Partie 48

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Bismillah, Salam Aleykoum.

Je l'avais jamais vu comme ça et j'avais la haine contre elles même pas parce qu'elles m'ont mal parlé mais parce qu'elles avaient énervé les parents au lieu de soutenir. Elles sont toutes sorti les unes après les autres.

Kader : Viens avec moi Soukeyna je veux te parler.

Je le suis et m'assoie à côté de lui.

Lui : N'écoute pas ses idiotes ! Je comprend pas pourquoi ma femme reste avec elles.

Moi : Elles ne m'ont pas atteint je sais que c'est des vipères.

Lui : Soukeyna tu savais pour la maladie d'Issam ?

Moi : Non je savais pas.

Lui : Tu pense qu'il le savait.

Moi : Il le savait il me l'a dit dans une lettre baba.

Ses larmes commençaient à couler.

Lui : Pourquoi il n'a rien dit ? Ont aurait pu le sauver !

Moi : Il dit que c'était pour nous protéger.

Lui : Protéger ?

Moi : Si ont aurait su tout le monde aurait fait des test pour lui faire un don, aucun d'entre nous aurait hétisé et il le savait.

Lui : Toi tu n'aurais pas hésité ?

Moi : Jamais !

Lui : Mais il t'as fait du mal ! Je sais que tu est une fille bien mais mon fils t'as fait tellement de mal.

Moi : Je sais que si j'en aurais eu besoin Issam aurait même pu me donner son coeur alors un rein je lui aurais donné les yeux fermés.

Il me prend dans ses bras.

Lui : Et dire que mon fils a laissé passer une femme comme toi.

Moi : Ne pleur pas baba, arrête c'est bon tu te fais du mal.

Bon voilà j'ai passé ma journée chez eux puis je suis retournée chez Mous. Le soir j'ai appelé ma patronne mais elle a pas pu me laisser des congés, elle a pas le droit parce que j'suis plus la femme d'Issam " aux yeux de la loi " comme elle dit. Ensuite j'ai appelée Rabia pour lui demander de venir avec Ismail, elle a pas de voiture alors Az' lui prêtera la sienne. Il voulait la conduire jusqu'ici mais elle veut pas monter avec lui.

Quelqu'un sonne à la porte et les deux imbéciles jouent à la play alors je me lève et j'ouvre. C'est ma mère, Alyiah, Hamed ( son mari pour celle qui ont oublié ) et mes princesses Ania et Ahda.

Je les prend dans mes bras et les fais rentrer.

Maman : On a apprit pour Issam.

Aliyah : Tu tiens le coup.

J'avais la tête baissée et j'arrivais pas à répondre. Ma soeur se rapproche de moi et pose son doigt sur mon menton pour relever ma tête.

Elle : On est là pour toi. Ania ! Ahda ! Laissez vos tontons venez !

Elles arrivent avec leur petite bouille trop migonnes.

Aliyah : Regardez Sakounia nanour elle est triste !

Elles : NOOOON !

Elles sautent toute les deux vers moi.

Ahda : Nanour pleur pas noooon !

Ania : C'est les pd qui pleurent !

On l'a tous regardée choqués.

Aliyah : Qui t'as appris ça Ania ? PAS DE GROS MOTS !

Soukeyna : Marquée à vie, certaines blessures ne cicatrisent jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant