désormais.
- Si c'est comme ça que tu nous vois, moi aussi, je souris et lui fait signe d'approcher.
Je l'étreins doucement et profite simplement de sa présence.
- Première dispute de couple, je dis en accentuant le mot couple.
- On s'en sort bien je trouve, elle dit en m'enlaçant plus fort.
Le lendemain, je me réveil sur le canapé de Jennah pour la deuxième fois. Sauf que cette fois-ci je me rappel de notre soirée. Elle a tout d'abords cuisiner pour moi, puis nous nous sommes installés devant la télé. J'ai fait semblant de m'intéresser au film alors que la seule chose que je regardais était la fille qui était confortablement installer à mes côtés. Nous avons ensuite enchaîné avec une longue discussion au court de laquelle j'ai dû m'endormir, car je n'ai plus aucun souvenir de la façon dont de me suis endormit. Ce dont je me rappelle clairement, c'est du rire de Jennah tout le long de la soirée. Se rire qui me fait me sentir si bien. Se rire qui entraine inexorablement le mien.
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Crapule Du Ghetto
RomanceJ'suis qu'un enfant de cité Vivant dans le monde de la misère Je rêve d'accéder au sommet Pour détrôner le ter-ter Abandonné par une ordure, mon père Laissant ma reine s'égarer dans la galère. J'endosse le rôle de «Chef de foyer» Quitte à s'immiscer...