Les Quileutes Tome 1 [TERMINÉ]

Chapitre 30

Paul vit enfin Embry rentrer dans le commissariat.
Il afficha un grand sourire avant de se retourner vers son compagnon de cellule, un vieux ronchon assit à côté de lui.

-Passer moi les 20 dollars! Je vous avait dit qu il viendrait.

-Paul qu est ce que tu fous là? S'énerva une voix féminine.

-Et merde...

Paul se retourna lentement vers Jenny.

-Effectivement, pouffa le vieille homme, vous êtes dans merde.

-Pourquoi tu l'as emmené! S'écria Paul a l'attention de son frère de meute tandis que sa petite amie le fusillait du regard.

-J'ai pas un rond mec comment tu voulais que je paye ta caution, répondit Embry.

-Mademoiselle à payé votre caution, fit l'un des hommes du commissariat, qu'on ne vous revoit plus ici.

L'homme allait ouvrir les grilles quand il fut interrompu par un de ses collèges qui venait d'entrer dans le commissariat.

-Je suis désolé mais on ne peut pas le libéré pour l'instant. Affirma l'autre policier.

-Comment ça on ne peut pas le libéré! S'emporta Jenny. Écoutez j'ai un bébé qui me fatigue au plus haut point! J'ai fallis mourir en venant jusque ici car Embry est un danger public en voiture. J'ai sacrifié mes économies des 4 prochains mois pour payer votre putain de caution alors maintenant rendez moi mon petit ami!

-Les hormones...murmura Embry.

-C'est pour ça que je l'aimes. Ajouta Paul.

-Mademoiselle, votre petit ami est suspecté de meurtre nous ne pouvons pas le libéré pour l'instant.

-De...Meurtre?

-Une voisine de la victime nous a appelé car elle avait entendu des cris, à notre arrivée sur les lieux votre petit ami était présent devant le corps. La victime était un professeur dénommé monsieur...

-Je ne veux pas entendre son nom. Le coupa t'elle.

-Jenny regarde moi, l'interpella le quileute.

-La ferme toi, s'écria un des deux policiers.

La blonde se retourna doucement vers son imprégné.

-Écoutes moi, je te jures que je n'y suis pour rien. Je voulais lui mettre une raclé mais en arrivant sur les lieux il était déjà mort je te le jures. J'en ai rien à foutre que les autres me croit ou non mais il faut que toi tu me crois.

-Vous devez partir maintenant. Déclara l'homme des forces de l'ordre.

Il chassa alors Jenny et Embry les laissant sous le choc.

-Je te crois...