Chapitre 13 : un fils aimant

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Dairiun finis par brisé le silence installé après ma dernière phrase. Il avait semblé réfléchir.

- Aerin. Ton fils, Lòmion tiens à toi d'une façon inimaginable. Il t'aime bien trop pour te railler de sa vie. Ses réactions le prouve. Mais peut être à t-il était blaissé de ne pas savoir une partie de toi qui est refoulée depuis si longtemps ? Ne penses tu pas qu'il lui fait du temps qu'il ne vas pas admettre tout de suite que tu lui manque ?  Qu'il était fou d'inquiétude et qu'il en voulait à la terre de te voir fouetté ? Aerin, ne te dit pas que tu l'as perdu alors que ce qui sait passer avant ne voulais sûrement rien dire.

- Dairiun, je tiens plus que tout a lui. C'est la raison pour laquelle je tiens ici, c'est la raison qui me fais vivre depuis tout ce qui sait passé à la guerre... Il est ma joie, réellement j'ai sauvé cet enfant et je l'ai élevé. Qu'il trouve une femme et que j'en souffre bien, toute mère en souffre. Mais là il m'a rejeté Dairiun. Je suis blaissée intérieurement plus quand je ne le devrai et plus que les coups de fouet reçu.

- Ne part pas si défaitiste. Laisse lui le temps. Aerin vous avez le temps. Il reviendra vers toi quand il aura compris que la magie, l'interdit devait être levé. Que nous avions pas le choix de prendre cette option. Toi même tu avais vu qu'il avait été affecté par l'ombre. Je pense que c'est pour ça que tu n'as plus hésité à la fin.

- C'est vrai... Je ne voulais pas que l'ombre s'en prenne à lui et j'ai gardé mon sens froid pour ne pas paniquer.

- Toi dans ta splendeur ! {Il rit} Tu ne montrera jamais tes émotions.

J'ai repensé à quand Lòmion m'avais embrassé, ce jour là j'ai montré mes émotions. Certes étant des la surprise, mais j'aurai dit prévoir quand il sait autant approché de moi.

- Tu m'estime trop. Tu l'as dit toi même. Je suis devenu plus fragile psychiquement.

- Tu confirme donc ? Je ne pensais pas que tu accepterai ça.

- Pourquoi nié la vérité ? Pourquoi a toi alors que tu me perce à jour ? Non. J'aime Lòmion, tellement que je donnerai ma vie pour la sienne. Et c'est une fragilité que je n'avais pas avant. J'avais deux faiblesses avant et on sait très bien tout les deux lesquels c'étais. Mais lui c'est devenu la seule belle faiblesse que j'ai à l'heure d'aujourd'hui.

Dairiun n'a pas eu le temps de parler que des feuilles ont bougé. Par réflexe nous nous sommes relevés brusquement pour le malheur de nos dos qui nous arrachèrent une grimace. Une silhouette sorti des buissons. Je me suis figée en me disant qu'il avait du tout entendre de notre conversation. Il avait la tête baisser mais sembla solennel quand il la releva.

- Tu as réellement pensé tout ce que tu viens de dire ?

- Lòmion je.. Oui.. Je pense chaque mot que j'ai dis  { je rougis de honte pour ce qu'il avait entendu, mes lamentations}

- Merci... Merci d'être franche. Mais alors pourquoi ne m'avoir rien de tout ça si tu avais si peur que je parte en l'apprenant ?

- Je n'ai jamais eu peur de ça parce que je ne pensais jamais que tu aurai apris ça. C'est un interdit, je n'étais ni sencer en parler ni sencer l'utiliser la dernière fois. Tu n'aurai jamais du voir ça.

- Explique moi. Je veux comprendre ce que tu es ou ce que tu as fais.{il vais te un tin sans appel}

- Lòmion je n'en ai pas le droit.

- Je t'en pris tu me dois bien ça. Je t'ai vu Aerin au milieu d'un cercle étrange avec un brouillard noir et des flammes bleues qui ne vous a brûlé ni l'un ni l'autre.

Il nous a regardé Dairiun et moi. J'ai finis par soupirant en me remettant assise, doucement pour éviter à mon dos de ne trop souffrir.

- Lòmion nous n'en avons pas le droit... Regarde ce qu'il m'ai arrivé parce que j'ai désobéi. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose parce que je t'en aurai parlé. {Je le regarde dans les yeux en lui faisant comprendre mes sentiments envers se choix}

- Je veux tout de même savoir, si tu as encouru un tel châtiment c'est que tu avais une bonne raison non ? Je ne pense pas que tu l'ai fais par égoïsme de mettre le roi en colère et de mettre le palais sans dessus dessous.

- Lòmion écoute. Oui j'ai eu mes raison je ne suis pas idiote de risqué ma vie pour brisé un interdit et Dairiun non plus d'ailleurs. Je l'ai suivi parce que je savais qu'il avait raison et que je n'avais pas le choix..

- C'étais ton idée ? {La voix de Lòmion se rempli un peu de colère froide}

- Calme toi mon garçon. Aerin et moi avons pris la décision qui s'imposait. J'étais près, elle a hésité. Mais tout deux savions que c'était ça ou la mort des personnes autour de nous n'étant pas au courant.

- Comment ça ?

- Lòmion ce que nous avions utilisé était de la magie. La magie étant interdite depuis des années sur notre territoire. Je ne pensais pas réutiliser ça mais il sait avéré qu'il y avait une chose dépendante à la magie qui est apparu et qui aurai pu vous tuer en absorbant vos émotions noir. { j'avais parler vite et sur mes gardes} Comprend que tu ne dois rien dire, que je n'en dirai pas plus et que c'est dangereux. La magie est très mauvaise et mortel, garde ça a l'esprit.

- Pourquoi tu en utilise alors ?

- Parce qu'à l'époque c'étais courant et utilisé dans le bien. Mais le monde ne peut être que bon ou que mauvais alors quand les deux cohabite et se ligue combat, cela finis très mal.

- Bien. J'en sais déjà assez et je ne t'en demande pas plus pour l'instant.

- Lòmion...

- Aerin un jour tu devras arrêter de me prendre pour un petit garçon. Je suis un homme qui sait ce battre et qui sait faire la part des choses.

Je n'ai rien dit suite à ça. Il avait raison mais comparé à tout ceux qui vive ici et qui on plus de 100 ans au moins pour la moitié de la population sur, et bien il n'est qu'un bébé pour ce monde. Je ne peux arrêter de me dire qu'il n'a pas assez de recule, que la force ne fais pas tout, mais je dois bien le dire, je dois lui laisser de l'autonomie.

- Tu veux que j'arrête de te considéré comme mon enfant et qu'à la place je te vois comme un homme ?

- Oui.

- Bien.

Il s'approcha de moi et pris l'arrière de mon crâne avec sa main droite, l'approcha à lui et y déposa un baiser tendre sur mon front. Je suppose que le calin n'étais pas de mise à cause de mes blaissures. J'ai murmuré "je te laisse alors t'envoler" et il sourit.
Dairiun qui n'avais plus rien dit entre temps, toussa.

- Je ne veux pas vous déranger hein mais je pense que manger un morceau ne serait pas plus mal. Ainsi que retourner nous reposer Aerin, nous sommes encore un peu ... eu... Vous avez compris.

Trop de fierté pour avouer que nous sommes faibles et fragiles.
Nous sortons donc de notre petit endroit. Dairiun qui râle à côté de nous. Moi et Lòmion bras dessus bras dessous, son regard doux posé sur moi.

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Chapitre 14 à venir.
J'espère que ce chapitre vous aura plus ? N'hésitez pas à me laisser des commentaires et des conseils ^^
Bonne prochaine lecture.
Ciao

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