Chapitre 21 T2

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Bonjour les cocos ! Alors déjà je voulais m'excuser pour le délais d'attente 🙄 (I know).
Je savais ce que j'allais écrire (en  gros) et comment ça allait se dérouler mais il me manquait des éléments essentiels voyez-vous.
Vous avez peut être d'ailleurs remarqué (si vous avez bien mais alors bien suivis mon roman) qu'il y a parfois des problèmes au niveau de la logique de l'intrigue et des méchants xd mais je vais y remédier en même temps que la correction quand j'aurais fini ce tome là.

⚠️🎄🎄⚠️
Qu'est-ce que je voulais vous dire déjà ? Ah oui...
🎄 JOYEUX NOËL À Tous ! 🎉
J'espère que vous allez passer de bonnes fêtes, que vous allez bien boire 🥂 (sauf si tu conduis, tu bois du jus de 🍍 😉), bien manger (très important 🍫🍰) et bien vous amuser 🎸🎤. Si je ne poste pas un chapitre avant le 31 bah...
🎈BONNE ANNÉE ! 🎈
(Et puisse le sort vous être favorable 😂).

Bon je vous laisse avec un chapitre que j'ai adoré écrire et qui m'a donné de l'adrénaline. Après j'étais toute fofolle à sautiller sur mes pieds mdr.

Gros bisous à tous et...
À L'ANNÉE PROCHAINE ✌️👌😂

**************

Je fermai le petit placard avec plus de force que nécessaire.
Ça y est, c'était la fin du voyage.
Dans vingt minutes nous allions monter sur un bateau gonflable pour accoster sur la terre ferme. Cela faisait presque deux mois. Deux mois que je n'avais pas mis un pied sur un continent, que j'étais enfermée ici en sécurité, loin de mes harceleurs, sans moyens de communication avec l'extérieur. Je jetai un œil dans le minuscule miroir au dessus du meuble pour croiser le regard d'une femme angoissée qui avait noué ses cheveux châtains en une tresse africaine stricte afin de prouver au monde qu'elle était une guerrière. En réalité cette femme avait seulement peur pour sa vie et celle de son enfant. Comme une lâche, cette femme avait laissé des gens qu'elle aimait mourir pour elle. 

- Tu es prête ? M'interrogea Lucian en entrant dans ma cabine à pas de loup. 

Comme moi, le guerrier n'était vêtu que de noir. Il avait cependant ses pistolets accrochés à la ceinture de son pantalon, à la cuisse et pour assurer sa sécurité un gros gilet pare balle avec de multiples armes telles que des grenades ou encore des munitions. Un vrai serviteur de la mort.

- Non je n'ai pas envie de partir.

Il fronça les sourcils en soulevant mon menton. Je vis de l'inquiétude dans ses prunelles noires. 

- Nous étions bien ici, en sécurité, dis-je après un soupir.

- La peur est quelque chose de normale. C'est ce qui te rend humaine. 

- Je sais. 

- Tu ne dois pas la laisser te contrôler. Ce n'est pas chose facile mais c'est nécessaire. Dis-toi que toute l'équipe sera là pour te protéger. Tu dois montrer cette force en toi qui t'a permis de surmonter toutes ces épreuves.

Je hochai la tête incertaine puis captura ses lèvres entre les miennes pour me redonner courage. Je me plongeai dans ce baiser corps et âme comme si c'était le dernier que j'allais avoir. Je goûtai sa bouche encore et encore tandis que même les yeux fermés je savais qu'il souriait. Il me prit dans ses bras pour me serrer contre lui et empoigna mes cheveux pour avoir un meilleur accès à ma bouche. Je dansai avec sa langue et je collai mes lèvres pour lui donner un baiser brut et contenant une force que je ne me connaissais pas. Je l'embrassai jusqu'à je ne puisse plus respirer puis me détachai de sa bouche. Il souriait comme un enfant à qui on venait de donner du chocolat. 

Bunker (T1 TERMINÉ, T2 En Pause )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant