Crapule Du Ghetto

*Bonus 1 - Part 1*

HEYY !

Inaya Amani au micro. J'espère que vous allez bien. J'ai besoin de votre attention un court instant avant de débuter votre lecture.

Alors je vous envoi la partit 1 du premier bonus que j'ai écrit pour cette histoire. Je vous explique: les bonus que je vais vous mettre sont des scènes qui apparaissent dans la réécriture de Crapule Du Ghetto et qui ne sont pas dans le version original.

J'ai besoin de vos avis sur ces scènes la. Pour savoir si je doit les inclure ou non dans la nouvelle version.

Je tient aussi a remercie celle qui continuent a recommander l'histoire et qui en parlent encore. Celle qui continue a kiffer même si l'épilogue a "conclut" le livre depuis un long moment. Celles qui votent, et m'envoient de jolies commentaires/messages.

Je vous kiffe.

J'attends vos réactions et comme d'hab, VOTES & COMMENTAIRES...

BONUS 1: -LA VÉRITÉ SUR CRAPULE-

J'ouvre les yeux et savoure cette sensation si excise. Jennah et moi nous sommes mariés depuis quatre mois. Et depuis quatre mois elle partage ma vie et mon lit à temps plein. La tête loger dans le creux de mon cou, ma femme me réveille de la meilleure des façons qui existe. Ses cils papillonnent et me provoque des frissons. Lorsqu'elle remarque que je suis réveillé, elle me chevauche et dépose un baiser sur mes lèvres sceller.

- Salut beau gosse, elle dit en me regardant comme elle seule le fait.

- Hey princesse, je réponds de ma voix rauque du matin. Bien dormit ?

- Avec toi, toujours, elle acquiesce et me caresse langoureusement le torse.

Je comprends tout de suite où elle veut en venir. Jennah commence par recouvrir mon torse de baiser, et progressivement, elle remonte jusqu'à mon cou. Elle sait ce que ça provoque chez moi. Je sens ses mains voyager, elles passent de mes cheveux à mes pectoraux, et continue leur chemin sur mes côtes pour finir par descendre mon short.

- Bébé, je lâche à bout de souffle.

Au moment où les choses commençaient à devenir sérieuse, mon téléphone sonne et interrompt notre moment si privilégié. Je n'y prête pas tout de suite attention mais Jennah elle, s'empare de mon bigo et sursaute. Elle saute littéralement du lit et cri :

- Putain Fou on va être en retard ! Lève-toi vite on doit y aller.

Je soulève la tête de mon oreiller pour l'observer et constate avec stupéfaction qu'elle sort des habits de l'armoire et commence à se préparer.

- Mais Jen ! je m'exclame en faisant la moue. On avait des projets il me semble, on aller faire un truc là non ?

- Bébé j'ai un cours dans une heure et tu dois aller travailler, elle dit en retirant son tee-shirt.

- Putain Jennah ! J'ai rien demandé moi. Tu m'explique comment je me débarrasse de cette putain d'érection ? je demande en criant, frustrer par la situation.

- Va te doucher, je me suis laver avant de te réveiller donc t'as la salle de bain pour toi. Douche froide apparemment mon cœur, elle ricane et continue à se dévêtir.

- Bébé, je gémis et fais une fois de plus la moue. Ne me fait pas ça.

- Aller debout Fou, tu dois te préparer la. On va être en retard. Promis ce soir je m'occupe de toi.

Un passage éclair a la douche, et je suis prêt. Je rejoins ma femme dans la cuisine tandis qu'elle nous prépare un petit déjeuner en vitesse. Elle sait que je ne mange pas tout de suite après m'être lever mais que je dois attaquer la journée par un café. C'est pourquoi elle me sert le breuvage noir et me prépare une collation pour plus tard. Yênissa arrive au moment où j'allume ma première cigarette de la journée. Elle commence par saluer Jennah puis elle accourt vers moi et me saute dessus.

- T'es encore en pyjama ! je dis en guise de bonjour.

- Papa je suis en vacances, elle dit insolemment et en roulant des yeux. Je peux faire ce que je veux. Et puis Sanoune ne vient pas tout de suite.

- Tu restes sage hein petite tête ? Maman t'as tout préparé ? Tu as bien pris l'argent que je t'ai donné ? je l'assaille de question. Et tu fais pas de bêtise ! Tu sors pas sans Sania ou Jessim, et tu restes pas avec les cousins de Jessim. Qu'avec les filles, et même avec elles tu fais attention.

- C'est bon Papa ! Arrête de t'inquiéter. Je vais juste au Maroc ! elle s'exclame en roulant une fois de plus des yeux.

- Juste au Maroc ? je manque de m'étouffer en riant.

Je tire sur ma clope sous le regard courroucé de ma petite sœur. Elle a pour objectif de me faire arrêter de fumer. Et elle utilise tous les moyens qu'elle peut. Paquet de cigarette dans le congélateur, dans les toilettes, cigarette casser en deux dans le paquet, elle cache tous les briquets de la maison et j'en passe.

- Fou, m'interpelle Jennah. On y va ?

Je dis au revoir a Yêni qui va passer deux semaines au Maroc dans la famille de Jessim. Elle s'accroche à moi et me garde près d'elle jusque devant la porte d'entrée. Nous nous lâchons finalement et je rejoins Jen dans l'ascenseur. Automatiquement, elle se colle à moi et prend ma main dans la sienne. Je ne commente pas et attend en silence pendant la descente.

On monte en voiture et je conduis en silence. Jennah gigote sur son siège ce qu'elle fait lorsqu'elle est mal à l'aise. Le silence est pesant dans l'habitacle mais c'est plus fort que moi, je boude. Arrivé devant l'école de commerce où Jen est en stage, je coupe le moteur et attends. Toujours en silence.

- Arrête de bouder Fou. Je me sens pas d'attaquer une journée de travail en sachant que mon mari m'en veut. S'il te plait ! elle ajoute devant mon manque de réaction.

- Tu m'as chauffé puis laisser refroidir seul. Première et dernière fois Jen. La vie de moi, la prochaine fois je m'en bas les couilles d'arriver en retard ou pas, je te prends peu importe l'heure. C'est compris ? je demande hargneusement, toute ma frustration ressent à ce moment précis.

- Oui bébé ! elle répond espièglement et m'embrasse la joue. T'es trop mignon quand tu boude.

Elle saute à l'extérieur et m'adresse un signe de la main pendant que je la regarde partir. Elle me rend ouf. Ma journée a la banque se passe tranquillement et je compte les minutes qui me séparent de ma femme. Le matin, je la dépose à l'école et le soir elle me rejoint à la banque. Certaines fois on va manger dehors, d'autre fois on rentre directement à l'appartement pour rejoindre ma mère, ma sœur et Prince qui vit à mi-temps avec nous.

Silvie débarque dans mon bureau trente minutes avant la fin de ma journée.

- Fouad ! Jennah est à l'entré, elle est en pleure et on arrive pas à la calmer.

A l'entente de ces mots, mon sang ne fait qu'un tour. J'accours à l'accueil et découvre une Jennah en larme et le visage déformer par la peur.

- Bébé, vient là, je dis simplement en la prenant dans mes bras.

Elle s'accroche à moi presque désespérément et ses sanglots redoublent.

VOTES ET COMMENTAIRES