Un Footballeur et une Soldat • tome2 [TERMINER]

-68- discutions en famille

PDV ANTOINE

Lina est bientôt à terme, j'ai hate de voir ma fille. Rania et Gabriel sont rentré hier, et on les attend pour avoit une discution. Tiens en parlant d'eux ils descendent.

Gabriel: on sort!

Moi: non on dois parler!

Rania: nos amis nous attendent!

Lina: c'est pas notre problème, vous venez ici maintenant! On dois parler!

Ils s'assoient non sans cacher leurs agacement.

Moi: c'est quoi le problème? Vous voulez qu'on vous traître comme des adultes mais vous vous comporter comme des enfants!

Rania: on a rien fait!

Lina: justement! Vous êtes censé nous appeler, nous dire ou vous êtes et en 5 mois on a du avoir un appel! 

Gabriel: on avait du travail!

Moi: vous n'aller pas me dire que le soir, ou en mangenant vous ne pouvez pas nous appeler?

Lina: et vos résultats scolaire en en parle?! Ils sont en chute libres! L'un comme l'autre!

Moi: quel est le probléme?

Rania: il n'y en as pas!

Lina: dites nous, vous savez que l'on peut tout entendre on est vos parents!

Rania: non vous ne l'êtes pas!

Moi: quoi?

Gabriel: depuis que vous le savez il n'y en as que pour le bébé, votre bébé, et on a compris, on n'est pas vos enfants! On n'a pas votre sang ni  votre peau!

Lina: c'est donc cela le problème?

Rania: vous ne pouvez pas nous aimés comme vous aimerai ce bébé, mais on ne vous en veut pas!

Moi: mais n'importe quoi! Vous vous rendez compte de l'imbécilité que vous dites?

Lina: on s'en fou que vous ayez notre sang dans vos veines  ou non! On vous aimes, autant que l'on va aimer votre petite soeur! Je pensais sincèrement que vous l'aurais compris!

Moi: alors oui, peut être que l'on est pas vos parents biologiques, peut être que l'on a pas la même couleurs de peau, mais vous vous appeler Griezmann l'un est l'autre, on est une famille, pas comme les autres mais on en ai une. Et on vous aime, plus que tout au monde, on serai prêt a tout pour vous deux!

Lina: je ne sais pas si on a fait quelque chose de mal, ou si on vous avez fait comprendre qu'on aimerai plus ce bébé que vous, mais je m'en excuse, vous êtes mes enfants, et je pensé que l'on se disait tout...

Gabriel: on ne voulez pas vous blésser..

Moi: et bien c'est râté...

Lina: aller rejoindre vos amis, ils vous attendent...

Ils partent. Je m'assois au fond du canapé, et Lina viens dans mes bras, aucun de nous parle mais on se réconforte l'un est l'autre en silence.