« Partie 47 »

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« Partie 47 »

***
C'était tout calme dans la chambre, on commençaient à s'endormir petit à petit sur nos chaises quand d'un coup on entend des bruits de machines, pleins de "bip, bip", des choses s'afficher sur l'écran de la machine mais on comprenais rien..

On c'est lever en sursaut, mes tantes commençaient à paniquer, moi j'étais comme paralyser, j'arrivais pas à bouger ou parler vu le stresse que j'ai eu d'un coup.. Je savais pas quoi faire à cet instant la..

Y'avait que Kahina qui gardais son calme, elle calmait mes tantes elle leurs disait que sa servait a rien de paniquer, que le docteur aller arriver bientôt, elle appelle d'abord les infirmières.

Elles sont deux, elles viennent dans la chambre et en voyant la machine j'ai pu apercevoir l'angoisse sur leurs visage, une s'en va vite chercher le médecin et une autre s'occupe de Syrine, l'infirmière nous demande de quitter la chambre, on sort donc et on va à la salle d'attente, si c'est pour le bien de Syrine on attendras dehors..

On étaient en pression, on bougeaient dans tout les sens, ma tante Fatima à appelais mes oncles, ils sont venus aussi vite qu'ils ont pu, ils étaient fatiguer ça ce voyait qu'ils venaient de ce réveiller..

Putain j'aime pas cette ambiance.. J'ai trop peur, mon frère m'appelle je lui répond même pas tellement j'ai pas la force ni la tête à parler, je demande donc à Kahina d'envoyer un message à Amir pour expliquer ce qu'il ce passe.

[...]

Après une heure interminable, on étaient tous à l'extérieur de la chambre à attendre... Le docteur arrive enfin, il avait une tête d'enterrement vraiment il était décomposer.

On se lève tous d'un coup, il arrive vers nous et il parle pas, attendez il veux nous faire du suspens la ? C'est pas le moment enfaite !

Mon oncle : Alors elle a quoi ?

Le docteur : Puis-je parlez à sa mère ?

Ma tante Sofia : Oui c'est moi.

Le docteur : J'suis désolée madame ******* mais votre fille se réveillera pas encore une fois... Elle est décédée il y'a quelques minutes..

Ma tante Sofia s'effondre au sol, elle commence à pleurer à chaude larmes tout en criant « Non, non » « Ma fille ! » ma tante Fatima la relève et l'emmène plus loin...

Je reste sans voix, mon cœur battait très fort, j'avais quelques larmes qui coulaient sur mes joues.. Je regardais Kahina qui elle était bouche ouverte, larmes aux yeux..

Le docteur : J'suis désolée..

Je m'assoie et je pense, je pense à toute ma famille, j'ai pas pris de leurs nouvelles, j'ai pas était aux prêt d'eux quand y'a eu des haut des bats, j'les ai pas connu aussi bien pour les voir mourir un par un, c'est le cas aujourd'hui pour ma cousine Syrine je n'était pas la à sa naissance mais la pour son enterrement... Je m'en remettrais pas, je regretterais toute ma vie de ne pas avoir appris à la connaître, de n'a pas avoir était la à ses côtés pendant sa maladie, mon cœur est détruit...

[...]

On a passer une nuit blanche à l'hôpital, le soleil c'était lever, il est 9h, Syrine est vraiment morte, une petite fille de 9 ans..

Ma tante Sofia est rentrer chez elle avec ma tante Fatima, il restait que moi Kahina et mes oncles, tout le monde à l'extérieur le savait déjà parceque ma tante tout à l'heure recevait déjà des appels, les nouvelles vont vite !

J'étais toujours assise toute seule, quand Kahina arrive vers moi avec des clés à la mains :

Elle : Lila ?

Lila : Les opposés s'attirentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant