CHAPITRE 62 : Mayssy.

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  - Non. Non. Me toucher pas ! Laissez moi ! Non !!! Non !!

  - May ?

  - Non. Partez...

Je me sens secoué. Je me lève en sursaut. En sueur, comme toute les nuit. Je regarde Aiden qui se trouve en califourchon au dessus de moi. Je m'accroche à lui comme une bouée de sauvetage.

  - Chui là tout va bien, me dit-il à l'oreille.

Je chiale, comme un gosse, à qui on a voler la sucette. Il me caresse le dos, et je m'apaise peu un peu.

  - Je vais te laisser dormir.

  - Non ! S'il te plait...dis-je complètement paniquer.

Il se rallonge au près de moi. Il reste à une distance raisonnable. Mais j'ai besoin de me sentir en sécurité. De me sentir protéger et que, juste avec des gestes je peut comprendre que la personne tient à rester près de moi. C'est se que je veux.

Je m'approche donc d'Aiden , et l'encercle de mon long bras. Je le sens souffler sur le haut de mon crâne.

Un lourd pesant reste en moi. Ma gorge est de plus en plus nouée. J'ai besoin de parler. De me confier. A n'importe qui.

  - J'ai étais agressé là-bas, dis-je d'une traite.

Je ne l'observe pas. J'ai honte...

  - J'ai étais agressé là-bas il y a 3 ans.

Il me pousse sur le côté et s'installe mieux pour mieux m'observer. Je regarde le plafond. Et je remarque que c'est un plafond étoilé. Je vois toute les constellation. On aperçois que la lumière des étoiles. C'est magnifique.

  - Je sortais d'une fête. J'étais complètement soûl. A cette époque mes fréquentation n'étais pas seine pour une gamine de 16 ans. Mes "amis" prenait de la drogue, j'étais toujours mêler au milieu dans le cercle ou chacun se fait tourner un joint, et d'autre substance, qui m'étais fin à mon malheur. Mais se soir, la. J'étais seul. Il faisait nuit ,et il pleuvait. Trois homme cagoulé. Un me tenait les bras en l'air, et l'autre par terre. Je me retrouver au sol. Le troisième, me tripoter, me toucher. Et il m'a laisser une marque. Sa marque de fabrication pour les nouvelles victimes de mon genre. Je suis une victime de ma vie. Et j'en suis l'auteur. C'est bien cela le pire (dis-je en regardent toujours se plafond) .

  - Et comment tu t'ai trouver la-bas avec Julien ?

  - Oh ,dispute de couple. Où le problème, et le manque de confiance, et les secrets cumulé.

  - Lui cache tu des secret ?

Je le plonge mon regard, dans ses yeux. Je peut même voir leurs lueur transparent parmi cette noirceur de nuit.

  - Nous cachons tous des secrets. Mais ils ne font pas de mal tant qu'ils ne touchent pas l'entourage, dis-je. Il a dit une phrase qui m'a pousser à quitter la voiture et me retrouvé ici.

  - Laquelle ?

  - Que j'avais surement un manque d'autorité parentale.

  - C'est le cas ?

  - Énormément.

  - Donc la vérité te blesse ? Me dit-il sur de lui, de ses propos.

  - Non. C'est la raison pour laquelle, j'ai se manque qui me blesse. La vérité j'en n'ai rien n'a faire. Je l'assume tout les jours.

Il ouvre sa bouche, et la referme.

  - Tu l'aime ? Me dit-il soudainement.

Non, non je ne l'aime pas c'est pour cela que je sort avec lui et supporte son caractère.

  - Bien sûre.

  - La vérité éclate toujours au grand jour, me dit-il.

  - Le plutôt est le mieux.

  - Non. Le mieux c'est que la personne le dise. C'est jamais bon quand nous, le découvrons nous seul.

  - Merci.

Il me regarde bizarrement. Putain moi qui n'a pas l'habitude de remercier. Quand je le dis, ils sont obliger de me regarder de cette façon la ?

  - De m'avoir écouter sans avoir porter jugement à ma personne. Où pour ton aide depuis le départ. Surtout que tu n'étais pas obliger.

  - Wouah ! Mayssy Layel me dit merci ! J'adore !

  - Ta gueule.

Il rie. Un rire communicatif. Je me rejoins très vite à lui.

- Aller. Dormons à la belle étoile.

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1 : BIENTOT LA FIN DU TOME 1 APPROCHEEEEEEUUUUHHHHHHHH

2 : Aiden qui écoute mayssy.

3 : Mayssy qui se confie à lui. mmhmhm

Cap Ou Pas Cap 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant