Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}

Chapitre 12 : Retrouvailles blaissantes

J'ai passé encore 2 semaines dans mon lit avant de pouvoir enfin marché et sortir de ma chambre même avec difficulté. La solitude sa faisais bien longtemps que je ne l'avais pas autant côtoyé. Oui un moi, qui donne quatre semaines se n'est rien et pourtant ça m'a paru durée des années. J'avais mis un robe longue qui touche le sol et surtout qui cache bien mes épaules et mon dos mais ample pour éviter d'avoir mal. J'avais déjà eu le message du roi disant que dès que je serai sur pied je devrai le voir. La douleur me t'irai toujours, ce n'est pas guerri et je pense qu'il me faudrait au minimum encore une semaine encore. Je n'ai toujours pas vu Lòmion depuis ce moi non plus, le manque de ne pas le voir est destructeur. Je ne laisse jamais quitté plus de 2 jours alors imaginez ce que je peux ressentir à l'idée que mon fils est resté au milieu de ces serpents sans moi aussi longtemps. Je sors de ma chambre le dos droit les dents serrés. J'ai mal mais je ne laisserai personne m'attendre sous une sois disant faiblissent qui serai bientôt plus qu'un mauvais souvenir. Je marchais lentement en étendant mes pas résonner sur le sol en bois. Personne dans les couloirs. Je le dirigeais donc à la salle du trône et les gardes ouvrirent la porte en me souriant en coin. Surment que mon pull tout déchiré des coups avaient laissé entrevoir à ces crétins de pervers des parties qu'ils n'auraient jamais dû voir.
Le roi était assis sur son trône et me regarda fixement tout le long de ma démarche pour arrivé en bas des escaliers qui montais jusqu'à lui. Je mis un genoux à terre en insultant mentalement ma blaissure de tout les noms et baissais la tête ne respect.

- Relève toi. {J'obéis} Comment vont tes blaissures ?

- Je me porte bien.

- Tu auras sûrement retenu la leçon ? Je suis un roi aimant et gentil et pourtant tu m'as fais disgrâce en brisant un interdis.

- Je m'en excuse encore mon roi. Cela ne se reproduira plus.

- J'espère bien Aerin. Après je ne pense que pas tu l'aurai brisé sans raison mais j'étais dans une telle colère que je ne voulais rien entendre. Et je ne veux pas savoir pourquoi tu as fais ça, pourquoi vous avez fais ça.

- Bien.

- Tu vas retourné au conseil. Mais attention Aerin, je ne veux plus d'écart.

- Entendu mon roi. J'aurai juste une question.

- Dis moi.

- Avez vous mis un interdit à ce que l'on vienne me voir ?

- Oui et non. En réalité j'ai donné l'interdiction qu'une personne autre que les personnes autorisés aillent dans ta chambre. Mais je me suis repris il y a une semaine en sachant que ton état de santé était mieux et que je m'étais un peu calmé en disant que si quelqu'un voulais on pouvait venir rentre visite à vos chambres.

- Bien merci.

Je fis une dernière révérence et sorti le coeur serré. Lòmion n'avais donc pas eu envie de venir me voir. Je l'ai répugné à se point là.
Je déambulant quand j'entendis du bruit. Je m'approchai discrètement après avoir enlevé en mes chaussures. J'étais dans un tournant et j'entendais maintenant les voix plus clairement car les bruits n'étais autre que des personnes entrain de discuté. C'étais Kementari et... Lòmion. Que faisait il avec elle ? Est ce parce qu'il s'était rapproché d'elle qu'il n'est pas venu me voir ? Je me repris un coup mentalement. La connaissance d'une inconnue valait mieux que de savoir en vie ? Ou plutôt de savoir si j'allais bien ? J'avouerai qu'une certaine colère et une tristesse me traversa comme si une flèche m'aurai touché. J'entrepris de faire demi tour mais arrivé à la moitié de mon mouvement je fus surprise d'avoir du resté aussi longtemps dans mes pensées pour qu'ils soient à m'a auteur. C'est sans surprise que je l'entendis m'appeler.