Chapitre 6 : Habitude du passé

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Je suis allée me rhabiller et les garçons on fais de même. J'ai quand même pris le temps de faire une douche. J'ai effectivement quelques coupures mineur faite par Dairiun. Je sourit. Je me suis bien dépensée aujourd'hui je n'avais pas prévu ça. Je sort de la salle et je vois Dairiun parler avec Lòmion.

- ...donc elle étais bien comme ça avant.

- Oh mon garçon elle était bien meilleure encore. Ce que tu as vu d'elle aujourd'hui ce n'est qu'un pauvre entraînement. Non elle sait attendri, elle a des sentiments d'affection donc elle n'a pas la même valeur mentale qu'à l'époque.

- Comment ça ?

- Avant c'était la guerrière qui combatait et tuais sans montrer la moindre emotion. La elle t'a toi donc elle sait vraiment mise en condition de mère. Même si les enfants elle ne les tuais pas parce que cetais un sens moral pour elle elle était farouche, là elle est délicate.

- Je suis délicate hein ?

Les deux hommes sursautaire.

- Aerin, tu étais là ?

- Tu n'es pas obligé de lui raconter le passé tu sais.

- Il me demande je répond.

- Vraiment ?

- Oui, après tout tu ne me parle pas du passé alors quand je vous est vous combattre je me suis dit qu'il pourrait m'en dire un peu.

- Donc tu as pensé que lui et moi on était proche ?

- Oui. {Il sait un peu crispé} Ça se voyais en même temps.

- A ce point jeune homme ? {Et lui il en rit}

- Oui dans votre façon de vous battre on vois que vous connaissez les coups de l'autre.

Dairiun et moi nous sommes regarder. C'est vrai on a combattu l'un à côté de l'autre et on aurait confier notre vie à l'autre parce qu'on savait que nos façons de combattre était complémentaire enfin on était similaire.

- On a combattu ensemble à la dernière guerre donc on se devait de connaître la façon de combattre des autres générals et commandants. {C'est tout ce que j'ai répondu et Dairiun à vu que je ne voulais pas en dire plus}

- Ça explique.

- Lòmion on devrait rentrer maintenant il est tard.

- Je suis restée pour ça d'ailleurs. Aerin et Lòmion le roi voudrait que vous restiez ici dans le palais. Il ne peu pas se permettre de te faire chercher à la moindre urgence Aerin et Lòmion tu commence tôt et finit ardeur à la forge ce serai plus pratique pour toi de rester.

- Je ne vais pas abandonner ma maison. J'y ai passé trop de temps pour laisser ça comme ça. En plus il y a les plantes et les animaux dont je dois prendre soins.

- Aerin. Tu sais très bien que tu peux les ramener ici et que tu rejoindra ta maison de temps en temps. De toute manière il ne te laissera pas réellement le choix.

Je lui lance un regard mauvais.

- Ne t'en prend pas à moi.

- Aerin, il fais déjà nuit. On devrai déjà rester cette nuit et voir demain si l'on reste ou non ? Tu ne pense pas ?

Je soupire et regarde Lòmion.

- Si c'est ce que tu veux alors très bien. {Je me tourne vers Dairiun} Je suppose que tu sais déjà ou nos chambre se situes ?

- Oui. Venez.

Il nous guide d'abord à ma chambre qui est du côté pour les membres du conseil. Biensûr il m'emmène à mon ancienne chambre.

- Voilà ta chambre Aerin mais je pense que tu aurai pu y venir seule.

- Pourquoi ? C'est son ancienne chambre ? Tu vivais ici Aerin ?

- Oui Lòmion je vivais ici parce que avant je n'avais pas une famille à rejoindre. {J'ai vu Dairiun s'adosser au mur en marmonnant quelque chose que je n'ai pas compris} Mais je croyais que cela resterai du passé.

- Bon Lòmion suis moi je vais te montrer ta chambre, un repas sera servi dans votre chambre.

- D'accord  {Lòmion me fis un bisou sur le front} Bonne nuit Aerin

- Bonne nuit Lòmion

Je lui sourit et il parti avec Dairiun vers une autre aile du palais. Je prend une grande respiration et enclenche la poignée de ma porte. En ouvrant je reste stupéfaite que rien n'a bouger en 20 ans. Je rentre dans la chambre et découvre mon lit de soie rouge foncé avec le baldaquin noir. Ces teintes qui se retrouve partout dans ma chambre sur les murs et les sols, le sol en marbre qui me faisais frissonner quand je passais pied nue dessus. Les vieux meubles en merisier qui ont leurs teintes foncé que j'aimais tant. Tout mes livres qui n'ont pas bouger. Je passe donc devant mes livres mon doigt glissant sur leurs couvertures. Même pas de poussière. Mon bureau laisser avec son papier et son encrier donc la plume n'a même pas noirci. Je vais maintenant vers ma penderie et ouvre. Mes robes, mes armures lourdes ou fines, mes pentalon et chemise ample, mes nuisettes, tout est resté pareil, même mes chaussures y sont intactes. Je referme et je vais vers ma vitrine contenant mes armes laissés ici avant la guerre n'en ayant pas jugé l'utilité. Certaine m'aurai bien aidé. Certaine des ces armes mes rappelle des souvenirs ou des personnes que je n'aimerai pas avoir à me souvenir. Je pensais avoir tiré un train sur tout ça, et vouloir que cela va redevenir mon quotidien. Je vais à la salle de bain, toujours aussi belle. Toujours le marbre au sol et la baignoire ainsi que les autres meuble en bois poli. On m'a toujours demander pourquoi une baignoire en bois et je n'ai jamais sur réellement répondre. J'aimais juste. Je pensais à tout le passé quand j'entendis toquer à la porte. J'alla donc ouvrir. Une jeune femme me faisais face avec un plateau.

- J'apporte votre repas. Puis-je ?

- Biensûr.

Je me decalai en ouvrant plus la porte et elle passa à côté de moi pour poser le plateau sur ma petite table basse. Elle ressorti aussi vite qu'elle est entré en me souhaitant une bonne nuit et un bon repas.
J'allais donc m'installer sur un des fauteuils à côté et j'ai mangé mon repas tranquillement en regardant par la fenêtre. Il y a aussi le balconnet qui me permettrait de mettre des plantes. Des plantes... Je sorti sur le balcon en ouvrant les grandes portes vitrées et je fus surprise de voir que la par contre mon balcon avait changé. Les pauvres plantes que j'avais mis à l'époque n'étais plus la. Sans doute morte. La vue du balcon est magique, en même temps la chambre est au 5eme étage, donc cela m'offre une belle vue que la ville et même sur le début de certaines campagnes.
Après être resté à voir la ville allumer des ses couleurs de nuit je suis allée me mettre en nuisette pour aller me coucher mais en passant devant mes livres je suis rester attiré pas un dont la reliure me rapellais un livre que j'ai lui une bonne centaine de fois. Je le pris et m'installais sur ma banquette je le lu jusqu'à la moitié avant de sombrer dans le sommeil.
Se soir là je fis un rêve perturbant, je voyais le nouveau roi me demandant d'être sa femme, je refusais et il voulu me forcer. Lòmion intervient en le tuer et il bascula d'un côté sombre.
Je me réveille en sueur le jour perçant à travers mes fenêtres.

Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant