DU GRAND N'IMPORTE QUOI CE CHAPITRE. JE L'AIME PAS DU TOUT. A VOUS D'EN JUGER.
CHAPITRE DÉDIÉE A LA FORCEUSE @LaCongolaise
T'AS PAS LÂCHER ET T'AS EU CE QUE TU VOULAIS :)
MDRRR J'AI REMARQUER QUE VOUS COMMENTEZ SOUVENT LE NOM DES CHANTEURS DES CITATION QUE JE MET EN DÉBUT DE CHAPITRES. FAITES LE A CHAQUE FOIS ET LES PREMIÈRE AURONT UN TRUC. UNE DEDICASSE SUREMENT. MAIS FAUT LES TROUVER !!! CAR ELLES SONT TOUTES TIRÉE DE CHANSONS.
~* Admettons, que j'ai pris le train destination pétrin. Impossible de faire demi-tour, et c'est là que ça craint ! *~
Deux jours passent durant lesquels j'esquivent tout le monde. Je ne veux voir personnes. Je suis tourmenté comme le dit si bien Ketama. À vrai dire, je passe la plupart de mon temps à la salle, je sèche les cours car Jennah n'a plus besoin de moi pour la déposer. Elle a son Youssri maintenant. A dix-huit heure ce jour-là, un des rares moment où je sors de la salle, je croise Lyla, une jeune Congolaise d'origine, avec qui j'aime bien parler. Elle est toujours de bon conseil. Alors que je m'approche de celle-ci, je vois Jennah un peu plus loin accompagner de cet homme qu'elle ne quitte plus.
- Je vais t'embrasser dans deux seconde, ne le prend pas mal, je dis à Lyla avant de pencher la tête vers elle.
Elle lâche un grognement de stupéfaction et essaye de se retirer mais je la tiens fermement. Une fois que je la lâche, je jette un œil au-dessus de son épaules et remarque avec satisfaction que Jennah a vu toute la scène.
- Toi et moi on va vite se diriger vers le bloc derrière toi, crache Lyla entre ses dents.
Je la suis sans broncher, je vais passer un sale quart d'heure. À peine entrer dans le bloc, Lyla projette sa main sur mon visage. Je ne l'ai pas vu venir mais il faut dire que je l'ai mérité.
- On ne se sert pas d'une femme pour en rendre jalouse une autre, c'est compris ? cri elle a moitié. Je ne sais pas ce qu'il se passe avec la nouvelle mais règle tes histoires avec elle.
Lyla passe rapidement devant moi et me tchip en passant. Énervée. Elle a du caractère cette fille, un peu trop des fois mais elle est sage. Ses mots ont un sens. Et ceux-ci font écho dans ma tête. Il faut que je parle à Jennah.
Quand j'entre dans mon bloc, Jennah semble m'attendre. Elle me fait signe de la suivre et part en direction des colonnes sèches.
- Tu l'as embrassé ! s'exclame-t-elle une fois face à face. Je ne comprends pas ! Y'a une semaine c'est moi que tu embrassais et la tu galoche une autre fille en pleine rue.
Je garde le silence. Je ne sais pas moi-même pourquoi j'ai fait ça. La rendre jalouse comme elle m'a rendu jaloux surement. C'est petit et je le sais.
- Youssri c'est ton mec ? je demande en évinçant sa question.
Je ne la quitte pas des yeux. Si elle me répond que c'est bien son mec, je ne répondrai de rien. Je ne serais plus maître de mes gestes, ni de mes paroles. Ses sourcils se froncent et elle s'exclame finalement :
- C'est pour ça que tu l'as embrassé ? Tu as cru que Youssri était mon copain ! Ce n'est pas mon mec et ça ne l'a jamais été, dit-elle doucement en attrapant ma main.
Je baisse les yeux vers nos mains enlacer. Un soupir de soulagement s'échappe d'entre mes lèvres. Je ne peux retenir la joie qui m'envahie et prend Jennah dans mes bras. Sa tête se niche au milieu de mon torse. Il semblerait qu'elle ait trouvé sa place près de mon cœur. Encore plus près qu'elle ne le pense. Nous restons un moment figé dans cette position, je profite grandement de la sensation de son corps au plus près du mien. De l'odeur de ses cheveux, juste sous mon nez. De ses mains douces qui bougent de façon circulaire sur les mienne. Mon palpitant s'emballe lorsque les mains de Jennah remontent sur mes bras, elle atteint rapidement mon visage. Elle se recule légèrement pour me regarde et sourit en me caressant le visage.
- Depuis le temps que je voulais connaitre la sensation de mes mains sur ta barbe, souffle elle entre ses lèvres si tentatrices.
- Depuis le temps que je rêve de connaitre la sensation de mes mains sur tes fesses, tu me laisse faire ? je dis en rigolant face à sa tête de petite fille prude.
Jennah retire ses mains de mon visage et me met un coup sur le torse. Son rire se joint rapidement au miens. Ce rire qui me fait craquer. Nous sommes interrompus durant notre moment intime par quelqu'un qui arrive. Les colonnes sèches donnent accès aux escaliers. Prince arrive au moment au Jennah se détache de moi.
- C'est une blague ? il hurle hors de lui. Je vous ai tous les deux avertit ! Je ne veux pas vous voir ensemble.
- C'est pas à toi de décider, je lui répond en mettant Jennah derrière moi.
J'ai bien remarquer le frison de peur qui as envahi Jennah. Elle a peur des réactions de mon frère, a raison. C'est à cause de ses réactions que Maya est partit. C'est à cause de toute les fois où il lui a lever la main dessus qu'elle a quitté le quartier. Je ne laisserai pas ce genre de chose arriver à Jennah. Plutôt crever que la laisser ce faire taper dessus.
- Je ne pense pas que tu sois la personne la plus approprié pour nous indiquer si on doit se fréquenter ou non ! Mêle toi de ce qui te regarde, je dis en le fusillant du regard.
C'est bien la première fois que je réponds ainsi à mon frère mais c'est pour Jennah. Ma réaction n'est pas vaine. Le ressort de notre pseudo relation ne concerne qu'elle et moi. Personne n'a le droit de s'immiscer entre nous.
- Tu vas la faire souffrir Crapule, tu le sais, il dit en s'avançant vers nous. C'est dans nos gènes de faire souffrir les femmes qu'on aime.
- Parle pour toi, je lui réponds sans conviction. Occupe-toi plutôt de ce qui te regarde. Pars donc à la cherche de la femme qui ta quitter car tu la battais, j'ajoute en regrettant tout de suite mes paroles.
Le regard de Prince se voile pendant quelques secondes et j'arrive à y voir la souffrance qu'il ressent. J'arrive à voir la peine qu'il a d'avoir détruit la femme qu'il aime. Il me transperce du regard avant de tourner les talons. Ses mots résonnent néanmoins dans ma tête comme un écho. « C'est dans nos gènes de faire souffrir les femmes qu'on aime. »
Je vais faire souffrir Jennah. Comme mon géniteur a fait souffrir ma mère pendant des années. Comme mon géniteur qui battait ma mère. Comme mon frère qui a fait souffrir la seule femme qui l'ai vraiment aimé en dehors de ma famille. Comme mon frère qui a longtemps frapper la femme qu'il aimait alors que la colère prenait le dessus. Comme tous les hommes de ma famille, je vais faire souffrir Jennah.
*** COMMENTAIRES SUR LE CHAPITRE ? ***
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Crapule Du Ghetto
RomanceJ'suis qu'un enfant de cité Vivant dans le monde de la misère Je rêve d'accéder au sommet Pour détrôner le ter-ter Abandonné par une ordure, mon père Laissant ma reine s'égarer dans la galère. J'endosse le rôle de «Chef de foyer» Quitte à s'immiscer...