Partie 52

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Bismillah, Salam Aleykoum.

Il m'a envoyé une droite dans le nez et j'ai juste eu le temps de le voir arracher mon haut avant de perdre connaissance.

Dans  la peau d'Aymen.

Sa fait 1 heure que j'suis arrivé elle est toujours pas là et son téléphone est éteint.

Rabia : C'est pas normal Aymen elle avait pas grand chose à acheter et le magasin est à 5 minutes à pieds surtout qu'elle était impatiente de te voir.

Moi : Bon je vais aller voir mais je connais pas le chemin.

Elle : Je viens avec toi.

Moi : Non faut que tu reste au cas où elle revient.

Elle : Bah appel Aziz tiens j'ai son numéro.

Je l'appel et il me dit de le rejoindre en bas. Je prend mon tel et je descends.

Lui : Salam.

Moi : Aleykoum Salam.

Lui : J'ai pas compris il se passe quoi ?

Moi : Soukeyna elle est sortie depuis 1h30 pour faire des courses de même pas 30 minutes elle répond pas au tel.

Lui : Viens on va voir là bas.

On arrive au magasin mais elle est pas dedans. On refait le chemin du retour mais rien.

Moi : Putin elle est où !

Lui : Viens on regarde dans les rues autour.

Moi : J'te suis.

On fait quelques rues et à un moment on voit quelque chose de bizzare au fond d'une ruelle. On avance et dans ma tête je faisait dou3a parce que j'avais un mauvais présentiment. Plus on avance et on remarque que c'est un homme sur une femme inconciente. J'ai lâché mes clefs, j'ai courrus vers eux et j'ai vu le visage de ma femme.

Moi : C'EST SOUKEYNA PUTIN !

J'ai même pas cherché à comprendre j'ai soulevé le gars et j'ai vu son tee-shirt déchiré et son bas à moitié enlevé. À ce moment j'ai vu rouge. J'attrape ce chien par le cou et le congne contre le mur, j'me suis lâché sur lui faut pas qu'il en sorte vivant j'voulais le voir saigner. Aziz a couvert Soukeyna et il essayait de la réveiller en appelant l'ambulance.

Aziz : AYMEN LÂCHE LE !

J'entends mais je réagis pas je veux pas le laisser c'est mort. Il est inconscient depuis un bon moment mais c'est pas assez pour moi à chaque fois que je tourne la tête j'vois le sang sur ses habits et son visage sa me tue. Aziz il me tirait comme un fou mais j'étais pas dans mon état normal comme un possédé.

Aziz : ALLO OUAIS VIENS A ***** AVEC TA GOVA GROUILLE !

2 minutes après une voiture fait un dérapage derière nous. Un gars sort et aide Aziz à m'arrêter. Il me bloque dans un coin et je vois Aziz jetter l'autre batard dans la voiture.

Aziz : Ouah merci mon gars vas au quartier et attache ce shlague dans une cave je reviens m'occuper de lui.

Le gars : On s'capte après t'inquiète.

Soukeyna : Marquée à vie, certaines blessures ne cicatrisent jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant