𝓟𝓸𝓾𝓿𝓸𝓲𝓻 𝓢𝓱𝓸𝓳𝓸 | JinYoonSeok | ★

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Vous avez choisi :

A) t-shirt ample noir, jean skinny noir, chaussures montantes

Pouvoir des kilos en plus ( et non pas en trop )

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« Ma chérie, ça te va à merveille ! Tu vas faire fureur ! »

Jin tire sur son t-shirt et s'observe dans le miroir. Il voit ses cuisses qui remplissent allègrement le jean noir serré. Le t-shirt est assez ample pour ne pas dévoiler son petit ventre mais pas assez pour cacher ses fesses mises en valeurs contre son gré. De même pour ses bras ronds ou le bas de son visage un peu épais.

« Tu es sur pour le trait de crayon ?

- Mais oui, ça agrandit ton regard, on dirait une biche c'est adorable, rassure Namjoon.

- J'aurais bien aimé que tu m'accompagnes.

- Ça m'aurait fait très plaisir, mais je ne suis pas invité, et je suis sûr qu'Hoseok sera gentil avec toi.

- Tu disais l'inverse il y a quelques heures.

- Certes. Aller, prend ma veste pour te réconforter et couvrir tes bras le temps que tu y ailles. D'ailleurs, tu t'y rends comment ?

- A pied je pense.

- Alors je vais faire une partie du chemin avec toi. »

Jin sourit, il fait quelques pas dans le jean et à l'impression que ce dernier va craquer. Il se rappelait l'avoir acheté dans le but d'être « sexy comme Nicky dans du latex », sauf qu'il avait l'impression de ressembler à un jambonneau sous plastique.

S'il avait demandé le fond de sa pensée à Namjoon, nul doute qu'il était bien mieux encore que Nicky dans du latex. Le pauvre étudiant en sport n'arrivait même pas à comprendre comment il pouvait désirer autant le plus petit. On lui avait toujours dit que les beaux garçons étaient ceux comme Jungkook, musclé, grand, un brin dragueur et plein d'avenir. Cependant jamais il n'avait désiré les cuisses musclées de Jungkook ou d'un quelconque autre sportif de sa classe, mais là, les cuisses rondes de Jin faisaient vriller son esprit. Il n'avait qu'une seule envie, les saisir de pleines mains, remonter sur ses fesses généreuses, goûter ses lèvres et passer des heures dans ses bras. Le corps de Jin était très certainement d'un réconfort déconcertant. Sans compter qu'il ne cesse de se trémousser, surement gêné par le regard dans son dos qu'il ne parvient pas à interpréter.

« C'est bon, j'ai tout. Tu me donnes ta veste ?

- Oui, oui ! Tout de suite ! »