Partie 55

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Bismillah, Salam Aleykoum.

Mes affaires sont prêtes, Ismail est aussi prêt on attend que monsieur, j'aurais jamais pensé en partant qu'autant de chose se seraient passée.

Ismail : Mamaaaaaa.

Moi : Oui mon bébé.

Ismail : Doudou mama.

Moi : Maaaaaanh mais tu viens de manger.

Ismail : Mamaaaaa doudouuuuu.

On arrive à comuniquer mdrr il commence a dire des mot et donner des surnom à tout le monde.

Moi : Mais Ismail Aymen il va arriver.

Lui : Ayen ?

Moi : Oui !

Lui : MAMA DOUDOU !

Moi : STOP ISMAIL TU CRIS PAS.

Lui : OUUUIIIIIIIIIIIN.

Moi : Roh mais pleur pas ! Vas y vas y attend.

Je vais à la cuisine lui preparer son doudou et monsieur le patron me suis à quattre pattes avec son sourire de sorcier.

Moi : Pff j'te boude.

Lui : Mama doudou.

Moi : J'ai compris là ah ouais.

Je finis et lui donne, il boit quelques gorgés et jète son biberon.

Moi : AHH NON J'SUIS PAS D'ACCORD LÀ.

Lui : Mama ?

Moi : NON ISMAIL TU PLEUR POUR TON LAIT ET TU BOIT À PEINE TU M'ÉNERVE !

Lui : OUUUUUIIIIIN !

Moi : AH MAIS TU PEUX PLEURER HEIN J'AI COMPRIS TON VICE MOI !

DRIIIIIING.

Je vais ouvrir et Aymen me regarde choqué, mdrr j'avais les cheveux en bataille, Ismail pleurait fort et je criais comme une folle.

Aymen : Ouaah il se passe quoi ici.

Moi : Rentre j'suis à bout là.

Il entre, me fais un bisous sur le front et s'avance vers Ismail le patron.

Ismail : OUIIIIIINNN AYEEEEEN.

Moi : SALLE COMÉDIEN.

Aymen prend Ismail et le câline. Pouaaaah je fond comme il est trop beau quand il est avec mon bébé. Aymen s'occupe trop bien d'Ismail franchement les deux ils se lâchent plus c'est l'amour fou.

Aymen : Soukeyna t'es sérieuse quand tu fais pleurer le plus beau.

Moi : J'ai pas choix j'veux pas qu'il devienne pourri gâté.

Lui : Non tu le fais pas pleurer.

Moi : De toute façon tu le préfère à moi.

Je vais dans cuisine et range le bordel du patron. Après quelques secondes Aymen vient et me sert dans ses bras, Ismail était par terre et nous regardait avec ses gros yeux de sorcier. Je lui lâche un scarface et me retourne.

Ismail : Mama ...

Moi : ...

Il vient vers mes jambes et me tire.

Ismail : Mama mama mama mama ...

Je le porte et le pose sur le plan de travaille.

Moi : Hum ?

Soukeyna : Marquée à vie, certaines blessures ne cicatrisent jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant