CHAPITRE 61 : Mayssy

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On s'arrête au dernier étage. Il ouvre la porte et passe le premier.

Il me semble assez gêner de ma présence.

  - Bon...bienvenue chez moi.

  - Merci. Merci beaucoup.

Il hoche la tête, avec un petit, je dis bien "petit" sourire au coin.

Je reste devant la porte d'entré de l'intérieur.

  - Tu peut prendre une douche si tu veut. Vient.

Je le suis. L'appart est assez grand, et très spacieux et lumineux. La premier pièce est le salon avec un igloo centrale, qui sépare la cuisine. Une cuisine américaine. Les couleurs, sont blanche. Un blanc cassé. Et d'autre crème. Il y a peu de tableau. Dans le salon il y en n'a un grand,en noir et blanc qui représente le vide. Une route sans aucune destination précise , et panneau. Un paysage vide. Sans aucune vie. Il y a une citation le long de la route. « Aller quelque part sans savoir où aller. Et comme avoir une destination sans savoir les précisions. ».

On traverse un couloir, plus sombre. Des couleurs en bois brute, qui fait des bruits de craquement, ce qui fait un jolie style. D'autre tableau y sont. Des citations « Le silence et la réussite de l'écoute.» « La solitude ne fait pas de mal. Elle fait réfléchir.» Et plein d'autre. Une forêt en noir et blanc. Une fleure de même couleurs que tout les autres tableau. Je regarde Aiden marcher vers une porte. Il a une marche déterminer. Sans hésitations. On arrive devant la porte.

  - Laisse t'es vêtements sur le radiateur, tu l'es récupéra quand il seront sèche. Je te ramène des affaires, dit-il en partant directement.

Il ferme la porte d'arrière lui, et je reprend ma respiration qui était quelque peu saccadé.

Ma vie est vraiment une grosse merde quand on y pense !

L'eau coule sur mon corps. Je reste de bonne minute figé sans cligné des yeux. J'essaye de me dire que ce n'est que, une dispute de couple comme tout le monde, et que sa va se rétablir. Je l'aime. Mais c'est aussi mon point faible.

Après avoir fini ma douche , je quitte la baignoire.

Je trouve des affaires et des serviette sur le plan du lavabo. Quand est-il passer ?

J'enroule mon corps de la serviette grise. Et sèche mes cheveux de l'autre serviette.

Mes sous-vêtements sont tremper au complet.

J'enfile donc le T-Shirt noir d'Aiden, et son bas de pyjama. Sexy.

Je sèche mes cheveux, déjà que je vais tomber malade...

Après ceci fait, je retourne voir Aiden.

Celui si est dans la cuisine.

  - Je peut t'aider ?

  - Tu veut manger salé ou sucré ? Me demande t-il toujours le dos tourné.

  - Mmh...Comme tu veut.

  - Pizza sa te va ?

  - Yeap !

Il sort une pizza du congel'. Ah je vois. Mais n'empêche, certaines pizza congelé sont meilleurs que faites à la pizzeria.

  - Assied toi sur la canap, j'arrive.

J'exécute se qu'il me dit.

Après quelques minutes, il revient avec une grande assiette

Nous mangeons dans la bonne humeur face à une comédie. Rire me fait du bien. Mais rire des malheurs des autres est-ce bien, quand nous regardons les n'autres ? Nous somme pas mieux. Ont reconnait une réplique du film, je me met à la dire haut et fort :

  - Bien trop pour moi de rentrer mon nez dans cette culotte de cheval déjà découverte par tout les fermiers, Darling.

J'éclate de rire en s'avent qu'il va se recevoir la gifle du siècle. J'aperçois Aiden me regarder avec un sourire adorable.

  - Tu connais ?

  - Bien sûr !

  - Un grand classic dans la liste de film regarder par: «petit spectateurs, mais grand admirateur», répétons en même temps.

On éclate de rire et 'tshin' nos bouteille de bierre qu'on a pris avant le film.

  - Darling vous êtes bien trop curieuse pour votre âge ! Mes yeux se trouve en haut de mon visage et pas sur cette coco qui se forme en voyons votre sœur, en photo d'arrière vous ! (Dis-je en répétant les répliques, d'un homme à la jumelle de la moustache d'Hitler en guise de "déclencheur d'idée".)

Je suis hilare par mon aspect d'actrice.

  - Vous m'épatez darling ! Me dit Aiden.

  - Je sais je sais mon chéri ! Lui dis-je en appuyant ma tête sur son épaule.

  - Vous êtes aussi bien soûl darling !

  - Cessez vos sermon, et embrassez moi, dis-je en le regardent dans ses yeux d'un bleu transparent.

  - Je crois qu'il est l'heure d'aller se coucher.

  - Chui si horrible que sa ? C'est peut être pour sa qu'il me rejette ! Dis-je la tête baisser.

Je suis peut être bourré, mais je peut encore réfléchir !

Aiden me soulève de ses bras musclés. Je regarde le bazar qu'on n'a foutu.

  - Je rangerais, aller tu va te laver les dents, et au pieu.

  - D'accord Maman ! Dis-je en ébouriffant sa touf de chevelure blonde.

Je marche en dansant. Je suis libre de mes gestes. Enfin jusqu'à ce que mon front cogne une porte. Je rigole comme un taré de cirque. Aiden est d'arrière moi, et je l'entend rire de mon sort.

  - C'est l'autre porte, appart si tu veut dormir au toilette, dit-il.

Je tourne sur une porte au fond de l'angle du couloir. Je vois un grand lit. Une chambre ou les fenêtre sans immense, avec un balcon. Sur le haut du lit il y a un énorme tableau qui fait presque tout le mur, je dirait même, un poster mural. Un arbre immense noir et blanc, sans vie. Seule l'oiseau en couleur donne de la vie. Des fleurs semble tomber, et sous l'effet de l'alcool j'ai même l'impression qu'elle tombe sous mes yeux. Une seul feuille est reste sur l'arbre. Je m'allonge directement sur lit.

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1: CHapitre bof. Je le sais.

2 : Le film qu'ils regarde à était !!!! IMAGINER PAR MOI !!!!

3 : Une complicité s'est-elle formé entre nos deux jeunes gens ?

4 : Aiden ?

5 : Mayssy ?

Cap Ou Pas Cap 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant