CHAPITRE 40:

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MAY :

J'ai dit à Julien que je voulais me retrouver seule. Comme à chaque fois que je rend visite à mon père. Cette fois ci je change d'endroit. Je suis la, assise  dans l'herbe en regardant ce petit lac, séparent la ville d'une autre. Une forêt pleine. la nuit prête à faire surface. La Lune déjà présente. La cabane d'arrière moi.

La nature est éternellement jeune, belle et gracieuse. Elle est le secret du bonheur, et nul n'a su le lui ravir...

Elle est toujours la pour nous. Nous rappelez d'où nous venons. Nous rappelez la solitude parmi ces centaines d'arbres plus grand les uns que les autres.

C'est un secret. Un mystère qui nous laisse ses portes ouverte.

Plus je regarde autour, plus je me rappelle à quel point j'aime cette endroit. Et se retrouver seul ici c'est comme un billet de concert qu'on n'a qu'une seul fois dans sa vie. Tout devient bénéfique. Nos pensées sont vider. Notre réflexion à disparue. Il ne reste que le son de notre souffle, le vents, et la nature avec ces oiseaux.

C'est comme une mère qui te préserve, et te berce.

Elle chante des berceuse, et te souffle sur le visage pour te sentir mieux. Elle peut te nourrir par ses fruits, et son eau. Et te faire sentir légère par son vent.

Elle me soulage et me fait sentir comme un de ces oiseau que j'aime temps observer.

Pourquoi ais-je toujours voulu être ces créature à ailes ?

Surement parce qu'elles sont libre. Elle suivent des chemins différents et poursuit leurs route à droite et gauche. Voler à travers les nuages, observer le coucher de soleil de loin, nager entre la pluie, chanter avec l'orage et le vents. Se doucher dans ces flocons de neige, tout et poétique une fois avoir mis les pieds dans cette nature. Traverser ce ciel étoilé...Traverser une vie sans frontière et vivre dans l'air.

Je rentre dans la cabane.

L'idée de la restauré me rentre dans la cervelle.

Dire que toute cette partie de forêt plus le lac m'appartient. C'est les terres de mon père. Et je doit les garder et en prendre soin.

Je commence à tout vider et les met dans un grand carton que j'ai trouver dans la partie chambre.

Des centaines de bouteilles vide...

Mon père buvait...C'est donc pour cela qu'il rentrait tard le soir. Et quelque peu distant... Ici c'était son refuge. Son journal intime. Il se vider. Mais pourquoi autant ? Sa je ne le comprennais pas.

Deux heures après j'appelle Julien pour qu'il puisse venir me chercher.

**

  - Arrête Julien Nina et juste à côté.

  - Elle pourra jugez à quel point tu à une belle voix quand tu te met à gémir.

  - T'es con ! lui dis-je en le frappant sur la tête.

J'ai beau résister sa ne tiendra que 2 minutes. Son corps m'appelle. J'ai juste envie de m'y perdre.

Il m'enlève mon T-Shirt et ma culotte vu que je n'avais que sa. Je dort comme sa me jugez pas.

Il commence ses petites douceurs, et quelques minutes plus tard l'extase complète.

Mais quand c'est lui qui et enfui en moi c'est le supplément orgasme de la 10°dimension.

Si on m'aurais dit il y à 4 mois de sa que moi Mayssy Layel prendrais des plaisir comme cela, j'aurais rigolais jusqu'à en pleurais. 

C'est pas une de ces partie de baise après une teuf bien soûler à la fin. Non ..

Cap Ou Pas Cap 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant