Chapitre 39

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Le retour...



Lundi matin, le moment de retour à la réalité. . Markus et Vanessa avaient maintenant mis leur valise dans la voiture qui allait les ramener à la ville. Markus avait fait appel à son chauffeur pour les ramener. Vanessa appréhendant ce retour. Elle regarda la villa une dernière fois avant d'embrasser encore une fois Haley.

- Prend bien soin de notre mari. Elle lui murmura.

- Haley on n'est pas encore à ce stade ton frère et moi.

- Tu tu tu tu.. Cela ne saurait tarder. Ne remarques tu pas la façon qu'il a de te regarder ? Vas y regarde le. Vanessa se tourna et vit Markus la dévorer du regard comme si elle était la première merveille du monde. Elle retourna la tête vers Haley les joues en faut.

- Mais cela ne garantit rien.

- Moi je te dis que si. Je suis impatiente d'organiser votre prochain mariage. Vanessa s'en alla la tête baissée parce qu'elle était toute rouge de confusion pout tout ce que venait de lui dire la jeune femme. Elle se dirigea vers la voiture, y entra et se plongea dans ses pensées en attendant que Markus ne monte à son monte à son tour.

Comme l'avait promis Markus, la nuit précédente à été bien longue et plein de rebondissements agréables. Nous l'avions passée à faire l'amour, encore et encore. La fatigue à fini par avoir raison de nous et nous avions fini par sombrer dans le sommeil.

Durant le temps qu'à durer notre ébat charnel comme c'était le cas depuis un bout de temps déjà, il m'avait dis qu'il m'aimait. J'étais toujours restée bloquée quand il me disait cela. Je ne savais quoi lui répondre. Comment pourrais je encore jamais dis je t'aime à un homme ?

Déjà je suis en couple avec lui et cela c'est une grande avancée pour moi. Maintenant lui dire ces trois fameux mots est un véritable calvaire pour moi. Pas que je ne ressente pas la même chose. Bien sûr que je l'aime. Comment ne pas aimé cet homme merveilleux ? Cet homme qui m'a fait découvrir plein de choses dont je ne soupçonnais pas l'existence.

Plein de positions aussi.

Oui c'est ça pervers. Je l'aime, Oui je l'aime. Si je l'aime comme l'autre connard ? Non. Je l'aime plus fort, plus passionnément, plus profondément. Quand à lui dire c'est une autre chose. Cette peur, la peur qu'il me quitte, qu'il me trahisse aussi. Je sais bien qu'il m'avait prouvé de plusieurs manières et à plusieurs reprises qu'il tenait à moi. Malgré tout ce que je lui fait subir, il ne m'a jamais laissé tomber.

Malgré ta folie tu veux dire ?

Oui si on veut. Je veux tant lui dire que je l'aime mais le doute m'assaille toujours. Chaque fois qu'il me disait qu'il m'aime et que je ne réponds pas je vois une tristesse voilée son regard et ça me troue le coeur.

Et sa proposition d'aménager chez lui, bien que je ne sois pas enchanté me sur le moment, j'ai dû reconnaître qu'il fait vraiment de son possible pour que je sois dans de meilleures conditions de vie. Même si je ne laisse pas entrevoir ça m'enchante de cohabiter avec le spécimen. De l'avoir dans mon lit tous les soirs et d'avoir un œil sur lui. Je sais bien que les femmes font la queue pour être dans son lit et je suis ravie de l'occuper à plein temps.

Rentrer me fait peur. Ici nous étions au calme, sans presse, sans scandale, sans rien. Elle redoutait le retour à la réalité. Elle avait peur que la presse ne déterre ses secrets. On ne les appelle pas les vautours pour rien. Et elle redoutait le jour où Markus apprendrait la vérité. Elle aurait aimé tout lui dire sur son passé mais elle avait peur. Peur qu'il ne comprenne pas, peur qu'il la rejette. Peur de temps de chose. Peur....

- Ma chérie ça va ? Markus venait d'entrer dans la voiture à côté d'elle. Il lui prit la main et lui sourit. Comment résister à son sourire ?

- Oui ça va.

- Tu avais l'ai pensive. Y'a quelque chose qui ne va pas ?

- Non tout va bien. C'est juste le traque de rentrer et de changer d'environnement.

- T'inquiète ma chérie. Rien ne changera. On sera juste deux dans un appart plus grand. J'ai appelé les déménageurs comme convenu. Il s'occuperont de tout sous l'œil avisé de ton amie.

- Merci pour tout. Il prit ma main, la porta à ses lèvres et y déposa un baisé. Un vrai Casanova. Mon Casanova.

La voiture nous conduisit directement au bureau. Quand nous arrivâmes dans les locaux tous les regards étaient braqués sur nous, ce qui me gênait au maximum. Nous marchions un instant quand Markus s'arrêta me tourna vers lui et l'embrassa en pleine bouche devant le regard ébahi de ses employés avant de déclarer.

- Mademoiselle Vanessa que voici est ma petite amie. Bonne journée de travail à tout un chacun. Tous rejoignirent leurs bureaux instantanément. Je suis figée par ce qui venait de se passer. Il m'entraîna dans son bureau et ferma la porte.

- Markus c'était quoi ça ?

- La vérité ma chérie. La simple vérité. Je n'ai pas à te cacher, à cacher notre relation. Si nous nous étions enfuis la dernière fois c'est parce que nous n'avions pas encore nommé ce qu'il y'avait entre nous et je refusais que la presse le fasse à notre place. Et il y'a aussi une autre raison. Je vois le regard que les hommes de cette boite te lancent. Ces regards me déplaisent beaucoup. Au risque d'en venir aux mains avec mes employés ou de procéder à des licenciements abusifs, je préfère mettre les choses au clair. Tu es à moi. Et je te rends service à toi aussi.

Oh qu'il est mignon le monsieur dans sa jalousie. Il me rend service ? Je ne comprends pas.

- Plaît il ?

- J'ai mis les choses au clair avec les employés féminins aussi. Elles ne me poursuivront plus de leur assiduité puisque c'est clair maintenant que je suis avec et à toi.

Que dire après ça ?

La flaque du bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant