Chapitre 59 : Mayssy

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Salut toi.Madame Wosli demande de t'es nouvelle. Faudra que tu achète le livre : Les grandes espérances de Charles Dickens. Tu revient quand ?

J'y répond de suite.

Hey. D'accord je l'achèterais se weekend. Je rentre Lundi

La réponse fut direct :

On peut y aller ensemble si tu veux. Donc j'imagine que tout est rentré dans l'ordre avec ton chevalier noir ?

Mon "chevalier noir" ? Surnom très ambiguë. Je répond :

Ouais pourquoi pas, je t'expliquerais. Demain devant la librairie de la ville à 12h.

Je regarde un instant Julien qui à la mâchoire contracté. Il a tout lu. Et j'en n'ai rien n'a faire ! Liberté de la femme.

Aiden me propose de manger après notre achat littéraire. J'accepte sans me poser de question et on se dit à demain. Je range mon portable dans ma poche et repose ma tête la ou elle était au départ.

La voiture s'arrête. On est pas à la maison la ! La musique s'atteint. Okay. Règlement de compte plus sermon.

  - C'est une blague ? Tu le fait exprès ? C'est pour me faire passer une message et me foutre les boules ? Dit-il enragé.

  - On est pas en Avril. Dans ce n'est point une blague.

Gamine.

  - Tu lui parle, et sous mes yeux en plus !

 - T'avait pas qu'à regarder.

  - Et tu va vraiment aller le voir ?

  - Bah oui. C'est pas que tu l'aime pas ou je ne sais quoi, que je doit me privé d'aller de le voir.

  - Il t'a inviter à manger avec !

  - Et j'ai accepter.

  - Et si il t'invite à te baiser, tu va accepter ?

  - T'insinue que je suis une fille, qui ouvre ses cuisses à tout le monde comme un musé gratuit ?

  - J'en sais rien, à toi de me le dire.

  - J'y crois pas. De toute façon j'ai pas besoin de t'es accord pour aller voir les gens que je veux.

  - C'est vrai, vu que pendant 4 ans ta jamais eu besoin d'accord de qui que se soit, il te manque vraiment une case parentale...

Avent qu'il termine sa phrase ma main atterrie involontairement sur sa joue. Son regard devient haineux. Et avent qu'il redit quoi que se soit je sort de la voiture et cours vers une ruelle ou qu'il ne pourra pas m'attraper appart si, il sort de sa voiture.

J'y crois pas...Ces propos son plus douloureux que sa façon brutale de me parler. Sa ne va vraiment plus. Plus du tout. Je cours encore, et encore. Et je ne sais pas où je suis, ni ou je vais.

Il avais pris un autre chemin pour n'emmener autre part, car le chemin de la maison n'était pas celui-là.

Je cours toujours, en espèrent qu'il ne me rattrape pas. Je ne veut pas le voir. Mon portable sonne et résonne. Lui. Je ne pourrais répondre, si c'est pour causer d'autre dispute. Je ne vais plus tenir.

Cela doit faire une bonne dizaines de minutes que je cours. Et il pleut. Un flot. Putain mais pourquoi le malheur s'écrase sur moi ? C'est toujours, toujours, le même refrain.

J'aperçois un bus s'arrêter,sa me permettra de fuir la pluie. Je cours dans celui-ci et monte, sans savoir où il s'arrête. Et j'en n'ai franchement plus rien n'a foutre de où je me trouve. Je veut juste être loin.

J'arrive à Terminus après vingt minutes de transport. Je descend.

Je baisse directement ma tête. Il pleut, toujours. C'est pas mon jour aujourd'hui. Après cinq minutes de marche, je m'arrête pour me poser quelques minutes. Mon cœur bat trop vite sans avoir fait une effort. L'effort de vivre suffit pour respiré bruyamment et, avoir la même vitesse de battement qu'un coureur de piste.

Il fait presque nuit. Je lève la tête et tourne autour de moi pour retrouver mes repaires.

Et là...C'est l'enfer qui me tombe dessus. Tout mais pas sa...


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1 : Nouvelle dispute.

2 : Ou se trouve t-elle ? 

Cap Ou Pas Cap 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant