CHAPITRE 44:

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J'entend nom mais j'y fais abstraction. Quand soudain un liquide se renverse sur mon haut.

Je lève mon regard à la personne quand je croise ces yeux de pute et son sourire reffet.

  - Oh je suis vraiment désoler comment va tu ? May. dit-elle.

Son blond , sa dégaine de fille facile avec son haut en décolleté jusqu'à son nombril.

Et je me dit...

  - C'est toi !

Il y a que elle qui est jalouse de moi au point de vouloir faire du mal. Betha.

  - La plus belle et parfaite ? Oui c'est moi.

  - Salle pute ! C'est toi qui ma envoyer ce putain de message hein ?!!

Et d'un coups l'énervement se dissipe dans l'alcool qui coule dans mes veines. Et s'en me contrôler ou presque mon poing trouve sa place sur sa joue et sa pommettes refaites.

Elle essaye de se défendre mais je lui rend vite la gifle qu'elle vient de me donner par un autre coups.

Quand je sens mon mal de tête non par ces coups mais par la dose d'alcool et d'énervement, je la projette par terre et m'éclipse à l'extérieure. Avec le monde qu'il y avait qu'une dizaine de personnes nous aurait vu. Les bagarre des fêtes sont répétitive, et c'est pas deux trois coups de poing que ce donne deux filles, qui va faire abstraction au verres rouge dans leurs mains. Ou au filles presque à poils allumer tout de les mecs en chaleur.

Je respire l'air de dehors et me trouve sur la route en pleine nuit. C'est le moments que je préfère. Ignoré cette population trop...encombrante.

C'est un alinéa de mon humeur. Entre le jour et la nuit

***

 * Conversation téléphonique

   - Bordel t'es où May ?

   - Eum...Dehors.

   - Je te cherche partout je te trouve pas !

   - Crie pas Julien bordel ! Chui dans la rue : 8, Colombe JK .

   - Bouge pas j'arrive.

 * fin *

La solitude va prendre fin dans...

10...9...8...7...6...5...4...3...2...1..

  - Monte dans cette voiture toute suite !

  - T'es pas mon père ni ma mère !

  - May...dit-il d'un ton autoritaire.

  - Julien... dis-je du même ton.

  - Fait pas ta gamine et monte bordel !

Je marche toujours sur le trottoir. L'alcool c'est diminuer et je le gère assez bien aujourd'hui. Oui les poing sur Bethapute était volontaire et non forcer par les effet secondaire d'une personne soûl.

Sa voiture me suit.

  - May s'il te plait, il fait nuit et la maison et loin à pied je veut pas qu'il t'arrive quoique se soit.

  - Oh sa va je vais pas me faire violer ou agresser !!

Et des que mes paroles sort de ma bouche je me fige en me souvenant du passer.

Sa c'est passer exactement comme sa...Moi avec ma tête de mule et du whisky dans mes yeux. Une personne qui me veut que tu bien. Et 10 minutes après...

Cap Ou Pas Cap 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant