Le baissé fut cours. A son regard je sus que ce n'était pas comme ça qu'il l'espérait et moi non plus d'ailleurs. Le baissé foireux. J'en ai souris et baissé la tête.
- Excuse moi, ce n'est vraiment pas comme ça que je voyais notre baisé. Je me suis loupée sur le coup.
- Juste un peu. {Il eu au moins la décence de me taquiner et de sourire en coin} Peut être que je prendrais notre vrai baisé quand tu t'y attendra le moins.
- N'essaie même pas je te préviens. Il y a trop de personne ici qui ne sont pas au courant des liens avant la guerre. L'interdiction, le bannissement de la magie à parfois même effacé des liens et des souvenirs à certaines personnes qui l'avais acquis trop peu de temps.
- Nous, ça ne regarde pas les autres Aerin.
- Lomion n'est pas au courant et il semble trop proche de moi en tant que femme depuis un ou deux ans. Mon fils est ce que l'on pourrait appeler "spéciale" alors j'aimerai éviter de le brusquer.
- Comment ça ?
- Il est spécial. Je l'ai senti avant que le magie se scelle en moi.
- Je n'aime pas trop ce que tu me dis.
- Tu n'aime pas ce que je te dis à cause de quoi ?
- Qu'il puisse t'apprécier en temps que femme mais aussi du fait que tu dise qu'il est spécial.
- Pourrais-tu en être jaloux ?
- Aerin {Il secoue la tête faussement désespéré} nous savons tout deux que tu n'appartiens déjà qu'à moi et qu'il n'a aucune chance.
- Tu te surhéstime mon vieux ! Il est jeune, il a vécu au plus proche de moi et il arrive à me faire rougir. {Il gronde d'un bruit rauque}
- Finalement j'aurai quand même de la concurrence ?
- C'est mon fils, pour moi j'aimerai qu'il reste ainsi. Il me montre du respect en tant que tel mais je sais ce qu'il en est. Alors je me méfie simplement de comment il évolue.
- Je vois je vois. {Il me fit une sorte de grimace, les yeux plissés et le nez retroussé}
- Tu ne vois absolument rien du tout ! {Je ris en le tapant doucement à l'épaule} Imbécile !
- Je ne te permet pas de me traiter d'imbécile ! Pour qui te prend-tu ??
Il me soulève délicatement de sorte que mon bassin sois a son épaule comme q'il me prenait sur son épaule. Je ris en me demandant ce qu'il compte faire. Au moment où j'entend son rire résonner quand il se mit à tourner je ne pu que me terre et profiter de cet instant. Son rire, son véritable rire est tellement beau. Son rire habituel n'est pas celui qui lui vient du coeur contrairement à celui ci. Le sourire finis par l'emporter et je me souviens alors que je suis bien plus haute que ce que je ne devrais.
- Dairiun fait moi descendre ! J'ai passé assez de temps si haute !
- Il me semble entendre quelqu'un mais je ne vois personne. étrange.
- Je vais te faire devenir étrange si tu me garde en l'air ! {Je ris seulement à moitié}
D'un coup j'attéris au sol tout en ayant glissé contre lui. Bien évidemment la jupe de ma robe c'est relevé à cause de la descente trop serré juste au dessus de mes genoux presque à la mi-cuisse. derrière ce n'est presque pas relevé mais devant ce serai indescent pour certaines personnes. Il me regarde dans les yeux un éclat de lucidité dans les yeux. Je ne le sens pas se coup là. Je connais se regard et je sais comment cela va finir.
- Non... Je te répète que c'est non. {Je souris en m'écartant}
- Moi je pense que c'est plus drôle quand tu dis non. {Il rit}
Dans quel tracnar suis-je tombée ! Il s'approche de moi comme si j'étais une proie et j'en ris en lui disant de ne pas s'approcher et en reculant. Le coup classique du lit qui m'empêche de continue ma fuite fais que je suis obligée de le laisser m'atteindre. Il mima de vouloir me mordre et je ris d'autant plus en voulant le pousser. Les mains sur son torse je réalisais alors l'erreur d'avoir fait ça. J'ai l'impression de retomber un siècle avant quand il m'a eu pas un piège pareil à celui ci alors que je lui avais craché toute ma colère dessus. Il m'attrapa les hanches me bloqua contre lui et de son sourire éclatant ses lèvres fondirent sur les miennes dans un baisé plus ardent que celui de toute à l'heure. Bon sang... Que ça m'avais manqué de le ressentir si proche de moi. Je fermes les yeux et malgré que je sais que je ne devrai pas me laisser à lui je ne peux résister à ce sentiment de contentement qui grandi en moi. Ses mains bougèrent, un bras entour désormais tout mon bas du dos et sa main libre vient se placer dans ma nuque. Le baissé plus fort, plus pressé, plus gourmand. Mes mains bloqués sur son torse me garde bloqué dans son étreinte. Ce n'est pas que je rêve de m'en libérer mais si je ne pars pas maintenant je sais ce qu'il adviendra de moi. Je me fais donc violence au moment où il entrouvre mes lèvres pour y glisser sa langue. A cet instant je pousse de toute mes forces et j'ai bien faillis finir sur son lit. Il me regard le regard avide et sombre. Preuve que se baisé aurait mal terminé.
- Dairiun je dois retourner à mes appartements il est tard.
Je me suis décalée et est presque couru à la porte. J'allais l'ouvrir quand son corps se colla au miens.
- J'ai bien senti ton corps répondre au miens même si tu ne l'a peut être pas senti. Aerin, tu sais que nous deux, quelques vulgaires années ne peuvent pas effacer nos siècles communs.
- Je t'en pris pas aujourd'hui. Je sais très bien que mon corps réagi mais ce n'est pas ma volonté. Pas pour le moment. {Je l'ai senti se crisper} Ne pense pas que ce que je ressens pour toi a changé, simplement j'ai changé ses dernières années. Je ne suis plus aussi frivole ou aussi fortement attiré à toi. Pas quand je suis ici.
- Ça fais des siècles que nous sommes liés par plus que de l'amitié, que nos coeurs et nos corps vibres ensembles, pourquoi aujourd'hui tu te refuse à revivre ça ? Te souviens de chaques guerres ou batailles livrés ? Comment l'on se retrouvait ? Nos peurs les plus profondes de perdre l'un ou l'autre qui nous rendait fou de vouloir posséder à nouveau l'autre ?
- Ce n'est pas que je ne veux pas le revivre je dis juste que ce n'est pas le bon moment. Et je me souviens, comment oublier...
J'en rougirai rien que d'y pensé ! De ce feu qui nous animais, de nos regards, de nos blessures ré-ouverte juste parce que l'un ne pensais plus à nous seul mais à l'union de nous deux de se sentiment qui nous faisais croire à notre invincibilité. De nous mouvements, où l'un allait l'autre suivait. Toujours collé, rare était les fois où on était séparé, juste aux champs où on devait diriger nos troupes. Mais même à ces instants là on cherchait sans cesse nos liens qui nous unissais à l'autre, à chercher la présence chaude. Trop de chose nous relis mais depuis que la magie à cessé je ne ressent plus se lien si fort qui nous unissais. Ou alors cela serai à cause d'autre chose ? J'ouvre la porte.
- A demain Dairiun.
Il me laissa aller. Je pense que lui aussi ressent et il voudrait surement se rassurer. Nous avons notre attache mais elle n'est plus aussi perceptible. Je rentre à ma chambre la tête pleine de pensés.
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Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}
FantasyAerin est une femme ayant vue l'horreur. C'était une combattante, une guerrière. Elle s'est battu pour son roi et n'avait pas prévu ce qui c'est passé... Le passé étant un mystère parfois plus sombre que ce que l'on pense. En partant du champs de ba...
