Soukeyna : Marquée à vie, certaines blessures ne cicatrisent jamais.

Partie 58

Bismillah, Salam Aleykoum.

Mon téléphone sonne c'est Aymen.

Moi : Al ... Allo ?

Lui : PUTIN T'ES OÙ SOUKEYNA POURQUOI T'ES PARTI ? LES GARS Y M'ONT DIT QUE TU PLEURAIS !

Moi : Ay ... Aymen j'ai tout entendu.

Lui : Putin ... t'es où ? Reviens Soukeyna je vais tout régler.

Moi : Je peux pas Aymen t'as vu ce qu'elle à dit ? On me juge pourquoi ? Parce que j'ai un bébé ? On me rejette à cause de mon ange !

Lui : Non me laisse pas pour ça on s'en fou de ce qu'ils pensent !

Moi : Jamais je te laisserai je te l'ai déjà dit je suis prète à tout pour nous mais je pouvais pas rester et faire semblant, manger face à elle alors qu'elle me rabaisse. C'est ta mère je respect mais j'ai un minimun de fierté.

Lui : J'suis désolé wAllah pour toi et Ismail pardon pour ce qu'elle à dit tu sais que j'vous aime hein ? J'donne ma vie pour vous.

Moi : T'excuse pas t'as rien fait moi aussi je t'aime te sens pas coupable.

Lui : Dis moi t'es où je veux te voir.

Moi : Au parc.

Lui : J'arrive.

Il raccroche et même pas 10 min après il arrive en courrant vers nous, il nous serre fort dans ses bras.

Lui : Plus jamais la putin d'toi ... me fais plus jamais ça t'as compris ?

Moi : Mais j'ai fais quoi ?

Lui : J'ai crus t'allais me lâcher wsh j'ai eu chaud !

Moi : Ohh le peureux, il est amoureuh !

Lui : Mdr ta gueule salle conne.

Moi : C'est mignon tu m'aime trop.

Lui : T'es marrante toi personne t'aime.

Moi : Ah ouais ?

Lui : Ouais ouais !

Moi : Bon bah j'vais bouger avec mon chéri salam.

Lui : Fais juste un pas j'te cogne.

Son téléphone sonne, il décroche et met haut-parleur, c'est sa mère.

Lui : Allo ?

Elle : T'ES OÙ ?

Lui : Avec Soukeyna.

Elle : C'est mal poli ce qu'elle fait ! Elle part comme ça sans rien dire.

Lui : Stop maman c'est bon là ! Je te respect t'es ma reine mais arrête de la rabaisser. Elle est parti parce qu'elle a entendu notre conversation, elle a pas supporter tes paroles alors elle est parti.

Elle : Ah ...

Lui : Maman va falloir que tu t'y fasse c'est elle que j'ai choisi et tu peux pas me dire de la laisser.

Elle : Elle entend ?

Aymen : Oui.

Elle : Ecoute Soukeyna désolé si je t'ai blessée mais je protège mon fils, personne m'explique la situation alors je me fais des idée. Ne pense pas que je t'aime pas mais je te connais pas.

Moi : Moi c'est pas ce que vous pensez de moi qui me blesse, rentrez pas mon fils dans ces histoires c'est tout.

Elle : Reviens à la maison on va parler.

Moi : Euh ...

Aymen : On arrive maman.

Il raccroche.