𝓟𝓸𝓾𝓿𝓸𝓲𝓻 𝓢𝓱𝓸𝓳𝓸 | JinYoonSeok | ★

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Pouvoir Shojo du héro un peu malmener mais sensible -

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Il s'empresse de jeter ses baskets dans un coin de la pièce et de se saisir de ses... « Coucou mes bébés d'amour, les pieds de papa vous avez manqué ? », pantoufles en forme de cochon mignon bleu ? Oui, nous partons déjà du postulat que le héros principal peut interrompre le narrateur et a des chaussons si étranges qu'ils ont été retiré du marché commun mondial.

« Hijo ! Tu peux me faire chauffer de l'eau pour mon thé vert détox !

- T'as deux bras couillon, alors ton thé tu te le fais chauffer tout seul ! »

Le garçon traine ses pieds superbement habillés jusqu'à l'orée de sa chambre pour y déposer négligemment son sac de cours. Il retire son épais sweat-shirt et se dirige vers la cuisine pour appuyer, douloureusement, sur le bouton de la bouilloire.

« J'ai plus d'énergie ! », geint-il à nouveau en se laissant tomber sur une des chaises de la cuisine.

Le second jeune homme présent dans la pièce, grand, aux alentours d'un mètre quatre-vingt-quatre, les cheveux bruns coupé ras sur les côtés, le teint bronzé à la bouche pleine, soupire devant la scène.

« Tu n'as rien fait de ta journée, tu n'es pas fatigué.

- Qu'est-ce que tu en sais ?

- Tu n'as pas d'amis ici et tu n'as pas de copine, cherche pas Jin, t'es naze. Va réviser plutôt. »

Le dit Jin gonfle les joues, bats des pieds et regarde ses cochons bleus si adorables. Le bouton de la bouilloire saute et il la verse dans une tasse. Sauf que faute de bouilloire vieille d'un siècle, la moitié manque de lui tomber sur la main. Le plus grand qui finissait de se préparer un double sandwich beurre salé et nesquik le regarde pester du coin de l'œil.

« T'as vraiment été adopté...

- Je ne te permets pas ! Elle rentre quand maman ?

- Je sais pas, elle travaille, et tu ferais bien de faire de même si tu veux pas finir chômeur.

- Na, na, na... Ferme ta boîte à camembert.

- Non mais tu as quel âge petit con pour dire ce genre de trucs.

- Dix-sept ans ! Que ça te plaise ou non.

- T'aurais jamais dû naitre.

- La preuve que j'ai pas été adopté ! »

Le plus grand regarde le second, sa tartine dans une main, complètement désabusé.

« C'est pas parce que Dieu a fait l'erreur de laisser ton père mettre un coup de bite dans ta mère que tu n'as pas été adopté.

- Arrête ! Maman a dit que c'est faux ! Je suis son enfant ! Tu es mon frère !

- Compte là-dessus et mange des pâtes. Aller, j'y vais, je dois encore aller à la salle de sport et voir Mélyssandre.